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Hurigny

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Eglise Notre-Dame-de-l'Assomption à Hurigny
'''Chapelle Sainte-Juste''' a été détruite pendant la Révolution. Sous son sol avaient été découvertes des tombes probablement antérieures à l'édifice. La chapelle se situait sur le chemin du même nom auquel on accède en passant devant la croix de la Pourcette, au bas du parc de l'ancien château d'Arlempdes, lui aussi détruit plus récemment, en 1987.
La chapelle Sainte-Juste fut pillée et en grande partie détruite. En ce lieu existait un pélerinage dont Gabriel JEANTON a écrit : "Au village de Salornay, commune d'Hurigny, existait jadis "prope castrum", c'est-à-dire à côté du château des sires de Salornay, une chapelle dédiée à Sainte-Justine. Cette chapelle fut l'objet en 1530, de diverses fondations faites par les sires de Salornay et les habitants du lieu, était assez spacieuse et surmontée d'un clocher. Il y existait un pélerinage où l'on se rendait pour les palpitations du coeur. Son renom s'étendait au loin puisque l'on venait même de Lyon. Lorsque la chapelle fut détruite, on alla sur ses ruines. Il y a peu d'années le pélerinage persistait encore. La statue Sainte-Justine qui est d'une relative ancienneté, a été transportée dans l'église d'Hurigny".
De cette chapelle, il ne reste que 2 vestiges : la statue de Sainte-Juste et une fenêtre gothique réemployée dans une bâtisse proche du château féodal de Salornay (notifiée par B. REBUFFET dans un ouvrage de 1970 consacré aux édifices religieux). Cette bâtisse est nommée "l"'Abbaye".
De son nom, Sainte-Juste n'a pas qu'un clos ; même le chemin qui mène à Levigny a changé de dénomination. Désormais il se nomme "chemin de Salornay".
C'''roix du Bourg nommée autrefois croix du Moulin''' (moulin qui se situait dans le dessus de la rue, aujourd'hui totalement disparu et peu de guelati se souvienne de sa présence, quelques ruines à une époque voilà tout) est la plus ancienne du village datant de 1806.
'''Croix de l'Eglise''' est placée à côté du monument aux morts.
'''Croix du cimetière''' dédiée à la comtesse de Vogüé dont la tombe à a été déplacée lors du transfert du cimetière. Elle est située au bout de l'allée centrale du cimetière.
'''Croix de la Fontaine''' (doit son nom au quartier où elle est érigée) date de 1867. Son socle a été refait à l'identique en 2010.
'''Croix dAbdon d'Abdon aussi nommée Croix des Poccards''' dont il ne reste qu'un morceau de socle près du chemin de la Palisse au quartier des Poccards.
'''Croix d'Appeugny''' autrefois appelée Croix de la Palisse; visible près du stade.
'''Croix de Franclieu''' située à la limite de Charnay-les Mâcon sur le chemin du même nom.
'''Lucien BEGULE''' (peintre verrier) [3] né le 10 mai 1848 à Saint-Genis-Laval et mort le 1er février 19351 1935 à Lyon. Peintre-verrier et archéologue. Artiste pluridisciplinaire. Il exerce tour à tour les métiers de maître-verrier, écrivain, historien, collectionneur, photographe et archéologue. En tant que peintre sur verre, il est particulièrement actif autour des années 1880 et 1890 L'apogée de ses ateliers se situe dans les années 1890. L’œuvre religieuse constitue la plus grande part de la production des ateliers. On dénombre quatre-vingt-douze édifices religieux ayant bénéficié des vitraux Bégule soit une production de 400 vitraux dont ceux de l'église d'Hurigny.
'''Vicomte Godefroy DE LEUSSE''' (archéologue et bienfaiteur public) né le 31 mai 1873 à Anthon (Isère) et décédé le 5 novembre 1944 à Hurigny, village où il demeura tout au long de ses années. Hurigny lui doit son monument aux morts. Godefroy voua son temps aux plus démunis, multiplia les bonnes actions. Sa plus grande caractéristique reste sans contestation, son humilité absolue. Son ami et confident Jean MICHOUD, châtelain du château de Chazoux, lui consacra un ouvrage "Godefroy DE LEUSSE, archéologue et bienfaiteur public" où il décrit les multiples actions et dévouements entreprises tout au long de sa vie. Godefroy était membre : Académie des sciences, arts et belles-lettres de Mâcon : secrétaire en 1922, Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon : membre correspondant en 1923-1944, Société française d'archéologie, Société historique, archéologique et littéraire de Lyon : membre de 1906 à 1921, membre correspondant de 1941 à 1944, Société nationale des antiquaires de France.
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