Eglise Notre-Dame à Clessé
L’église paroissiale Notre-Dame, anciennement Sainte-Marie, est située à Clessé, dans le département de la Saône-et-Loire, en Bourgogne-Franche-Comté. Elle laisse entrevoir deux phases de construction romane. Un premier édifice est vraisemblablement bâti à la fin du Xe siècle, au plus tard au XIe. Il en reste la façade, la nef et la travée sous clocher. Le décor de la façade, avec ses bandes lombardes, est typique du premier art roman en Mâconnais. La deuxième phase de construction date visiblement de la seconde moitié du XIIe siècle et comprend l’installation du clocher octogonal encore en place, dont le décor est beaucoup plus abouti. Vers 1510, la chapelle sud est ajoutée, et en 1670, le chevet plat actuel vient remplacer l’abside primitive. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, l’église est restaurée plusieurs fois. C’est à cette période qu’est construite la chapelle nord, tout comme la sacristie et la tourelle d’escalier. Les baies modernes sont également percées à cette occasion. L’église est depuis régulièrement entretenue. Elle est inscrite au titre des Monuments Historiques depuis 1929, et son clocher est classé depuis 1930.
Adresse | Place de l’église, 71260 Clessé |
Coordonnées GPS | 46°24'58.5"N 4°48'51.7"E |
Paroisse de rattachement | Paroisse Notre Dame des Coteaux en Mâconnais |
Protection Monuments Historiques | Inscrite 1929 (église sauf clocher), Classé 1930 (clocher) |
Sommaire
- 1 Historique
- 2 Description architecturale
- 3 Inventaire décor et mobilier
- 4 Rénovations / Etat[14]
- 5 Actualités
- 6 Visite
- 7 Association engagée
- 8 Iconographie ancienne et récente
- 9 Plans cadastraux
- 10 Bibliographie
- 11 Sources
- 12 Propriétaire / Contact
- 13 Patrimoine local et/ou folklore
- 14 Notes et références
Historique
Le village de Clessé a des origines très anciennes. Son territoire est déjà une zone de peuplement développée à la préhistoire, comme le suggèrent les nombreux vestiges (notamment des silex taillés) retrouvés sur le territoire de la commune. Une pierre massive, identifiée comme étant un polissoir de haches grâce aux différentes entailles qu’elle présente, a également été retrouvée sur les terres du village. Des chercheurs du CNRS la font remonter au néolithique (environ 4000 ans av. J.C.). Le village en lui-même se développe comme tel à l’époque gallo-romaine. De nombreux vestiges de cette période ont été identifiés : tuiles, sépultures, voie romaine. La première mention du village est faite vers 936, dans une charte du chapitre de Saint-Vincent de Mâcon : In pago Matisconensi, in villa Clasiaco, alias Classiaco[1]. Le toponyme de « Clessé » apparaît au XVIIe siècle, mais n’est fixé que le siècle suivant. Le village doit son développement à l’activité viticole, qui est encore aujourd'hui omniprésente.
L’église Notre-Dame est à l’origine sous le vocable de Sainte-Marie[2]. Elle est citée pour la première fois à la fin du XIe siècle (vers 1096), dans une bulle du pape Urbain II : Ecclesia Sancta Maria[3]. Il désigne alors l’édifice comme étant la propriété de la collégiale Saint-¨Pierre de Mâcon, qui avait droit de justice sur les lieux. L’église est dès sa fondation le centre de la paroisse de Clessé. Si la tradition la fait remonter au XIe siècle, elle pourrait cependant en partie dater de la fin du Xe siècle, comme le suggère le décor de sa façade, typique du premier art roman en Mâconnais. De cet édifice primitif, il resterait aujourd'hui la façade, la nef et la travée sous clocher. Au XIIe siècle, l’église est vraisemblablement remaniée une première fois. C’est de cette époque que date le clocher, dont le profil roman est beaucoup plus abouti, et pour lequel on sent une forte influence clunisienne. L’édifice se compose alors d’une nef unique rectangulaire, suivie d’une travée sous un clocher octogonal, et d’une abside semi-circulaire.
Au XIIIe siècle, la Parrochia Claissiaci[4] est mentionnée pour la première fois. Vers 1510, une chapelle est bâtie au sud de la travée sous clocher. Elle est fondée par Barthélémy Lestevenon, de Quintaine, et mentionnée en 1513[5]. La chapelle est dès lors dite de Saint Barthélémy, bien qu’elle soit aujourd’hui également connue comme « chapelle des Gillet ». Vers 1670, l’abside primitive est remplacée par le chevet à fond plat actuel. Il est signalé comme neuf dans une visite pastorale remontant à 1675[6].
En 1720, la charpente de la flèche est posée par Jean Gillet[7], charpentier à Clessé. Elle vient remplacer la courte pyramide originelle. En 1739, un projet d’agrandissement de l’église fait son chemin au sein de la population et est soumis à une délibération publique. L’édifice est jugé trop petit pour accueillir tous les fidèles. Fort heureusement, et sans que l’on ne sache pourquoi, ce projet n’est pas réalisé et l’édifice roman est sauvé. En 1793, après la Révolution, l’église est vendue comme bien national. Elle est ensuite utilisée comme grange à foin (dans le chœur et les chapelles), et comme atelier de tonnelier (dans la nef). Il est également dit qu’elle sert un temps de salle de bal[8].
Au début du XIXe siècle, l’église est rachetée par la commune au prix de 6650 francs[9]. Peu après, en 1817, la cloche est refondue. Son poids est porté à 1300 livres par le fondeur Baudouin et son battant à 50 livres par le maréchal Jacques Michel. Au cours du siècle, de nombreuses restaurations se succèdent. En 1856, le cimetière qui entourait jusqu’alors l’église est déplacé en dehors du bourg. Les abords de l’édifice sont donc assainis. En 1868, les murs de clôture sont détruits et le terrain autour de l’église est abaissé (il fallait jusqu’à cette époque descendre quelques marches pour entrer dans l’église[10]).
De 1859 à 1869, plusieurs phases de travaux sont menées : la chapelle nord est construite grâce au financement de l’abbé Georges Chapuis (le corps de sa mère y repose) et complète le transept, la sacristie est reconstruite au sud du chœur, les baies modernes sont percées et les baies anciennes du chœur murées, et la nef est décorée. En 1883, la tourelle d’escalier vient remplacer la simple échelle qui servait à monter au clocher, et qui était dans la nef. Ces travaux sont menés par l’entrepreneur clesséen Montadard (fils) sur les plans de l’architecte Pinchard, de Mâcon. Les contreforts et les enduits sont également repris.
Au XXe siècle, la municipalité et ses habitants prennent conscience de la valeur patrimoniale de leur église et de la nécessité de la protéger. En 1929, l’édifice est donc inscrit au titre des Monuments Historiques, et le clocher est classé l’année suivante. En 1938, une copie du coq médiéval est placée à la pointe du clocher. L’original est gardé dans la nef et classé objet historique en 1942. Il sera cependant perdu dans les années 1970. Les nombreux travaux entrepris au cours du siècle visent à assainir et niveler les abords de l’église, et à combattre la forte humidité dont elle est victime. Ainsi, les toitures sont réparées à plusieurs reprises, les enduits restaurés, et des drainages sont effectués pour limiter les dommages des infiltrations (majoritairement dues au toit de laves).
L’église fait désormais l’objet d’un soin constant, en particulier grâce au dynamisme de l’association de sauvegarde qui s’en occupe. En 2018, la charpente et la toiture du chevet ont entièrement été restaurées, notamment grâce à la subvention de 15 000 euros accordée par la Sauvegarde de l’Art Français[11]. D’autres travaux onéreux devraient suivre et seront étalés dans le temps, de manière à pouvoir organiser leur financement[12].
Description architecturale
GLOSSAIRE : Bourgogne Romane
L’église Notre-Dame est un édifice imposant, presque entièrement bâti en pierre calcaire. Bien orientée à l’est, elle se trouve à l’origine en contrebas du terrain qui l’entoure. Elle est composée d’une nef unique rectangulaire, suivie d’un transept soutenant le clocher octogonal auquel on accède via une tourelle d’escaliers, et d’un chœur flanqué au sud de la sacristie.
La façade de l’édifice est un bel exemple de décor roman. Elle est ornée de bandes et arcatures lombardes encadrant un portail en plein cintre doublé assez simple. En haut du pignon, une baie romane également en plein cintre éclaire la nef, et est surmontée d’une frise en dents de scie (assez peu visible). La nef est percée de trois hautes baies plein cintre modernes sur chaque gouttereau, encadrées par des contreforts plats (en forme de bandes verticales). Au sud, une petite porte en cintre surbaissé constitue la deuxième entrée de l’église. Les murs de la nef sont agrémentés d’une corniche à modillons, dont certains au sud sont sculptés de visages et d'animaux.
La nef est suivie du transept, formé par la travée sous clocher romane et les chapelles postérieures, rectangulaires. Elles sont toutes deux éclairées par une baie en cintre brisé à remplage. Au sud, la tourelle octogonale d’accès au clocher est accolée à la chapelle. Sur deux niveaux, sa porte d’accès se trouve à l’ouest, en-dessous d’une petite fenêtre au premier étage. Au niveau supérieur, la tourelle est percée de plusieurs petites fenêtres rectangulaires. A l’est, le chœur de plan carré complète l’édifice. Il est épaulé aux angles par deux contreforts diagonaux. Le chœur est percé de cinq baies modernes en plein cintre : deux latérales et trois axiales. Sur les côtés, on discerne encore les anciennes baies murées.
Le clocher s’élève au-dessus de la travée romane, entre les deux chapelles. De plan octogonal, il est composé de deux niveaux séparés par un cordon de pierre. Des arcs de décharge sont visibles sur les faces nord et sud de son soubassement, juste au-dessus de petits talus de maçonnerie. Le premier étage est aveugle, simplement décoré de bandes et arcatures lombardes bien régulières. Le second niveau comporte une baie géminée par face, inscrites dans un décor complexe et abouti comprenant archivoltes, arcatures et colonnettes aux chapiteaux sculptés. Une corniche à modillons nus fait le tour du clocher, juste au-dessous d’une frise à dents d’engrenage. Le clocher est coiffé d’une pyramide à huit pans dont la charpente date du XVIIIe siècle. Il est couvert de tuiles vernissées formant motifs, tandis que le chevet est couvert de laves et la nef de tuiles.
La nef de trois travées, bien qu’imposante, conserve l’atmosphère chaleureuse des édifices romans. Entièrement dallée, sa charpente est désormais dégagée (elle pourrait dater du XVIe siècle[13]). Au-dessus de l’arc triomphal, une structure de bois permet de relier la tourelle d’escaliers à la porte d’entrée du clocher. La travée qui supporte ce dernier est encadrée par deux grands arcs en plein cintre à l’ouest (vers la nef) et à l’est (vers le chœur). Elle est également renforcée au nord et au sud par deux arcs de décharge assez épais. Plus étroite que la nef, la travée est voûtée d’une coupole sur trompes. Elle communique avec les chapelles latérales formant transept via deux arcs plein cintre épais et assez bas. Les deux chapelles sont voûtées d’une croisée d’ogives chacune, dont les nervures retombent sur des culots sculptés des symboles des quatre évangélistes. Au nord, la chapelle comporte une niche accueillant une statue de la Vierge. A l’est, le chœur surélevé de deux marches complète l’édifice. Entièrement dallé, il est voûté d’arêtes et accueille les autels. Il s’ouvre au sud sur la sacristie.
Inventaire décor et mobilier
- Décor de la façade : ensemble de bandes « lombardes », deux latérales avec des arcatures plein cintre irrégulières (ce qui atteste de leur ancienneté), et deux au centre (plus hautes, au-dessus du portail) avec de simples corbeaux.
- Décor du clocher :
Décor complexe mêlant bandes et arcatures lombardes (au niveau inférieur, les arcatures retombent sur des modillons sculptés de visages), archivoltes sur colonnettes aux chapiteaux sculptés, frises en dents d’engrenage.
Au sud-est, en-dessous de la baie géminée, un serpent est sculpté dont on ne connaît pas l’origine.
- Traces de peintures dans la croisée et la chapelle sud
- Culots sculptés dans la chapelle sud : symboles des quatre évangélistes
- Modillons sculptés de têtes d’animaux et de visages sous la corniche sud de la nef
- Portail sud, en cintre surbaissé, dont l’arc porte l’inscription « Loué soit le très saint sacrement de l’autel » et la clef, saillante, est gravée d'un ostensoir avec le monogramme IHS surmonté d'une croix (XVIIIe siècle).
- Statues :
Christ en croix, de 1748 (droite de l’arc triomphal)
Vierge à l’Enfant (à côté de l’arc triomphal, dans une ancienne ouverture de la nef)
Vierge Marie (chapelle nord)
Christ crucifié (entrée de la chapelle sud)
Notre-Dame de Lourdes (chapelle sud)
Sainte Bernadette Soubirous (chapelle sud)
Sainte Philomène, avec l’ancre de son martyr (chœur)
Sainte Thérèse de Lisieux (chœur)
Le Sacré-Cœur (chœur)
- Pierres sculptées (chœur) :
Le couronnement de la Vierge
Jésus devant Ponce Pilate
- Maître-autel en pierre blanche sculptée, figurant le Christ entouré des quatre évangélistes avec leurs symboles respectifs, XIXe siècle (chœur)
- Autel moderne en bois (chœur)
- Caveau des Lambret, de 1646 (nef), renouvelé en 1775
- Plusieurs niches stylisées
- Bénitiers encastrés :
Un rectangulaire, avec un motif de damier, peut-être roman (à côté de la porte latérale)
Un circulaire, en forme de coquillage (à droite de l’entrée principale)
- Confessionnal en bois (droite de l’entrée principale)
- Cloche, refondue en 1817, dont le poids fut porté à 1300 livres par le fondeur Baudouin et son battant à 50 livres par le maréchal Jacques Michel. Elle porte l’inscription :
« L’an 1817, j’ai été bénite par Monsieur Lecuyer, curé, j’ai pour parrain Jacques Michel, maire de Clessé et pour marraine Madame Louise Michel, épouse de Monsieur Georges Bonzon, ancien maire… »
- Vitraux modernes
Rénovations / Etat[14]
- Rénovations :
XIXe :
1817 : refonte de la cloche
1838 : pose de voûtes en brique dans la nef
1847 : installation d’une horloge
1859 : construction de la chapelle nord et de la sacristie au sud, ouverture des baies de la nef et fermeture de celles sur les côtés du chevet
1877 : réfection de la couverture en tuiles vernissées du clocher
1882 : restauration du chevet (enduits intérieurs, contreforts…)
1883 : construction de la tourelle d’escalier menant au clocher
XXe :
1937 : restauration des toitures
1938 : pose d’un nouveau coq à la pointe du clocher (copie de l’original médiéval, classé MH en 1942 et aujourd’hui disparu)
1940 : restauration de la toiture du chœur
1948 : démolition des voûtes en brique de la nef
1953 : réparation de la toiture de laves (projet de plafonnement de la nef non-réalisé)
1966 : réfection de la toiture du clocher, endommagée par la foudre
1969-1970 : consolidation de la charpente du chœur et révision de la couverture, par Mr Pierre, lavier de Clessé
1974 : nivellement du cimetière et pose d’une horloge neuve
1977 : réparation de l’installation électrique de l’horloge et de la cloche, endommagées par la foudre
1987 : réfection de la charpente de la nef
1989 : réalisation de sondages qui mettent au jour des traces de peintures au niveau de la croisée et de la chapelle sud ; réparation de la charpente de la nef et de la maçonnerie du clocher
1992 : restauration du transept, démolition des autels des chapelles, mise en place de drains
1994 : reprise de la toiture de laves
XXIe :
2009 : réparations dans la sacristie
2018-2019 : rénovation de la toiture en laves du chevet
- Etat :
L’église a été rénovée très récemment et est en bon état général. Elle fait l’objet d’un soin constant de la part de la commune et de l’association de sauvegarde du patrimoine.
- Classement :
L’église est inscrite au titre des Monuments Historiques depuis 1929 (sauf le clocher).
Le clocher est classé Monument Historique depuis 1930.
Actualités
Pour suivre l’actualité de l’édifice, consulter le site internet de la commune :
Visite
L’église est ouverte pendant la saison estivale.
Pour visiter l’édifice le reste de l’année, récupérer les clefs à l’épicerie voisine.
L’église est accessible aux personnes à mobilité réduite, via le portail principal.
Association engagée
Association pour la sauvegarde du Patrimoine Clesséen :
Fondée en 2015, elle voit le jour dans le but de sauver le chevet de l’église Notre-Dame. Plus largement, l’association entend restaurer et mettre en valeur le patrimoine du village.
L’association organise également divers événements, comme par exemple une exposition sur la vie et les travaux d’Emile Violet.
Siège : 18 Place de la Mairie 71260 Clessé
Contact: patrimoine.clesse@orange.fr
Président : Mr Christian Dumont
Pages internet :
Page dédiée à l'association sur le site de la commune
Page dédiée à l'association sur le site de la Fappah
Iconographie ancienne et récente
Cartes postales anciennes, collection privée de Mr Luc Denis et fond fourni par l'association pour la sauvegarde du patrimoine clesséen.
Photos d'Emile Violet. Source: Fond Emile Violet, Archives départementales de la Saône-et-Loire (via l'association de sauvegarde du patrimoine).
Crédit Photos: CEP
Photos des travaux réalisés en 2018-2019, fournies par l'association de sauvegarde du patrimoine
Plans cadastraux
Bibliographie
- RIGAULT, Jean, Dictionnaire topographique du département de la Saône-et-Loire, 2008.
- VIOLET, Emile, Clessé, histoire et traditions, 1929.
- VIREY, Jean, Les églises romanes de l’ancien diocèse de Mâcon, Mâcon, Protat, 1935, 474p.
Sources
- Oursel, Anne-Marie et Raymond, Fiche d’inventaire départemental, 1969 :
Archives départementales de Saône-et-Loire
- Fiche édifice de la Bourgogne Romane :
- Fiche édifice de la Sauvegarde de l’Art Français :
- Documents fournis par l’Association de Sauvegarde du patrimoine
- Diagnostic architectural effectué par un cabinet d’architectes en vue de travaux (document fourni par la mairie)
Propriétaire / Contact
Commune de Clessé
03 85 36 93 81
mairie.clesse@orange.fr
Patrimoine local et/ou folklore
- Parcours Patrimoine :
Circuits de découverte du patrimoine de Clessé, mis en place par l'association de sauvegarde du patrimoine.
- Château de Besseuil :
Château des XVIIe et XVIIIe siècles.
Il accueille un hôtel de prestige et un restaurant gastronomique.
- Musée Le Pressoir et lavoirs de la commune
- Maisons du village:
Notes et références
- ↑ Rigault, Jean, Dictionnaire topographique du département de la Saône-et-Loire, 2008.
- ↑ Le vocable de Notre-Dame, s’il est officiel, n’est qu’une modernisation tardive du vocable de Sainte-Marie, qui demeure l’appellation d’usage de l’église parmi les clesséens.
- ↑ Rigault
- ↑ Ibidem
- ↑ Oursel
- ↑ Ibidem
- ↑ Il est enterré dans la chapelle sud et lui a donné son surnom – Document de l’association de sauvegarde
- ↑ Oursel
- ↑ Ibidem
- ↑ Document de l’association.
- ↑ Voir la fiche édifice
- ↑ Collecte de fonds via la Fondation du Patrimoine
- ↑ Document de l’association
- ↑ Récapitulatif réalisé partir du diagnostic réalisé avant travaux en 2016 et des documents de l’association