Voir la source de Chapelles de Jalogny

La commune de Jalogny abrite, en plus de ses deux églises romanes ([[Eglise Saint-Valentin à Jalogny]] et [[Eglise Saint-Jean-Baptiste à Vaux (Jalogny)]]), deux chapelles aujourd'hui presque entièrement disparues, dont on sait peu de chose.

==Chapelle Saint-Nizier==

La chapelle Saint-Nizier, dont il ne reste que des ruines, est située au milieu des bois (sur la lisière des bois de Vaux, microtoponyme « bois de Saint-Nizier » sur le cadastre de 1840). 

Les eaux de la fontaine de Saint-Nizier, située près des ruines, sont un lieu de culte et de pèlerinage anciens.

On prête à ses eaux  des vertus guérisseuses, notamment des fièvres et des maladies nerveuses.

La tradition veut également que les premiers communiants, les fiancés et les jeunes mariés viennent planter des croix en bois près des eaux, ou y laisser des pièces de monnaies, couronnes de feuillages et de roseaux.

Cette pratique pourrait correspondre à un ancien culte de fécondité.

'''Voir:'''

JEANTON, Gabriel, ''Le Mâconnais traditionaliste et populaire, tome 2, Pèlerinages et légendes sacrées'', Protat, Mâcon, 1921, 104p.

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==Chapelle Saint-Pierre==

La chapelle Saint-Pierre est aujourd'hui intégrée à un lotissement moderne et a été entièrement rénovée et réhabilitée en habitation privée.

Sa datation est incertaine, mais son origine pourrait être ancienne.

Elle aurait fait partie d'un bâtiment monastique de l'abbaye de Cluny.