Château
Château | |
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Département | Saône et Loire |
Territoire | |
Arrondissement | Arrondissement de Mâcon |
Canton | |
Intercommunalité | |
Code Insee, postal | 112 / 71250 |
Habitants | 215 |
Château est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région de Bourgogne-Franche-Comté.
Sommaire
Situation administrative
Histoire et patrimoine
Vestiges paléolithiques
Le site dit de la Brèche de Château livre notamment des ossements d'ours et de lions des cavernes.
Vestiges archéologiques
Sauf précisions contraires, toutes les indications ci-dessous proviennent du livre Gabriel JEANTON, « Le Mâconnais gallo-romain », fascicule II - 1926, pp.17-18 :
- des fouilles ont été exécutées dans le bourg, sur l'emplacement de l'ancienne ville, avant 1926. Elles ont été abandonnées à cause de la dureté des maçonneries rencontrées ;
- des monnaies romaines ont été recueillies en plusieurs points de la commune, à plusieurs époques ;
- Autour de l'église, des sarcophages monolithes ont été mis au jour ; l'un d'eux, trapézoïdal, servirait depuis 1850 d'abreuvoir au hameau de Saint-Léger ;
- Près du château de Borde, on a décoouvert dans un champ plusieurs sarcophages trapézoïdaux. Ils ont été transportés au château pour servir d'abreuvoirs.
- Au lieu-dit Les Noyers, des constructions et des vases gallo-romains, ainsi qu'une monnaie de Constantin le jeune ont été trouvées. [1]
- Au lieu-dit Les Noyers, des sépultures antiques ont été mises au jour.
- A Saint-Léger, autour de l'ancienne chapelle, des sépultures ont été trouvées.
Chronologie générale
- époque gallo-romaine : lieu déjà fortifié.
- vestiges mérovingiens.
- 876 : le roi Charles II le Chauve, fils de Louis 1er le Pieux et de Judith de Bavière, petit-fils de Charlemagne, fait don à l’évêque de Mâcon, en cette année qui précède sa mort à Avrieux, des propriétés du fisc (impérial) situées à Château. Ces fonds consistent en une villa, avec son castel et on église, qui porte déjà le nom de Saint-Martin ; l'ensemble est inclus dans l'ager de Jalogny.
- 878 : le fils de Charles II le Chauve, Louis le Bègue, donne aux chanoines de Saint-Vincent de Mâcon des possessions qu’il avait au territoire de la "villa" de Château, avec le castel (castellum) et son église (déjà sous le vocable de Saint-Martin).
- du 9eau début 10e siècle : Le « village » de Château fait partie de l’ager de Jalogny.
- 962 : Château est le siège de la juridiction d’un viguier, officier subalterne du comte de Mâcon, réunissant autorité civile et militaire.
- 2e moitié du 11e siècle : Château est érigé en paroisse.
- vers l’an 1200 : Château est une des châtellenies de Saint-Vincent de Mâcon. Les possessions des chanoines dans les paroisses de Jalogny et de Buffières relèvent de cette châtellenie.
Les fourches patibulaires et le plastre de la justice sont installés sur la montagne de Maugré.
- 1430 (juillet et août) : le bâtard de Bourbon, comte de Clermont, du parti Armagnac, envoie des troupes sous les ordres d’Humbert de Grolée, bailli du Lyonnais, et de Rodrigue de Villandro, capitaine d’une compagnie de routiers, pour entrer dans le Mâconnais et le Charolais. Le château-fort de Château est un de ceux qui tombent entre leurs mains.
- 1431 (mars) : la forteresse de Château est reprise aux Armagnacs par Louis de Chalon, prince d’Orange.[2]
- 16e siècle : La tour (actuel clocher), barlongue, éventuellement datée du XVIe siècle,
porte au linteau en accolade très émoussée ,
étages supérieurs aménagés en logements privés,
couverture à 4 pans en lauzes.
A l’étage du beffroi, 3 grandes baies rectangulaires creusées dans les grands côtés, et 2 de même type dans les petits ; surélévation moderne.[3]
- 1566 : Antoine Pelletrat, bourgeois de Cluny, reçoit en accensement du chapitre de Mâcon la grangerie de Borde, dont ses descendants ont pris le nom.[4]
- 1580 (28 août) : traité passé entre l’abbé de Cluny, Claude de Guise, et les « manants » du hameau de Saint-Léger à Château, concédant à ses tenanciers particuliers des droits d’usages dans ses bois.[5]
- 1581 (23 avril) : avenant au traité d’août 1580, signé au « châtel » de Lourdon.[6]
- 1595 (6 avril) : le maréchal Biron, vieux compagnon d’armes de Henri IV, reprend possession de Cluny au nom de roi Henri IV. Il demande à la ville 2.500 écus pour ne pas procéder aux réquisitions que nécessite le logement de ses troupes. Malgré le versement de la somme, quelques troupes y entrent quand-même, et s’y comportent comme des barbares selon un témoin de l’époque, le notaire Leronde. Composée de Gascons, Bretons, Normands, Poitevins, arquebusiers français et mercenaires suisses, cette armée est avide de pillages.
Dans le pays tout entier, incendie, viol, meurtre, signalent le passage des soldats de Biron.[7]
Le Castel de Château est pris et repris plusieurs fois à cette époque.
- 1597 (2 mai) : 2 chanoines (de Saint-Vincent) viennent visiter les biens du chapitre. « Toute la construction est par terre, seule la grande tour reste debout. Les portes et les ferrures ont été portées à Cluny en la maison de Barthélémi Paisseaud. »
La tour sera désormais considérée comme maison seigneuriale, avec ses 3 étages, cave dessous, écuries, citernes, four et chenevière de 3 coupées. [8]
- fin des guerres de la Ligue : L’ancien presbytère de Château fut ruiné durant les guerres de la Ligue, et selon tout vraisemblance réparé par la suite.[9]
- 1601 : Château participe, comme Mazille et nombre de paroisses (selon le manuscrit de Léronte), à un grand pèlerinage à Salornay-sur-Guye « afin d’y prier pour la paix et détruire l’hérésie qui régnait en ce lieu ».
« Les catholiques étaient au nombre d’environ 5 000, et celui des Protestants n’était que de 62 ».[10]
- 1667 : début des registres de baptêmes, mariages, décès à Château, tenus par les prêtres.[11]
- 1675 : 300 communiants à Château.[12]
- 1685 : 108 feux cotisés à Château.[13]
XVIIe et XVIIIe siècles : siège d'une commanderie de Malte.
- 1709 (5 janvier) : le plus fort du froid d’un hiver terrible qui cause de nombreux décès dans le Mâconnais et le Clunisois. Dans les registres de baptême de Château, le curé André ne compte qu’un baptême pour les années 1708 et 1709, alors qu’on en compte en moyenne une trentaine pour chacune des années précédentes.[14]
- 1734 (25 janvier) : en application de l’ordonnance royale du 12 novembre 1733, qui prévoyait la constitution de 132 bataillons de 684 miliciens, 124 miliciens doivent être recrutés dans les Etats du Mâconnais en 1734. Le commissaire chargé de recruter entre autres sur la « communauté » de Château, désigne par tirage au sort 1 homme engagé pour 5 ans. Le sort désigne Claude Grozelier, 25 ans, natif de Jalogny, parmi 10 autres sélectionnés. Mais les témoins ayant refusé de signer le procès-verbal, 3 autres garçons sélectionnables s’étant dérobés au tirage, un nouveau tirage au sort désigne l’un d’eux Nicolas Dessaignes comme milicien, qui devra être arrêté par la Maréchaussée pour se substituer au précédent désigné.[15]
- 1762 : selon Mgr Rameau (« les paroisses de l’ancien diocèse de Mâcon) », le chapitre de Saint-Vincent de Mâcon se réserve une chambre dans la tour du château.[16]
- 1791 : 727 habitants à Château.[17]
- 1824 (11 septembre) : lettre du préfet (de Mâcon) chargeant François Vaillant, ingénieur en retraite demeurant à Mâcon, d’un projet d’agrandissement de l’église. Le projet ne sera pas réalisé à cette époque.
Dans son rapport il indique : « l’église existante est grossièrement construite, mal éclairée, et ne peut contenir que la moitié environ de la population de la commune qui est à peu près de 900 âmes ».[18]
- 1847 (1er décembre) : l’architecte Guillemin, de Mâcon, indique dans son rapport technique sur l’église que la commune de Château compte 750 habitants.[19]
Histoires, personnages et anecdotes
« Les chevaliers de Rhodes possédèrent des terres en seigneurie dans cette commune. Diverses dénominations locales rappellent cette circonstance. Outre le hameau et la forêt de Rhodes, un écart porte encore le nom de Commanderie et un autre celui de Chevalerotte. » p.10 in « Chateau (Saone et Loire) et son passé , 1ère partie des origines à 1789», Suzanne LAFORET, Alain et Jacqueline ARGANT, dactylographié, 1981
Patrimoine Bâti
Ancienne chapelle seigneuriale (fin XVIe ?) et église paroissiale Saint-Martin :
- 1597 (2 mai) : 2 chanoines (de Saint-Vincent) viennent visiter les biens du chapitre. « Toute la construction est par terre, seule la grande tour reste debout. Les portes et les ferrures ont été portées à Cluny en la maison de Barthélémi Paisseaud. »
La tour sera désormais considérée comme maison seigneuriale, avec ses 3 étages, cave dessous, écuries, citernes, four et chenevière de 3 coupées.[20]
- 1824 (22 janvier) : Ordonnance royale autorisant la commune à racheter d’une part le futur logement presbytérial et ses dépendances à François-Louis Pelletrat de Borde, et d’autre part la tour (pour loger l’instituteur), le terrain permettant d’agrandir le cimetière et une dotation pour le desservant, pour 3 100 francs, aux sieurs Blais et Aucaigne. Le paiement s’effectuant pour partie grâce à la vente du quart en réserve des bois de la commune.[21]
- 1824 (11 septembre) : lettre du préfet (de Mâcon) chargeant François Vaillant, ingénieur en retraite demeurant à Mâcon, d’un projet d’agrandissement de l’église. Le projet ne sera pas réalisé à cette époque.
Dans son rapport il indique : « l’église existante est grossièrement construite, mal éclairée, et ne peut contenir que la moitié environ de la population de la commune qui est à peu près de 900 âmes ».[22]
- 1838 (20 juin) : devis de réfection de l’église par l’architecte en retraite François Vaillant (Mâcon), portant sur la seule réfection du grand arc de l’entrée du chœur, dégradé, ainsi qu’une partie du pavage.[23]
- 1846 (3 mars) : Projet d’agrandissement de l’église de l’architecte Jacquelot, de Cluny, non retenu.[24]
- 1847 (8 août) : projet d’agrandissement de l’église de l’entrepreneur Panay, de Château, non retenu.[25]
-1847 (1er décembre) : projet d’agrandissement de l’église par l’architecte Guillemin, de Mâcon, retenu. Le devis prévoit une dépense de 5 600 francs. Il s’agit d’agrandir l’église de façon à ce que l’abside soit au contact de la tour, transformant celle-ci en clocher avec sacristie au rez-de-chaussée et cloches au deuxième étage (le marguillier habitant au premier étage). La cloche, placée dans un des pignons n’est pas assez haute pour être entendue de toute la commune.
Les travaux sont confiés à l’entrepreneur Claude Panay, de Château.[26]
- 1889 (6 août) : rapport Authelain portant sur des travaux de réfection de la toiture en lauzes de l’église, préconisant le sieur Polachon couvreur à Cortevaix comme seul assez compétent pour ce travail, et indiquant qu’il faut aller chercher la pierre à Mazille (4km), la seule carrière en exploitation sur la commune de Château n’étant pas susceptible de fournir les pierres assez minces et de qualité.
- 1890 (13 juillet) : adjudication des travaux de toiture et exécution des travaux.
- 1895 (10 février) : la voûte de l’église, agrandie d’un transept et d’une nouvelle abside, s’effondre (l’édifice est couvert de lauzes).[27]
- 1895 (14 février) : suite à l’effondrement de la voûte de l’église, le Vicaire général d’Autun autorise le desservant de Château à utiliser provisoirement la chapelle du château de Borde pour les offices religieux.[28]
- 1895 (12 mars) : dessin de coupe transversale de l’église, en vue de réfection.
- 1895 (3 décembre) : dessin d’un plan du solde l’église, en vue de réfection.
- 1896 (19 juillet) : adjudication des travaux de réfection de l’église à l’entrepreneur Sangouard, de Cluny. Elle inclue la révision de la charpente, l’installation d’un plafond à la française, le remplacement de la couverture de « laves » trop lourdes par des tuiles mécaniques, le remplacement du cintre mouluré de la porte en pierre de taille (effrité par le gel), le remplacement des parties pourries du plancher du clocher (la tour), abat-son posés aux 10 grandes fenêtres de l’étage supérieur.[29]
- 1898 (15 mars) : réception définitive des travaux de réfection de l’église.[30]
Tour :
La tour (actuel clocher), barlongue, éventuellement datée du XVIe siècle,
porte au linteau en accolade très émoussée ,
étages supérieurs aménagés en logements privés,
couverture à 4 pans en lauzes.
A l’étage du beffroi, 3 grandes baies rectangulaires creusées dans les grands côtés, et 2 de même type dans les petits ; surélévation moderne.[31]
Presbytère :
L’ancien presbytère de Château fut ruiné durant les guerres de la Ligue, et selon tout vraisemblance réparé par la suite.[32]
- 1601 (juillet) : Loys de Mazille, desservant de l’église de Château, demande au chapitre de Saint-Vincent de Mâcon quelques « deniers et chênes » pour rebâtir une petite maison « qu’il a acquise avec ses paroissiens, la cure ayant été ruinée lors de la démolition du château ».
On n’est pas en mesure de préciser où était situé ce petit logement, si ce n’est par la mention de sa vente par Mgr Rameau.[33]
- 21 septembre 1796 : vente du petit logement acquis pour faire presbytère ; Mgr Rameau indique dans « La Révolution dans l’ancien diocèse de Mâcon » que « le presbytère, avec jardin, petit bosquet, vigne, le tout de 6 coupées, sis lieu-dit Augereau, fut vendu pour 1 517 livres 10 sols au citoyen Potier de Mâcon, le 21 septembre 1796 ».
- 1823 (15 et 16 août) : délibérations municipales décidant les différentes acquisitions à venir concernant d’une part un presbytère, et d’autre part la tour, l’agrandissement du cimetière, la dotation du desservant de l’église.
- 22 janvier 1824 : Ordonnance royale autorisant la commune à racheter d’une part le futur logement presbytérial et ses dépendances à François-Louis Pelletrat de Borde, et d’autre part la tour (pour loger l’instituteur), le terrain permettant d’agrandir le cimetière et une dotation pour le desservant, pour 3 100 francs, aux sieurs Blais et Aucaigne. Le paiement s’effectuant pour partie grâce à la vente du quart en réserve des bois de la commune.
- 1824 (8 août) : la commune de Château, représentée par son maire, Claude Ducrot-Commerçon, demeurant à Cluny, acquiert de François-Louis Pelletrat de Borde, Conseiller de la préfecture domicilié à Mâcon et propriétaire du château de Borde, pour la somme de 2 400 francs, un ensemble immobilier comprenant un logement dont elle souhaite faire le presbytère, un jardin, une vigne, Le futur logement presbytéral comprend « une maison composée dans le dessous d’un four, deux caves et un bûcher, dans le dessus d’une cuisine, de deux chambres et d’un cabinet, avec deux greniers régnant sur lesdits appartements ; une cour au devant, un jardin, un colombier … une friche de terre attenant au jardin, le tout étant clos de murs. » Le marché était autorisé par Ordonnance Royale du 22 janvier précédent.[34]
Cimetière :
- 1846 (30 juillet) : plan de l’architecte Jacquelot cadet pour la translation de l’ancien cimetière de l’église vers un emplacement communal.
- 1849 (5 août) : délibération du conseil municipal de Château autorisant une translation de l’ancien cimetière implanté au Nord de l’église vers un emplacement communal d’une superficie de 10 ares, situé un peu plus au nord.[35]
- 1849 (25 septembre) : arrêté préfectoral approuvant le projet de translation du cimetière de l’église vers un emplacement communal, préparé dès 1846 par l’architecte Jacquelot cadet.[36]
Lavoir du Vernay :
Originalité majeure du lavoir : une cuve faite d’un assemblage de belles dalles calcaires curieusement posées de biais sur leur tranche, engendrant ainsi un volume trapézoïdal. Les dalles sont soutenues aux angles et le long des grands côtés par des pierres taillées en triangle, qui s’insèrent à la verticale dans l’angle déterminé par le sol et les dalles biaises du bassin.
- 1842 (30 août) : un procès-verbal du garde-champêtre indique que Marcel Fautrière, du Hameau du Vernay, est accusé de détournement d’eau à son profit, démontrant ainsi qu’il existe déjà un point d’eau à cette époque.
- 1875 (18 août) : le préfet de Mâcon approuve la construction d’un lavoir couvert avec abreuvoir au hameau du Vernay, sans difficulté car la dépense prévue n’excède pas 1 000 francs. Monsieur de Borde en a dressé les plans, et se charge du travail avec l’aide des habitants. L’opération est financée par un excédent de recette (544,31 francs) et par une souscription publique (368 francs) en argent et en nature. L’emplacement est offert gracieusement. Les tailleurs de pierre locaux, Louis Lavallée et Jouvenaud, travaillent au chantier.[37]
Moulin à vent
- Chateau des Bordes, 1763
- Château de Saint-Laurent, XIXe siècle
- Nombreuses habitations rurales et anciennes propriétés viticoles des XVIII et XIXe siècles.
- 6 croix de chemins
- 4 lavoirs
- un moulin à eau, XVIIIe siècle
Loisirs et culture
Personnages célèbres
Théodore Chavot, avocat et historien
Agriculture
Espace et territoire
- Altitude : 325 m
- Superficie : 1404 ha
- Densité : 18.71
Une grotte karstique a été découverte en 2014.
Notes
- ↑ Théodore Chavot, in le Mâconnais, 1884, p. 313
- ↑ p.14 in « Chateau (Saone et Loire) et son passé , 1ère partie des origines à 1789», Suzanne LAFORET, Alain et Jacqueline ARGANT, dactylographié, 1981
- ↑ p. 50 in « Histoire et Monuments de Saône et Loire, canton de Cluny », 6e volume Or, de R. et A.M OURSEL, Conseil Général de S&L, 1991
- ↑ p.31 in « Chateau (Saone et Loire) et son passé , 1ère partie des origines à 1789», Suzanne LAFORET, Alain et Jacqueline ARGANT, dactylographié, 1981
- ↑ p.26 in « Chateau (Saone et Loire) et son passé , 1ère partie des origines à 1789», Suzanne LAFORET, Alain et Jacqueline ARGANT, dactylographié, 1981
- ↑ p.30 in « Chateau (Saone et Loire) et son passé , 1ère partie des origines à 1789», Suzanne LAFORET, Alain et Jacqueline ARGANT, dactylographié, 1981
- ↑ p.302 in CHAMPLY, Louis-Henri, « Histoire de l’Abbaye de Cluny », 3e édition, Paris, 1930
- ↑ p.21 in « Chateau (Saone et Loire) et son passé , 1ère partie des origines à 1789», Suzanne LAFORET, Alain et Jacqueline ARGANT, dactylographié, 1981
- ↑ p. 51 in « Histoire et Monuments de Saône et Loire, canton de Cluny », 6e volume Or, de R. et A.M OURSEL, Conseil Général de S&L, 1991
- ↑ p.22 in « Chateau (Saone et Loire) et son passé , 1ère partie des origines à 1789», Suzanne LAFORET, Alain et Jacqueline ARGANT, dactylographié, 1981
- ↑ p.22 in « Chateau (Saone et Loire) et son passé , 1ère partie des origines à 1789», Suzanne LAFORET, Alain et Jacqueline ARGANT, dactylographié, 1981
- ↑ p.24 in « Chateau (Saone et Loire) et son passé , 1ère partie des origines à 1789», Suzanne LAFORET, Alain et Jacqueline ARGANT, dactylographié, 1981
- ↑ p.24 in « Chateau (Saone et Loire) et son passé , 1ère partie des origines à 1789», Suzanne LAFORET, Alain et Jacqueline ARGANT, dactylographié, 1981
- ↑ p.31 in « Chateau (Saone et Loire) et son passé , 1ère partie des origines à 1789», Suzanne LAFORET, Alain et Jacqueline ARGANT, dactylographié, 1981
- ↑ p.235 in « Chateau (Saone et Loire) et son passé , 1ère partie des origines à 1789», Suzanne LAFORET, Alain et Jacqueline ARGANT, dactylographié, 1981
- ↑ p. 48 in « Histoire et Monuments de Saône et Loire, canton de Cluny », 6e volume Or, de R. et A.M OURSEL, Conseil Général de S&L, 1991
- ↑ p.24 in « Chateau (Saone et Loire) et son passé , 1ère partie des origines à 1789», Suzanne LAFORET, Alain et Jacqueline ARGANT, dactylographié, 1981
- ↑ p. 48 in « Histoire et Monuments de Saône et Loire, canton de Cluny », 6e volume Or, de R. et A.M OURSEL, Conseil Général de S&L, 1991
- ↑ p. 49 in « Histoire et Monuments de Saône et Loire, canton de Cluny », 6e volume Or, de R. et A.M OURSEL, Conseil Général de S&L, 1991
- ↑ p.21 in « Chateau (Saone et Loire) et son passé , 1ère partie des origines à 1789», Suzanne LAFORET, Alain et Jacqueline ARGANT, dactylographié, 1981
- ↑ p. 52 in « Histoire et Monuments de Saône et Loire, canton de Cluny », 6e volume Or, de R. et A.M OURSEL, Conseil Général de S&L, 1991
- ↑ p. 48 in « Histoire et Monuments de Saône et Loire, canton de Cluny », 6e volume Or, de R. et A.M OURSEL, Conseil Général de S&L, 1991
- ↑ p. 48 in « Histoire et Monuments de Saône et Loire, canton de Cluny », 6e volume Or, de R. et A.M OURSEL, Conseil Général de S&L, 1991
- ↑ p. 48 in « Histoire et Monuments de Saône et Loire, canton de Cluny », 6e volume Or, de R. et A.M OURSEL, Conseil Général de S&L, 1991
- ↑ p. 48 in « Histoire et Monuments de Saône et Loire, canton de Cluny », 6e volume Or, de R. et A.M OURSEL, Conseil Général de S&L, 1991
- ↑ p. 48 in « Histoire et Monuments de Saône et Loire, canton de Cluny », 6e volume Or, de R. et A.M OURSEL, Conseil Général de S&L, 1991
- ↑ p. 49 in « Histoire et Monuments de Saône et Loire, canton de Cluny », 6e volume Or, de R. et A.M OURSEL, Conseil Général de S&L, 1991
- ↑ p. 50 in « Histoire et Monuments de Saône et Loire, canton de Cluny », 6e volume Or, de R. et A.M OURSEL, Conseil Général de S&L, 1991
- ↑ p. 49 in « Histoire et Monuments de Saône et Loire, canton de Cluny », 6e volume Or, de R. et A.M OURSEL, Conseil Général de S&L, 1991
- ↑ p. 50 in « Histoire et Monuments de Saône et Loire, canton de Cluny », 6e volume Or, de R. et A.M OURSEL, Conseil Général de S&L, 1991
- ↑ p. 50 in « Histoire et Monuments de Saône et Loire, canton de Cluny », 6e volume Or, de R. et A.M OURSEL, Conseil Général de S&L, 1991
- ↑ p. 51 in « Histoire et Monuments de Saône et Loire, canton de Cluny », 6e volume Or, de R. et A.M OURSEL, Conseil Général de S&L, 1991
- ↑ p. 51 in « Histoire et Monuments de Saône et Loire, canton de Cluny », 6e volume Or, de R. et A.M OURSEL, Conseil Général de S&L, 1991
- ↑ p. 52 in « Histoire et Monuments de Saône et Loire, canton de Cluny », 6e volume Or, de R. et A.M OURSEL, Conseil Général de S&L, 1991
- ↑ p. 50 in « Histoire et Monuments de Saône et Loire, canton de Cluny », 6e volume Or, de R. et A.M OURSEL, Conseil Général de S&L, 1991
- ↑ p. 51 in « Histoire et Monuments de Saône et Loire, canton de Cluny », 6e volume Or, de R. et A.M OURSEL, Conseil Général de S&L, 1991
- ↑ p. 68 in « Histoire et Monuments de Saône et Loire, canton de Cluny », 6e volume Or, de R. et A.M OURSEL, Conseil Général de S&L, 1991