Hurigny
Hurigny | |
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Département | Saône et Loire |
Territoire | |
Arrondissement | Arrondissement de Mâcon |
Canton | |
Intercommunalité | |
Code Insee, postal | 71235 - 71870 |
Habitants | 2035 Gueulatis en 2019 |
Site web | [1] |
Hurigny est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région de Bourgogne-Franche-Comté. Hurigny est un village du Mâconnais. Il s'étend sur un plateau d'environ 300 mètres d'altitude, dominant la vallée de la Saône. Le village est également encadré par les collines du Mont-Rouge et du Gros Mont. Village viticole du vignoble du Mâconnais.
Les habitants se nomment les Gueulatis. Pourquoi ?
Sommaire
Situation administrative
Commune située à environ 6 kilomètres de Mâcon.
Histoire et patrimoine
- TOPONYMIE :
On trouve les premières mentions de nom du village HURIGNY dans le cartulaire de Saint-Vincent de Mâcon. Le nom a évolué au cours des siècles :
864 - 872 : "Urnaco" (cartulaire St-Vincent) 937 - 962 : "in pago Matisconense, in agro Uriniacens, in ipsa villa Uriniaco" 943 - 952 : "capella sancte-Marie in villa Huriniaco" XIe siécle : "In agro salorniacensi, in villa que dicitur Uriniaco, prope ecclesia Sancte-Marie" XIIe siècle : "In villa Huriniaco" XIIIe siècle : "In villa Hurigniaci" XIVe siècle : "curatus de Hurigiaco, alias Harignaco" Avant 1412 : "ecclesia Hurigniaci, alias Huregniaci" 1543 : Urigné 1560 : Urigny 1610 : Hurigny 1757 : Hurigny en Mâconnois 1783 : Hurigny ou Urigny 1790 : Hurigny
- Le ruisseau de l’Abîme
L’Abîme est le seul cours d’eau de la commune ; ce sont les sources et les puits qui ont permis d'installer et d’alimenter la plupart En ancien français, le mot “abîme” s’est appliqué à l’enfer ; sa signification : gouffre naturel, cavité, caverne, explique sans doute cela. Le mot vient du latin abyssus d’où son ancienne orthographe Abyme, cité pour la première fois en 1856. Le ruisseau qui coule à Hurigny prend sa source aux alentours du “Gros Mont” , au lieu-dit “la Foudre” mais n’apparaît à l’air libre qu’au “Point du Jour” (présence d’un lavoir), coupe la “Route de Mâcon” à la “halte de Chazoux”, après avoir traversé un nouveau lavoir, celui dit du hameau de Chazoux. Avant de passer sous l’autoroute, le ruisseau reçoit le renfort d’un affluent venant des “Miolands”, des “Piasses” et des “Grandes Terres”. L’Abyme traversait Hurigny d’ouest en est et se jetait dans la Saône vers l’actuelle Maison des Vins à Mâcon.
- le Mediolanum d'Hurigny.
Ce Mediolanum du pays des Éduens a déjà signalé, avant 1900, par Auguste Longnon[1]. C'est le hameau dit « Mioland » ou aux « Miolans », situé sur la pente nord du Gros Mont.
En effet, une charte du Cartulaire de Saint-Vincent, des environs de l'an Mille (n° 469), cite cette localité sous la forme Miolanum qui est une abréviation normale, de Mediolanum. Or, les Mediolana sont des lieux sacrés, généralement forestiers, souvent placés sur les hauteurs embrassant un large horizon. Ces lieux sacrés se trouvent aux confins des territoires de plusieurs tribus ou pagi et représentent dans le culte celtique l'omphalos ou nombril du monde (tout au moins d'une race, d'une peuplade ou d'un groupe de tribus).
Le Mediolanum du Gros Mont restait énigmatique, mais lorsqu'on étudie de plus près la question, on s'aperçoit que les trois archiprêtrés primitifs du diocèse de Mâcon, qui paraissent avoir été originairement des pagi minores du pays éduen, viennent aboutir au Gros Mont, qui est leur point commun de réunion. D'autre part, le pagus minor éduen de la rive gauche (archiprêtré de Bagé-Coligny) et le pays des Ambarres aboutissent sur la Saône en face de Mâcon, à l'embouchure de la Veyle, dans un rayon d'une lieue environ du Gros Mont.
Le Mediolanum du Gros Mont se trouvait donc sur le point de jonction de quatre ou cinq tribus gauloises, toutes éduennes. Comme les assemblées religieuses des mediolana s'accompagnaient de grands apports populaires, c'était l'occasion d'échanges commerciaux qui se faisaient à proximité, dans un lieu favorable. Le petit port ligure de Matisco, situé tout près du Mediolanum d'Hurigny, doit sans doute sa fortune à ce dernier.[2]
- Une voie romaine, de Mâcon à Autun, traverse la commune, selon un axe sud-est / nord-ouest. On en voyait encore les traces en 1927 en bas de la colline de Chazoux, au parc de la Garenne, au lieu-dit le Potet. [3]
- des puits d'extraction de terre réfractaire ont été découverts à la Grisière. Ils étaient reliés par des galeries munies encore de leurs boiseries en branches de châtaignier. Du fond d'un des puits, on a retiré un treuil en bois parfaitement conservé, des tessons de céramique, des anses de grandes amphores et une petite pelle à main en bois. [4]
- des nécropoles ont été découvertes en plusieurs points du territoire :
- à Apeugny, au lieu-dit les Tauches, des sépultures en couloirs de pierres brutes, renfermant des squelettes de très grande taille, avec des tuiles romaines ou tegulae, et deux monnaies ;
- au hameau de "Chazoux", au lieu-dit en Chaponnière, une sépulture formée de quatre dalles brutes, trouvée avant 1927 ;
- à Salornay, un sarcophage en grès et des sépultures en caisson contenant des monnaies et une épée ;
- dans la propriété du Prado, les soubassements d'une chapelle contenant une sépulture, vraisemblablement mérovingienne, qui renfermait une perle d'ambre, deux agrafes à double crochet ;
- aux Miolands, dans le lieu-dit Le Clos, des sépultures sous dalles ;
- aux Sarrasins, 200 sépultures entre 1875 et 1930, le plus souvent en coffres de dalles, orientées à l'est, avec parfois jusqu'à trois corps dans chaque tombe.
- première mention du lieu dans une charte de Saint-Vincent-de-Mâcon, en 864-872, Urnaco
- Salornay apparaît au XIe siècle, in agro Salorniacensi, in villa qui dicitur Uriniaco.
- En 1471, les troupes de Louis XI détruisirent la maison forte de Salornay dont l'artillerie avait été prêtée à la ville de Mâcon pour leur résister.
- au XIXe siècle, nombreux séjours de Lamartine au château, propriété de son oncle François Louis de Lamartine de Montculot.
Patrimoine
Le patrimoine d'Hurigny est compposé de plusieurs châteaux ou plûtot d'un château féodal et plusieurs grandes maisons bourgeoises : château féodal de Salornay, château de Chazoux (famille MICHOUD et DE LA CHAPELLE), château de Chanteloup (famille LA FAY), château de Franclieu, des Poccards (devenu chambres d'hôtes et restaurant), de la Garenne (hôpital pour enfants malades et centre aéré de Mâcon), communal avec son parc et sa chapelle (autrefois dit DE LEUSSE), des Rousseaux et de Guilleranche. S'ajoute le petit patrimoine : plusieurs lavoirs, de nombreux puits dont la plupart sont privés, un manège à eau, un château d'eau, un wagon de l'époque du Tacot (petit train), de deux chapelles : une sur la commune à proximité du château et une autre à Salornay face au Prado, un alambic, une ancienne cure désormais habitation privée, de même pour l'ancienne gare du Tacot, une halte dite du Tacot à hauteur de Chazoux, de nombreuses croix de chemins, une statue, bien que proprièté privée est visible sur un des sentiers balisés, il s'agit de "Notre Dame de la Salette", une église et sa place aménagée d'une croix et du monument aux morts, la maison du peintre Antoine VILARD (monument classé depuis 2020)
- LE CHATEAU DE SALORNAY
A flanc de coteau, à 4000 m à l'ouest de Macon et 2500 m au sud d'Hurigny.
Le hameau de Salornay recèle deux sites fortifiés : le château à proprement parler et une tour saule, située près de l'entrée de la basse-cour du château. Le château est constitué par une ensemble de bâtiments disposés en arc de cercle au nord d'une plate-forme ovoïde, entourée de fossés en eau larges de 12 à 30 m. On y accède par l'ouest. Le chemin passe tout d'abord au sud de la tour-saule d'Hurigny, puis à travers une vaste basse-cour qui se prolonge au sud par un pigeonnier rond dressé à côté des fossés, et enfin sur le pont-dormant qui s'engage sous la tour-porche, percée d'une porte cochère en arc surbaissé. (La tourelle ronde qui se dresse à gauche de la tour porche est une adjonction du début du XXe s.)
Le logis se compose de trois tours-saules juxtaposées de trois étages chacune et d'un bâtiment d'habitation plus récent à un étage et demi. La plus ancienne tour-saule est bâtie sur un plan rectangulaire, mesurant 13 m du nord au sud et 10 d'est en ouest. Elle occupe l'angle nord-est de la plate-forme. Elle contient au premier étage une grande salle ouvrant sur des doubles latrines au nord. Le second étage est percé de baies créneaux (2 sur les petits côtés et 3 sur les grands), à niches rectangulaire avec linteau de bois et coussiège.
La tour sud est bâtie dans le prolongement de la tour centrale. Les créneaux qui la couronnent aujourd'hui sont une invention du début du XXe s.
La troisième tour est bâtie au nord en retour d'angle sur la façade ouest de la tour centrale, dont elle est venue boucher une baie créneau. L'étage de tir est éclairé d'une part par une baie géminée au sud, sur la cour, d'autre part par deux groupes de deux baies créneaux à coussiège encadrant une archère droite, vers l'ouest et vers le sud.
La tour centrale est prolongée vers le nord par une tour plus étroite et plus haute d'un étage, qui se donne des allures de tours de guet, mais qui est une tour à latrine. A chaque étage, un couloir nord-sud dessert deux cabinets de latrines à l'ouest. Le couloir et chaque cabinet est éclairé par un jour en archère.[5]
- NOTRE DAME DE LA SALETTE
Située sur le domaine de Chazoux, proprièté du baron Guy DE LA CHAPELLE, puis désormais à Christophe DE LA CHAPELLE ; la statue de Notre Dame de la Salette est bie nconnue des habitants d'Hurigny.
Erigée à la fin du XIXe siècle par M Alphonse MICHOUD, grand-oncle du propriètaire actuel, cette statue représente la Vierge apparaissant à deux jeunes bergers, évènement qui aurait eut lieu en 1846 à la Salette-Fallavaux dans l'Isère. Jusqu'en 1966, le jour du 15 août, un pélerinage à la staute regroupait un grand nombre des habitants d'Hurigny et se clôturait par un feu d'artifice offert par la famille MICHOUD.
De nos jours, par sa situation et par la vue que l'on peut avoir sur la Grisière, Mâcon et la plaine de la Saône, la statue de la Salette est devenue un lieu apprécié pour ceux qui fréquentent le chemin communal à pied, à cheval ou à V.T.T. La statue n'en reste pas moins un lieu privé que tout à chacun se doit doit de respecter en la préservant de tous dépôts, déteriorations ou autres. Erreur de référence : Balise fermante </ref>
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XIVe : châtellenie royale pourvue d'une maison forte ceinte de fossés
1357 : le châtelain est Joceran CABUCHE
1510 : la terre est érigée en fief pour Philippe MARGEOT, conseiller maître des comptes à Dijon
1535 : François DESCRIVIEUX, châtelain juge
XVIe : le fief échoit à Étienne SEYVERT, bourgeois de Mâcon. Il fonde une chapelle
1560 : Jean SEYVERT , son fils hérite du fief
1599 : Au décès d'Ennemond SEYVERT, fils du précédent, son fils Jean lui succède
1657 : sans héritier, c’est le neveu Jacques-François de l'ESTOUF, baron de Pradines et Sirot qui prend le fief
1666 : le domaine est vendu aux Ursulines de Mâcon
1671 : l'ensemble sera vendu à Philippe-Étienne de LAMARTINE, conseiller-secrétaire du roi, (ancêtre du poète Lamartine)
1684 : Philippe de Lamartine, fils aîné du précédent, lui succède
1747 : ce dernier meurt sans enfant, c’est son frère Jean-Baptiste de LAMARTINE qui lui succède
1757 : son fils du même nom Jean-Baptiste de LAMARTINE, lui succède
1783 : il substitue une aimable demeure à l'ancien château qu'il a fait raser
1787 : le domaine échoit à Pierre de MONTHEROT DE MONTFERRAND époux deSybille-Philippine de LAMARTINE, fille du précédent. Il émigre laissant le château à l’abandon.
1794 : le château est vendu à un notaire de Senozan, Joseph MEZIAT
1824 : une nouvelle vente fait passer le domaine entre les mains de M. Joseph TURIN, négociant à Lyon. Emilie, sa fille unique et héritière épouse le comte Léon DE LEUSSE.
1988 : le comte Raymond de LEUSSE (arrière petit fils) vend la propriété à la commune d'Hurigny
Le château et ses dépendances (tinailler, écuries) sont entourés d’un parc de 10 ha planté d ’arbres tricentenaires (des plaques détaillées indiquent leur provenance, l’année de plantation etc) et équipé de plateformes de jeux. Un cadre de verdure apaisant où il fait bon flâner.
Une petite chapelle située à proximité du château est mentionnée dès 1625 dans un inventaire . Elle est bâtie près de l’ancien château. Jean d’Hurigny, seigneur du lieu à cette date, fonde une messe du Saint-Esprit à célébrer par le curé d’Hurigny le jeudi de chaque semaine. En 1675, c’est Philippe-Étienne de Lamartine qui charge le curé de célébrer chaque semaine une messe basse en la chapelle.
Cette construction rectangulaire, orientée à l’est, avec sacristie accolée, a souffert de l’oubli. Ses voûtes, sa décoration intérieure, méritaient d’être préservées.
De nombreux bénévoles, réunis dans l’association de Sauvegarde du Patrimoine d’Hurigny,ont participé, de 2002 à 2005, aux chantiers de rénovation du bâtiment : charpente, toiture d’ardoise, enduits et décors extérieurs de style régence.
À l’intérieur, la décoration des voûtes, des corniches, des pilastres en faux-marbre, des moulures en plâtre, inspirée de décors XVIIè a été restaurée à l’identique.
"Au bout du parc, le jardin des Lombards où vous pourrez contempler un manège à eau rebâti à l’identique par l'Association de Sauvegarde du Patrimoine. Ce manège à eau alimentait le château de la Garenne situé en haut du parc. Autrefois Pouponnière il est aujourd’hui un hôpital d'accueil de jour pour les enfants en difficulté psychologique. Aux côtés du manège à eau, un wagon de l’époque du Tacot. Petit train qui traversait la commune de 1900 à 1935. Un panneau explicatif vous détaillera la vie de ce petit train à la belle époque et le travail des bénévoles qui ont oeuvrés à sa réfection. Et, le Puits des Lombards aussi restauré.[6]"
Eglise Notre-Dame-de-l'Assomption à Hurigny
L'église d'Hurigny est placée sous le vocable de l'Assomption de la Vierge Marie et dépend de la paroisse de Saint-Vincent-de-Paul. Elle est dotée d'une architecture romane. Elle dispose d'un clocher octogonal qui pourrait dater de la fin du XIIIe ou du début du XIVe siècle. Ce clocher qui abrite trois cloches est situé à la croisée du transept.
Sur une des arêtes du clocher, on remarque un visage sculpté. Les gueulatis soufflent une anecdote à ce sujet qui traverse les temps : "un ouvrier serait tombé du toit lors de la construction et ses collègues, pour lui rendre hommage, auraient sculptés son visage".
La première trace écrite de l’église de Hurigny se trouve dans un cartulaire de Saint-Vincent de Mâcon datant de la fin du Xe siècle :
sanctae maria uriniaci ecclesia.
L’église en forme de croix latine, comporte une nef de trois travées dallées sous croisées d’ogives, prolongée d’un chœur pentagonal. Le déplacement du cimetière qui entourait l'église, en 1862, a permis la construction de la chapelle Saint-Joseph opposée à celle de Sainte-Marie.
- Chapelle Saint-Joseph :
L’autel dont le devant présente le chiffre de Saint-Joseph, encadré des lys, symboles représentatifs du père nourricier de Jésus. On y trouve une grande peinture représentant Saint-Joseph mourant, avec Jésus et Marie à son chevet. Et une imposante statue de femme agenouillée, aux traits très typés, sainte Marie-Madeleine.
- Chapelle de la Vierge
L’autel est dominé par une statue de Vierge à l’enfant, qui présente la Vierge Marie avec Jésus et Jean-Baptiste enfants. La scène est entourée par les statues de Saint-Louis et d’un évêque. Puis, il y a Sainte-Juste provenant de la chapelle (détruite de Salornay) du même nom. La statue Sainte-Juste nommée aussi Sainte-Justine fut cachée en notre église pendant la Révolution par les habitants de Salornay. La chapelle Sainte-Justine fut pillée et en grande partie détruite. En ce lieu existait un pélerinage dont Gabriel JEANTON a écrit : "Au village de Salornay, commune d'Hurigny, existait jadis "prope castrum", c'est-à-dire à côté du château des sires de Salornay, une chapelle dédiée à Sainte-Jusitne. Cette chapelle fut l'objet en 1530, de diverses fondations faites par les sires de Salornay et les habitants du lieu, était assez spacieuse et surmontée d'un clocher. Il y existait un pélerinage où l'on se rendait pour les palpitations du coeur. Son renom s'étendait au loin puisque l'on venait même de Lyon. Lorsque la chapelle fut détruite, on alla sur ses ruines. Il y a peu d'années le pélerinage persistait encore. La statue Sainte-Justine qui est d'une relative ancienneté, a été transportée dans l'église d'Hurigny". La nef fut rebâtie en 1898 dans un style néo-gothique flamboyant. Le porche repose sur les fondations d'origine. Cet important caquetoire est composé d'un auvent couvert de tuiles rondes, supporté par des colonnes cylindriques. Les peintures des murs et des voûtes ont été réalisées par l'entreprise Mâconnaise BUSSIERES. Parmi les différents tableaux, on retrouve celui de la "Pieta" signé par le peintre Mâconnais Honoré HUGREL (1880 - 1924). Les vitraux sont de Lucien BEGULE (1848 - 1935). L'un de ses vitraux se retrouve, en identique dans une chapelle à Santiago du Chili. Devant l'église, sur la place du même nom, une croix érigée en l'honneur de Saint-Joseph, en janvier 1867, lors de l'achèvement de la construction de la chapelle.
Travaux effectués en l'église d'Hurigny, au fil du temps :
- 1821 : réparation importante de l’église : enduit extérieur, enduit intérieur du clocher, serrurerie et peinture du portail d’entrée. - 1898 : réparation de la nef de l’église prise en charge par la fabrique et la famille MICHOUD. - 1931 : installation d’un bec électrique devant l’église - 1977 : réfection du toit de l’église - 1991 : électrification des cloches avec sonnerie automatique des heures
Loisirs et culture
Economie
Les artisans et entreprises
Les commerces
Agriculture
- Entreprise Chevenet - production de fromages de chèvre sous AOC Mâconnais Chèvre.
Village viticole du vignoble du Mâconnais.
Espace et territoire
Altitude : 330 mètres
Superficie : 920 hectares
Densité : 30
Galerie photos
Notes
- ↑ archiviste français, spécialiste de toponymie
- ↑ Gabriel Jeanton, annales de l'académie de Mâcon, séance du 21 JANVIER 1937
- ↑ Gabriel JEANTON, in « Le Mâconnais gallo-romain », tome I, 1927, p. 37
- ↑ G. Lafay et Léonce Lex, "découverte d'objets gallo-romains dans les argiles à silex de Chevagny-les-Chevrières et Hurigny", in Annales de l'Académie de Mâcon, 3e série, XIV, 1909, p. 501.
- ↑ description par le centre de castellologie de Bourgogne (Cecab), base de données - 2600 châteaux-forts de Bourgogne - 2014
- ↑ Voir le site internet de l'association de sauvegarde du patrimoine : Page Facebook