Eglise Notre-Dame-de-l'Assomption à Hurigny : Différence entre versions
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Un premier édifice dédié au culte est mentionné à Hurigny au Xe siècle, dans plusieurs chartes du chapitre de Saint-Vincent de Mâcon : ''Capella Sancte-Marie in villa Uriniaco''<ref>Ibidem</ref>. Alors sous le vocable de Sainte-Marie, cet édifice est qualifié d’''ecclesia'' au siècle suivant : ''In agro Salorniacensi, in villa que dicitur Uriniaco, prope ecclesiam Sancte-Marie''. Au XIIe siècle, l’église est vraisemblablement reconstruite. Elle est alors à la collation du chapitre cathédral, et suit un plan typiquement roman : une nef unique, suivie d’une travée sous clocher et d’une abside semi-circulaire. De cette construction, il ne reste aujourd’hui que les murs de la nef, dont l’épaisseur (1m10) témoigne de leur ancienneté. | Un premier édifice dédié au culte est mentionné à Hurigny au Xe siècle, dans plusieurs chartes du chapitre de Saint-Vincent de Mâcon : ''Capella Sancte-Marie in villa Uriniaco''<ref>Ibidem</ref>. Alors sous le vocable de Sainte-Marie, cet édifice est qualifié d’''ecclesia'' au siècle suivant : ''In agro Salorniacensi, in villa que dicitur Uriniaco, prope ecclesiam Sancte-Marie''. Au XIIe siècle, l’église est vraisemblablement reconstruite. Elle est alors à la collation du chapitre cathédral, et suit un plan typiquement roman : une nef unique, suivie d’une travée sous clocher et d’une abside semi-circulaire. De cette construction, il ne reste aujourd’hui que les murs de la nef, dont l’épaisseur (1m10) témoigne de leur ancienneté. |
Version du 16 janvier 2020 à 09:39
L’église Notre-Dame-de-l’Assomption est située dans la commune d'Hurigny, dans le département de la Saône-et-Loire, en Bourgogne-Franche-Comté. C'est une église paroissiale à l’origine romane, mais fortement remaniée au fil des siècles. La date de construction de l’édifice primitif est inconnue, et il ne semble en subsister aujourd’hui que les murs de la nef, remaniés au XVe siècle, mais dont l’épaisseur atteste leur ancienneté, tout comme l’apparente sobriété du vaisseau. Le clocher octogonal est ensuite l’élément le plus ancien de l’église. Il daterait du XIIIe ou du début du XIVe siècle. Le chœur pentagonal semble gothique, mais sa datation est inconnue. Au XVe siècle, la chapelle sud dédiée à la Sainte Vierge est construite lors d’une campagne de rénovation, tout comme un premier porche. Ce dernier est repris au XVIIIe siècle mais conserve ses pierres d’origine. Au XIXe siècle, l’église est rénovée plusieurs fois, afin lui donner le style néo-gothique qu’elle a aujourd’hui. La chapelle nord est ajoutée en 1867, et dédiée à saint Joseph. A la fin du siècle, la nef est remaniée de nouveau : des baies néo-gothiques sont percées, les voûtes refaites et supportées par des contreforts, et la toiture est remplacée. L’édifice actuel comporte des vitraux modernes qui méritent d’être mentionnés. Ils datent du XIXe siècle et sont signés de Lucien Bégule.
Adresse | Place de l’église, 71870 Hurigny |
Coordonnées GPS | 46°20’54.04"N 4°47'47.4"E |
Paroisse de rattachement | Paroisse Saint Vincent de Paul de Mâcon |
Protection Monuments Historiques | / |
Sommaire
- 1 Historique
- 2 Description architecturale
- 3 Inventaire décor et mobilier [14]
- 4 Rénovations / Etat
- 5 Actualités
- 6 Visite
- 7 Association engagée
- 8 Iconographie ancienne et récente
- 9 Plans cadastraux
- 10 Bibliographie
- 11 Sources
- 12 Propriétaire / Contact
- 13 Patrimoine local et/ou folklore
- 14 Notes et références
Historique
Le village d’Hurigny est une zone de peuplement ancienne. Une voie romaine passait notamment au lieu-dit Le Potet, dont les traces étaient encore visibles au siècle dernier[1]. Des tombes romaines et mérovingiennes ont également été retrouvées sur le territoire de la commune. La première mention du village est faite à la fin du IXe siècle (864-872) dans une charte du chapitre de Saint-Vincent de Mâcon, sous le nom d’Urnaco[2]. Le toponyme se fixe sur Hurigny au XVIIe siècle. L’activité du village est en majorité viticole. La commune s’attache également à entretenir et mettre en valeur son patrimoine historique et culturel.
Un premier édifice dédié au culte est mentionné à Hurigny au Xe siècle, dans plusieurs chartes du chapitre de Saint-Vincent de Mâcon : Capella Sancte-Marie in villa Uriniaco[3]. Alors sous le vocable de Sainte-Marie, cet édifice est qualifié d’ecclesia au siècle suivant : In agro Salorniacensi, in villa que dicitur Uriniaco, prope ecclesiam Sancte-Marie. Au XIIe siècle, l’église est vraisemblablement reconstruite. Elle est alors à la collation du chapitre cathédral, et suit un plan typiquement roman : une nef unique, suivie d’une travée sous clocher et d’une abside semi-circulaire. De cette construction, il ne reste aujourd’hui que les murs de la nef, dont l’épaisseur (1m10) témoigne de leur ancienneté.
Au XIIIe siècle, la parrochia Urigniaci[4], dont l’église Sainte-Marie est le centre, est citée pour la première fois. A la fin de ce siècle ou début du XIVe, le clocher est reconstruit et prend sa forme actuelle. Au XVe siècle, les troubles de la Guerre de Cent Ans s’invitent à Hurigny. Le château de Salornay est notamment détruit par les troupes de Louis XI. L’église est aussi visiblement en partie détruite. Un premier remaniement majeur de l’édifice a lieu : construction de l’abside, de la chapelle sud (chapelle de la Vierge) et du porche primitif, restauration globale.
Peu d’informations nous sont parvenues au sujet de l’église lors des siècles suivants. Vers 1787, on sait que le porche est reconstruit, en conservant les pierres et les fondations de celui d’origine[5]. Au moment de la Révolution, le village se voit pénalisé pour avoir continué à pratiquer le culte[6]. L’édifice est visiblement endommagé, puisque au début du XIXe siècle, il nécessite des réparations urgentes pour éviter son effondrement et pouvoir y accueillir les fidèles. Ces travaux sont réalisés vers 1821, et concernent notamment la toiture, les murs et le clocher. L’église est placée sous le vocable de Notre-Dame-de-l’Assomption à une date inconnue.
En 1852, les deux plus grosses cloches sont refondues et viennent remplacer la petite datant de 1810, hors d’usage (mais conservée dans le clocher). En 1862, le cimetière qui entourait jusqu’alors l’église est déplacé en dehors du bourg, afin d’assainir le centre du village et les abords du lieu de culte. En 1866, cette évolution permet la construction de la chapelle nord dédiée à saint Joseph, en symétrie avec celle du XVe siècle. Les sacristies pourraient également dater de cette construction. Les travaux sont menés par l’entrepreneur Lebuy, de Mâcon, et financés par un donateur anonyme[7]. L’année suivante, la croix qui fait face au porche est érigée[8] et également dédiée à saint Joseph.
En 1884, le clocher est réparé. En 1896, l’architecte mâconnais Adrien Pinchard rédige un rapport assez accablant concernant l’état de l’église. Il décrit un édifice dans une situation très précaire, et prévoit un base projet de rénovation. En 1897, un contrat est signé par la commune pour un montant de 28 000 francs, pris en charge par la fabrique et par un complément pécunier accordé à titre personnel par Alphonse Michoud[9] (président de la fabrique). Les travaux sont une nouvelle fois menés par Victor Lebuy, et réalisés sur les plans de Pinchard. A cette occasion, l’église est entièrement rénovée, et la nef est remaniée dans un stylé néo-gothique censée la renforcer et lui apporter de la clarté (percement des très larges baies et de l’oculus, réalisation des voûtes…). L’entreprise Les Bussière réalise le décor peint de l’édifice.
En 1913, la toiture en laves du clocher est réparée grâce au financement de Mme de Leusse[10]. Plusieurs vagues de travaux d’entretien sont menées au cours du XXe siècle. En 1991, les cloches sont électrifiées. Plus récemment, en 2019, la place de l’église a été entièrement réhabilitée[11] et accueille le Monuments aux Morts. La même année, la façade de l’église a été restaurée et assainie.
*Anecdote [12]:
Un visage sculpté se trouve sur une des arêtes de la pyramide du clocher. Il s’agirait du visage d’un maître-maçon ayant participé à la construction du clocher, tombé lors des travaux. Son visage aurait été sculpté en hommage par les autres ouvriers.
Description architecturale
GLOSSAIRE : Bourgogne Romane
L’église d’Hurigny est composée d’une nef unique rectangulaire, d’une travée sous clocher flanquée de deux chapelles formant transept, et d’une abside à cinq pans entrecoupés. Orientée à l’est, elle est en forme de croix latine.
On accède à l’édifice via un porche d’entrée, aussi appelé caquetoire. Sa toiture à trois pans repose sur quatre colonnes octogonales, elles-mêmes supportées par un petit muret de pierre fermant ce petit espace entièrement dallé. Ce porche protège le portail principal, en cintre brisé, de facture très simple. Au-dessus du porche, un oculus néo-gothique a été percé au XIXe siècle, juste en dessous d’une petite ouverture rectangulaire. Le pignon est épaulé de deux contreforts aux extrémités et surmonté d’une croix à sa pointe. Les murs gouttereaux de la nef sont chacun percés de trois larges baies à remplage gothiques, séparées par des contreforts. Au sud, une porte latérale permet d’accéder à la nef. Le transept est formé par deux chapelles latérales épaulées par des contreforts diagonaux, et ouvertes par de larges baies à remplage. Des médaillons moulurés se trouvent au-dessus de ces baies, juste en dessous du toit à deux pans. Au sud, la porte d’accès au clocher est intégrée à la toiture de la chapelle. Le clocher octogonal s’élance au-dessus de la croisée du transept. Il est composé d’un soubassement aveugle et de deux étages séparés par des cordons de pierre. Le premier niveau est percé d’une baie en cintre brisé sur quatre de ses faces. Le deuxième niveau comporte une baie géminée par face, en cintre brisé, avec retombée médiane sur colonnette. Le clocher est coiffé d’une courte pyramide à huit pans. A l’est, l’abside à cinq pans complète l’édifice. Elle est percée de cinq baies gothiques allongées, délimitées par des contreforts. L’abside est flanquée au nord et au sud de deux petites sacristies modernes, ouvertes d’une baie en cintre brisé à l’est, et décorées de médaillons moulurés. Une corniche à modillons nus court sur tout l’édifice et supporte la toiture de laves (abside) et de tuiles (reste de l’église).
A l’intérieur, la nef de trois travées est entièrement dallée et voûtée de croisées d’ogives. Celles-ci sont séparées par des arcs doubleaux brisés qui reposent sur des colonnes engagées, où ils rejoignent les nervures des croisées. Des stalles de bois longent les murs de la nef et se poursuivent le long du chœur. Ce-dernier, surélevé par rapport à la nef, s’ouvre via un arc très aigu. La travée sous clocher et les chapelles latérales sont voûtées de croisées d’ogives reposant sur des culots sculptés. Elles accueillent respectivement l’autel moderne et les autels latéraux. Les chapelles communiquent avec la croisée par des arcs brisés ornés de pinacles et « choux » de style gothique[13]. A l’est, un arc fortement brisé mène à l’abside. Les cinq pans de cette dernière sont délimités par les nervures de la croisée d’ogives qui voûte l’ensemble. Ces nervures reposent sur de fines colonnes. Tout l’édifice est éclairé par des vitraux remarquables, réalisés par Lucien Bégule.
Inventaire décor et mobilier [14]
- Maître-autel : surmonté du tabernacle, il figure sur le devant le Bon Pasteur avec l’agneau sur les épaules et une flûte de Pan à la main droite ; il est encadré de Marie et de saint Joseph.
- Autels latéraux :
Dédié à saint Joseph : avec le chiffre de saint Joseph (SJ), encadré de lys
Dédié à la Vierge Marie : pierre sculptée représentant au centre la Vierge avec Jésus et Jean-Baptiste enfants, entourée de Saint Louis et d’un personnage en habits d’évêque
- Tableaux :
Représentation de saint Joseph mourant, entouré de Jésus et de Marie
Piéta ornant le triptyque en bois comportant la liste des gueulatis (habitants d’Hurigny) morts au combat. Elle fut réalisée par Honoré Hugrel en 1921.
Peinture du Christ (au-dessus de la porte latérale)
Médaillon représentant la Vierge à l’Enfant (au-dessus de la porte principale)
- Peintures ornementales modernes, réalisées par l’entreprise mâconnaise "Les Bussière"[15]
- Statuaire :
Sainte Marie-Madeleine, en bois, agenouillée (chapelle Saint-Joseph)
Vierge à l’Enfant (chapelle de la Vierge)
Saint Juste : statue issue de la chapelle du même nom qui se trouvait à Salornay[16], et sauvée par les habitants lors de la Révolution, puis installée à Hurigny.
Religieuse en prière (face à la chaire à prêcher)
Saint François d’Assise (chapelle de la Vierge)
Sainte couronnée, peut-être sainte Philomène (chapelle de la Vierge)
Saint Joseph et Jésus enfant (nef)
Saint Antoine de Padoue (nef)
Saint Joseph, âgé (au-dessus de l’autel de la chapelle qui lui est dédiée)
Sainte Thérèse de Lisieux
Saint Joseph, jeune (entrée de la chapelle qui lui est dédiée)
- Chemin de croix
- Trois cloches :
Deux cloches datant de 1852 : une de 760kg et une de 380kg, fondues par la société Morel de Lyon
Une cloche datant de 1810, de 115kg
- Dalles funéraires
- Confessionnal en bois (gauche de l’entrée principale)
- Fonts baptismaux en bois, entourés d’une grille de fer forgé et surmontés d’une statue de la Vierge (droite de l’entrée principale)
- Cuve baptismale sculptée (à l’entrée à droite, dans la nef)
- Bénitier encastré
- Chaire à prêcher (gauche de l’arc triomphal) : elle présente les statues du Christ Bon Pasteur et des Evangélistes représentés avec leurs symboles respectifs.
- Stalles de bois ornées de plis drapés, en chêne (contre les murs de l’église)
- Vitraux de Lucien Bégule (1848-1935), peintre-verrier lyonnais :
00 : Sainte Vierge couronnée d’étoiles
07 : Apparition du Sacré-Cœur à Sainte Marguerite Marie Alacoque (1647-1690), religieuse à Paray-le-Monial
08 : Apparition de la Vierge Marie à Sainte Bernadette de Lourdes
09 : Sainte Jeanne d’Arc à Domrémy entendant la voix de sainte Marguerite, sainte Catherine et saint Michel
10 : Martyr de Saint Jean-Gabriel Perboyre Lazariste – le 1er saint de Chine, né en 1802 dans le Lot. Une copie de ce vitrail se trouve dans une église de Santiago du Chili.
11 : la transverbération de Sainte Thérèse d’Avila (1515-1582), carmélite
12 : La Vierge enfant, avec ses parents Sainte Anne et Saint Joachim
01,02,03,04,05,06, W100 : motifs variés
Rénovations / Etat
Rénovations :
XIXe :
1819-1821 : réparation importante de l’église : enduit extérieur, enduit intérieur du clocher, serrurerie et peinture du portail d’entrée.
1852 : refonte de deux cloches
1862 : déplacement du cimetière
1866-1867 : construction de la chapelle nord et de sa sacristie ; installation de la croix en face de l’église.
1884 : réparations du clocher
1896-1898 : reprise de la nef, restauration globale
XXe : Travaux d’entretien
1913 : réparation de la toiture en laves du clocher
1931 : installation d’un bec électrique devant l’église
1977 : réfection de la toiture
1991 : électrification des cloches avec sonnerie automatique des heures
XXIe : Travaux d’entretien
2019 : restauration de la place face à l’entrée de l’église, sur laquelle se trouve le Monument aux Morts
2019 : restauration de la façade ouest : hydrogommage par voie humide des blocs de maçonnerie en pierre, réfection des joints au mortier de chaux, gommage des 4 piliers en pierre, application d’un enduit taloché sur le pignon ouest et l’auvent d’entrée ; traitement des deux contreforts.
Etat :
L’église d’Hurigny est dans un état convenable, mais nécessiterait une restauration intérieure et extérieure, notamment afin d’éviter les infiltrations d’eau.
Classement :
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Actualités
Pour suivre l’actualité de l’édifice, consulter le site de la commune ou la page Facebook de l’association de sauvegarde du patrimoine :
Visite
L’église est d’ordinaire ouverte au public, y compris lors des Journées du Patrimoine.
Pour plus de renseignements, contacter la mairie ou l’association de sauvegarde du patrimoine.
L’accès à l’édifice semble difficile pour les personnes à mobilité réduite (des marches précèdent les entrées principale et latérale, et l’édifice n’est pas muni d’une rampe d’accès).
Association engagée
Association pour la sauvegarde du patrimoine d'Hurigny
Présidente : Florence ROYER LICHTER
Contact : associationpatrimoinehurigny@gmail.com
L’association a fêté ses 20 ans en 2019 :
Iconographie ancienne et récente
Crédit Photos: CEP
Plans cadastraux
Bibliographie
- GUILLEN, André, Des siècles et des hommes, 2019 (en vente auprès de l’association).
- RIGAULT, Jean, Dictionnaire topographique du département de la Saône-et-Loire, 2008.
Sources
- Oursel, Anne-Marie et Raymond, Fiche d’inventaire départemental, 1976 :
Archives départementales de la Saône-et-Loire
- Documents fournis par l’association de sauvegarde du patrimoine d’Hurigny
- Fiche édifice de la pastorale du tourisme 71 :
- Article du JSL :
Propriétaire / Contact
Commune d’Hurigny
03 85 34 78 71
mairie.hurigny71@orange.fr
Patrimoine local et/ou folklore
- Château d’Hurigny :
Château du XVIIIe siècle ayant successivement appartenu aux familles de Lamartine et de Leusse. C’est une propriété privée qui ne se visite pas. Le château et ses dépendances (tinailler, écuries) sont entourés d’un parc de 10 ha planté d ’arbres tricentenaires (des plaques détaillées indiquent leur provenance, l’année de plantation etc) et équipé de plateformes de jeux.
Photos de la commune et du château fournies par l'association de sauvegarde du patrimoine d'Hurigny
- Château de Salornay :
Château datant des XVIIe et XVIIIe siècles. C’est une propriété privée qui ne se visite pas, mais abrite une chambre d’hôtes.
Notes et références
- ↑ Fiche Wikipays d’Hurigny
- ↑ Rigault, Jean, Dictionnaire topographique du département de la Saône-et-Loire, 2008
- ↑ Ibidem
- ↑ Ibidem
- ↑ Oursel, Fiche d’inventaire départemental.
- ↑ Ibidem
- ↑ Ibidem
- ↑ Elle serait pour certains le don de missionnaires.
- ↑ Oursel
- ↑ Oursel
- ↑ Article du JSL
- ↑ Document de l'association
- ↑ Pastorale du tourisme 71
- ↑ En parti établi grâce aux documents de la pastorale du tourisme 71 et de l’association de sauvegarde du patrimoine d’Hurigny
- ↑ Document de l’association
- ↑ Ibidem