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Eglise Saint-Denis à Saint-Maurice-de-Satonnay

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L’église Saint-Denis est située à Saint-Maurice-de-Satonnay, dans le département de la Saône-et-Loire, en Bourgogne-Franche-Comté. C'est une église d’origine romane, mais son histoire est assez obscure. De l’édifice roman, qui pourrait dater du XIIe siècle, il ne semble aujourd’hui rester que le mur gouttereau sud de la nef, qui comporte encore deux baies romanes. Celles-ci ont été comblées à une date inconnue. L’édifice est reconstruit à la fin du XVe ou au début du XVIe siècle. Cette zone de la région avait été fortement touchée par les troubles de la Guerre de Cent Ans. C’est là peut-être la cause de la destruction partielle de l’église primitive. Le seigneur de Chevriers rénove l’édifice afin de l’utiliser comme chapelle castrale. De cette construction, il ne reste aujourd’hui que le chevet de l’église et ses chapelles. Au milieu du XVIIIe siècle, une visite pastorale rend compte de l’état précaire dans lequel se trouve l’église, et de la disparité entre ses parties. Un véritable projet de rénovation n’est enclenché qu’au milieu du XIXe siècle, en 1844. L’église est alors entièrement rénovée, notamment les toitures et les voûtes. Le clocher du chœur est supprimé et remplacé par le clocher-porche actuel. L’église est depuis régulièrement entretenue. Les peintures murales de la chapelle sud gothique ont été restaurées et mises en valeur à la fin du XXe siècle. Elles sont classées Monument Historique depuis 1910. Un bénitier roman daté du XIIe siècle, également classé, est visible à l’entrée de l’église.

Eglise Saint-Denis (©CEP)

Beschreibung der Kirche (deutsch) 1, 2, 3, 4

Description of the church (english) 1, 2, 3, 4

Adresse Saint-Maurice, 71260 Saint-Maurice-de-Satonnay
Coordonnées GPS 46°24'48.3"N 4°47'08.1"E
Paroisse de rattachement Paroisse Notre Dame des Coteaux en Mâconnais
Protection Monuments Historiques Classée 1910 (peintures murales)

Sommaire

Historique

Le village de Saint-Maurice-de-Satonnay, anciennement Saint-Maurice-des-Prés, est mentionné pour la première fois en 950, dans une charte[1] de l’abbaye de Cluny : Sanctus-Mauritius[2]. La localité est ensuite citée plusieurs fois aux Xe et XIe siècles, notamment dans la charte 374 du chapitre de Saint-Vincent de Mâcon (996-1031) : In pago Matisconense, in villa Sancti-Mauricii[3]. Le terme villa induit une zone de peuplement assez développée et ancienne. Le village est ensuite cité comme Saint-Moris des Prez en 1478, avant de devenir Saint-Maurice-de-Satonnay en 1861, par réunion avec le village voisin de Satonnay.

L’église Saint-Denis suit un plan original, hérité de son histoire mouvementée : un clocher-porche, suivi d’une nef unique dont la dernière travée est l’ancienne travée sous clocher, puis d’une travée droite, et enfin d’un chevet gothique flanqué de deux chapelles latérales. La première mention de l’église ne se trouve que dans un pouillé d’avant 1412 : Ecclesia Sancti- Mauricii de Pratis. Elle est donc à l’origine placée sous le patronage de saint Maurice.

L’église est cependant plus ancienne. Un premier édifice est probablement déjà présent au Xe siècle, comme le laisse penser le toponyme du village, sous le patronage de saint Maurice. L’édifice est dès sa fondation à la collation de l’évêque, et le centre de la paroisse de Saint-Maurice. L’église aurait été reconstruite au XIIe siècle, comme beaucoup d’autres dans la région. De cette construction de style roman, il ne semble rester que des parties de la nef, notamment le gouttereau sud, avec ses deux petites baies ébrasées murées.

La Guerre de Cent Ans et les troubles qu’elle engendre touchent durement le village. L’église en ressort profondément endommagée. A partir de ce moment, l’histoire de l’édifice est indissociable de celle des Chevriers[4], seigneurs de Saint-Maurice du XIIIe au XVIIIe siècle. A la fin du XVe ou au début du XVIe siècle, ils font en partie reconstruire l’édifice, afin de s’en servir de chapelle castrale et de lieu de sépulture. Cela explique la richesse des ornements, puisque plusieurs litres funéraires, blasons et arbres généalogiques de ces mêmes seigneurs sont visibles dans le chœur de l’édifice. La reconstruction partielle de l’église est vraisemblablement commencée par Louis Chevriers, qui est le premier à être enterré dans le caveau familial en 1472[5]. Son fils Philippe prend vraisemblablement la suite des restaurations. De cet édifice rénové, il reste le chœur gothique et l’ancienne travée sous clocher.

Aux XVIIe et XVIIIe siècles, plusieurs visites pastorales nous renseignent sommairement sur l’état de l’édifice. Au XVIIe siècle, on sait que Saint-Maurice compte 200 communiants. Au XVIIIe siècle, il est dit que la nef est petite et sombre, comme la plupart des nefs romanes. A l’époque, la chapelle nord est dite « des trois Marie », tandis que celle au sud est de patronage inconnu[6]. Elle est aujourd'hui dite de saint Claude[7]. Au sud de la travée droite entre le chœur et la nef, une chapelle est alors dédiée à saint Jean. Elle sert aujourd'hui de chapelle/sacristie.

Au XIXe siècle, l’église se trouve dans un état très précaire. En 1834, un rapport/diagnostique est réalisé par l’architecte mâconnais Vaillant (fils), en vue de travaux. Il décrit un édifice aux parties très hétéroclites, d’époques et de styles différents. L’église est selon lui dans un tel état de délabrement qu’elle risque tout simplement de s’effondrer si elle n’est pas restaurée. En 1835, le curé signale que le clocher menace de s’écrouler. La même année, des premières consolidations sont effectuées (notamment au niveau de la chapelle/sacristie), en attendant des travaux plus importants. Ces derniers sont alors chiffrés à 4704.89 francs[8], somme considérable pour l’époque.

Il faut attendre 1844 pour voir les travaux réalisés. Une rénovation globale de l’édifice est engagée (notamment les toitures, les voûtes et les plafonds), le vieux clocher est détruit et le nouveau clocher-porche bâti à l’entrée de l’édifice. Ces réparations sont menées sous la direction de Fleury Falconnet, architecte de Lyon, et réalisées par Jean-Baptiste Martinot, d’Hurigny. Ils coûtent au total 6620.74 francs. En 1873, l’horloge vient compléter la façade. Elle est réalisée par l’horloger Ferdinand Jobard, horloger à Mâcon.

Au XXe siècle, l’église Saint-Denis, qui a changé de patronage à une date inconnue, fait alors l’objet d’un entretien constant. En 1910, la peinture de l’Annonciation est découverte et classée au titre des Monuments Historiques. Vers 1921/1922, la litre funéraire au sud de la travée droite est découverte, après qu’un début d’incendie[9] a fait fondre les plâtres qui la recouvraient. Vers 1969, la couverture du clocher est refaite.

A la fin du XXe siècle, l’église est rénovée et les peintures restaurées. En 1992, des travaux généraux sont réalisés : drainage, électricité, toiture, enduits, mobilier, peintures… Ils sont pris en charge par la commune et l’Association de rénovation de l’église. A la même époque, une campagne de sondages est effectuée par Luigi Vettori. Elle met au jour des blasons dans les chapelles, masqués sous un enduit de plâtre. En 1994, une réfection extérieure de l’église est menée sous la direction de l’Architecte des Bâtiments de France.

De 1998 à 2001, quatre Ateliers Rempart[10] (stages chantiers-école) sont organisés pour dégager et restaurer les peintures. Des équipes de bénévoles se chargent de ce travail, sous la direction de la restauratrice professionnelle Juliette Rollier-Hanselmann. Une étude préalable et des re-fixages d’urgence sont également réalisés sur la scène de l’Annonciation. Cette dernière est finalement restaurée en 2003. Depuis, l’édifice est régulièrement entretenu et mis en valeur.

Description architecturale

GLOSSAIRE : Bourgogne Romane

L’église Saint-Denis est bien orientée à l’est, et suit un plan original : un clocher-porche, suivi d’une nef unique dont la dernière travée est l’ancienne travée sous clocher, puis d’une travée droite flanquée d’une chapelle/sacristie au sud, et enfin d’un chevet gothique flanqué de deux chapelles latérales.


Plan de l'édifice dressé par la Sauvegarde de l'art français

La façade de l’église est moderne. Elle est simplement ouverte d’un portail en plein cintre, dont le tympan de la porte est vitré. Le soubassement du clocher-porche est encastré dans la nef à l’est, et agrémenté d’une large horloge à l’ouest. Le clocher est composé d’un seul niveau percé d’une baie géminée par face, avec retombée médiane sur une fine colonnette et abat-son. Une corniche ornée de frises d’arcatures en plein cintre soutient une pyramide à quatre pans en ardoise, avec des pyramidions aux angles. Une croix (dont il manque la pointe) surmonte la pyramide.

Les murs gouttereaux de la nefs sont ouverts de deux larges baies plein cintre, dont une au niveau de la dernière travée, encadrée par deux contreforts de chaque côté (ils étaient à l’origine justifiés par la présence du clocher au-dessus de cette travée). Cette ancienne travée sous clocher est suivie par une travée droite, flanquée au sud de la chapelle/sacristie, et ouverte au nord par une porte d’accès latéral, sous un appentis. Les contours de la porte sont creusés et la clef stylisée. Cet accès est adapté aux personnes en fauteuil roulant : un plan incliné a été installé du côté du chevet jusqu’à cette porte d’accès, qui s’ouvre sur une rampe intérieure.

La travée de chœur est ensuite flanquée des deux chapelles rectangulaires. Elle précède une abside à trois pans coupés, qui fait toute l’originalité de l’édifice. Ce chevet est formé par trois pignons juxtaposés, chacun ouvert d’une large baie gothique en cintre brisé et à remplages flamboyants. Deux gros contreforts encadrent les baies et délimitent les pans, tandis que deux petits contreforts font la liaison avec les chapelles latérales. Les pignons sont chacun couverts d’un petit toit en chevron. Tout l’édifice est couvert de tuiles, soutenues par une corniche à modillons nus (les modillons sont de style différent pour la nef et le chœur).


On entre dans l’église par le petit porche, délimité par une grille de fer précédant la nef. Cette-dernière est entièrement dallée. A droite, une porte mène à l’escalier d’accès au clocher, aménagé sur le côté du porche. Le gouttereau sud comporte encore les anciennes petites baies ébrasées désormais murées, qui servent de niche à statuettes. La nef est entièrement plafonnée. La travée droite qui lui succède est également plafonnée, au même niveau. Elle s’ouvre au sud sur la petite chapelle/sacristie via un grand arc brisé et une niche en plein cintre. Au nord, la porte d’accès latéral est munie d’une rampe d’accès pour les personnes en fauteuil roulant.

Le chœur est surélevée de deux marches par rapport à la travée précédente, de laquelle elle est séparée par une grille de communion. La travée de chœur accueille l’autel moderne et est voûtée d’une croisée d’ogives retombant sur des culots sculptés d’animaux. Les chapelles latérales s’ouvrent via deux grands arcs brisés en faux marbre gris et rose, et sont également voûtées de croisées d’ogives. Ces chapelles accueillent de petits autels et des stalles en bois, en-dessous des belles peintures médiévales. L’abside à trois pans est délimitée par un grand arc brisé, en lequel se rejoignent les nervures de la voûte (deux arcs, qui délimitent les pans). Le pan droit est creusé d’une crédence gothique en accolade, en bas du mur. Le maître-autel se tient au centre des pans, sur un socle de pierre massif. Le chœur est entièrement dallé.

Inventaire décor et mobilier [11]

Plan schématique des décors de l'église, tiré des documents informatifs disponibles sur place.
Plan schématique des décors de l'église, tiré des documents informatifs disponibles sur place. Rectification: nr 4, les litres se trouvent sur les murs de la travée droite avant le chœur, et non sur les murs de l’ancienne travée sous clocher (aujourd'hui dernière travée de la nef)

Peinture de l’Annonciation, XVIe siècle, classée MH : scène de l’Annonciation encadrée par les donateurs à genoux représentés par leurs saints patrons (à gauche Barthélémy Laurent, curé ; à droite Philibert de Chevriers, seigneur de Saint-Maurice), dans la chapelle sud du chœur.

Litres funéraires et arbres généalogiques (chapelles du chœur).

Litres funéraires (travée droite avant le chœur).

  • Culots sculptés d’animaux sur lesquels reposent les ogives du chœur
  • Fenêtres gothiques du chœur
  • Bénitier roman du XIIe siècle, avec une cuve rectangulaire sculptée (coquillage, poisson, symbole chrétien, oiseau), classé MH.
  • Bénitier moderne, circulaire
  • Statues :

Vierge à l’Enfant, XVe siècle, provenant de l’église de Satonnay (dans une niche, dans la chapelle nord du chœur). Classée MH.

Marie-Salomé et ses enfants saint Jacques et saint Jean, XVIe siècle (dans la chapelle nord du chœur)

Saint Denis, tenant sa tête dans ses mains (dans une niche, dans la chapelle sud du chœur)

Saint Denis, en tenue d’évêque (entrée de la chapelle/sacristie)

Notre-Dame de Lourdes, XIXe-XXe (entrée de la chapelle/sacristie)

Saint Claude, XVIe siècle (à gauche de l’entrée de la chapell/sacristie). Il est représenté avec les écussons des donateurs : Philibert de Chevriers (seigneur de Saint-Maurice) et son épouse Claudine de Tarlet

La Vierge et sa mère sainte Anne, soutenant l’Enfant Jésus (Sainte Anne Trinitaire), XVIe/XVIIe siècle (dans la fenêtre reliant la nef et la chapelle/sacristie)

Vierge à l’Enfant (statuette, chapelle/sacristie)

Dans la chapelle au sud de la nef, autour des plaques de reconnaissance, deux statuettes en bois sur des consoles sculptées de visages grimaçants : à gauche, personnage en habit de diacre ; à droite, Franciscain au visage tourné vers le ciel, probablement saint François d’Assise recevant les stigmates.

Le Sacré-Cœur, XIXe-XXe (nef)

Jeanne d’Arc, XIXe-XXe (nef)

Saint Antoine de Padoue, XIXe-XXe (nef)

Saint Joseph et l’Enfant Jésus, XIXe-XXe (nef)

Curé d’Ars, XIXe-XXe (nef)

Sainte Marguerite Marie Alacoque, XIXe-XXe (nef)

Sainte Thérèse de Lisieux, XIXe-XXe (nef)

Statuettes en bois, dans les baies murées de la nef : anges baroque, XVIIe siècle

  • Tableau (au-dessus de l’entrée occidentale) : les « trois Marie » devant le tombeau vide, 1835. L’ange leur annonce la résurrection du Christ.
  • Grille de communion en fer forgé
  • Maître-autel (chœur) en bois sculpté et doré, fin XVIIe/XVIIIe : le retable accueille des statuettes de bois doré au sein d’un décor torsadé.
  • Autel moderne, en bois (chœur)
  • Fragment d’une « tour eucharistique », tabernacle, XVe siècle : représentation du Christ couronné d’épines, les mains liées, et couvert d’un manteau après la flagellation ordonnée par Ponce Pilate (Ecce Homo)
  • Cloche de 1802 (fêlée), laissée au sol dans la nef
  • Chemin de Croix
  • Chaire à prêcher en bois (nef)
  • Vitraux du chœur

Rénovations / Etat

  • Rénovations :

XIXe :

1835 : consolidations, reprise de la chapelle/sacristie

1844-1851 : restauration globale, reprise de la nef, construction du clocher-porche

XXe :

1910 : découverte et classement de la peinture de l’Annonciation dans la chapelle sud du chœur

1921 : découverte de la litre funéraire de la travée droite

1969 : réfection de la couverture du clocher

1992 : restauration de la couverture du chœur (subvention de 40 000 francs de la part de la Sauvegarde de l’Art Français[13])

1994 : reprise des toitures/couvertures + restauration extérieure de l’édifice

1998-2001 : dégagement et restauration des peintures du chœur

2003 : restauration de la peinture de l’Annonciation

XXIe :

Travaux d’entretien

  • Etat :

L’église est en bon état et est régulièrement entretenue.

  • Classement :

Les peintures murales ont été classées au titre des Monuments Historiques en 1910.

Un bénitier roman daté du XIIe siècle est également classé.

Actualités

Pour suivre l’actualité de l’édifice, consulter le site internet de la commune :

Saint-Maurice-de-Satonnay

Visite

L’église est d’ordinaire fermée.

Pour la visiter, se renseigner auprès de la mairie.


L’église Saint-Denis est accessible aux personnes à mobilité réduite et a fait l’objet d’une mise aux normes officielles : un plan incliné commence du côté du chevet, à côté d’une place de parking réservée, et se poursuit jusqu'à l’entrée latérale.

Association engagée

  • Association pour la Rénovation de l’Eglise de Saint-Maurice-de-Satonnay.

Responsable : Jean-Claude Latouille

  • PACoB : l’association a participé à la restauration et à la mise en valeur des peintures de l’église.

Site officiel de la PACoB

Iconographie ancienne et récente

Collection privée
Collection privée


Crédit Photos: CEP

Plans cadastraux

Bibliographie

  • RIGAULT, Jean, Dictionnaire topographique du département de la Saône-et-Loire, 2008.

Sources

  • Oursel, Anne-Marie et Raymond, Fiche d’inventaire départemental, 1969 :

Archives départementales de Saône-et-Loire

  • Fiche édifice de la Sauvegarde de l’Art français :

Eglise Saint-Denis

  • Site de la mairie
  • Panneaux informatifs sur place

Propriétaire / Contact

Commune de Saint-Maurice-de-Satonnay

03 85 33 36 18

saintmauricedesatonnaymairie@wanadoo.fr

Patrimoine local et/ou folklore

Chapelle romane datant en partie du Xe siècle, ancienne église paroissiale de Satonnay. C’est une propriété privée qui ne se visite pas.

  • Château de Saint-Mauris:

Page Wikipédia

Notes et références

  1. Cluny I, 708.
  2. Rigault, Jean, Dictionnaire topographique du département de la Saône-et-Loire, 2008.
  3. Ibidem
  4. Historique plus détaillé de la famille sur le site de la mairie
  5. Site de la mairie.
  6. Oursel, Anne-Marie et Raymond, Fiche d’inventaire départemental.
  7. Site de la mairie.
  8. Oursel
  9. Ibidem
  10. Un panneau retrace le cheminement du dégagement et de la restauration des peintures. Il est installé dans la nef.
  11. Inventaire en partie réalisé grâce aux plaques explicatives installées sur place et aux informations sur le site de la commune
  12. Des panneaux explicatifs installés dans l’église par la PACoB rendent compte de la restauration des peintures et décrivent leurs motifs. Une reproduction des différents blasons est également exposée.
  13. Fiche de la Sauvegarde