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Hurigny

19 139 octets ajoutés, 12 décembre 2021 à 21:34
Patrimoine
| codes = 71235 - 71870
| habitants = 1983 en 2017 - 2035 Gueulatis en 2019
| siteweb = [http://www.hurigny.fr/site de la commune][https://www.association-pour-la-sauvegarde-du-patrimoine-d-hurigny.fr/ site de l'association de sauvegarde du patrimoine de la commune]
| carte =
}}
==Liste des maires==
'''PIC Aimé ''' du 6 janvier 1826 jusqu’à son décès.'''DESREAUX Georges ''' du 7 février 1830 au 13 août 1843.'''PACHON Michel ''' du 13 août 1843 au 20 août 1848.'''DESREAUX Georges ''' du 20 août 1848 au 12 août 1860.'''PACHON Michel ''' du 112 août 1860 au 3 septembre 1865.'''LETIENNE Antoine ''' du 3 septembre 1865 au 14 mai 1871.'''RONDIERE Benoît ''' du 14 mai 1871 au 23 août 1891.'''LAPLACE Charles ''' du 23 août 1891 au 12 janvier 1896.'''GIRARDIN Jean ''' du 12 janvier 1896 au er octobre 1902.'''FOURRIER Pierre ''' du 1er octobre 1902 au 15 juillet 1906.'''GIRARDIN Jean ''' du 15 juillet /1906 au 18 janvier 1911.'''VIGOUREUX François ''' du 18 janvier 1911 au 10 décembre 1919.'''FOURRIER Claude ''' du 10 décembre 1919 au 5 décembre 1926 où il démissionne.'''DUVERT Jean Honoré ''' du 24 février 1927 au 19 mai 1929.'''MOIROUX Ryol ''' du 19 mai 1929 au 12 mai 1935.'''DUVERT Jean ''' du 12 mai 1935 au 26 juin 1938.'''HIGONET André ''' du 23 juin 1938 au 2 septembre 1939.'''BOUILLARD Pierre ''' du 09 septembre 1939 au 1er septembre 1941 ou une démission s’impose pour raisons de santé.'''CHEVENET Eugène ''' du 1er septembre 1941 au 16 mai 1945.'''HIGONET André ''' du 16 mai 1945 au 1er juillet 1958.'''MOIROUX Pierre, ''' du 1er juillet 1958 au 30 novembre 1963.'''LAPLACE Maurice ''' du 30 novembre 1963 au 28 mars 1971.'''De VIGAN Henry ''' du 28 mars 1971 au 19 mars 1983.'''FOULON Pierre ''' du 19 mars 1983 au 16 juin 1995.'''CURTENEL Jean-Louis ''' du 16 juin 1995 au 29 mars 2014.'''DEYNOUX Dominique ''' du 29/03/2014, mandat en cours.
== Canton d'Hurigny ==
Le canton d'Hurigny a été créé en mars 2015, suite au découpage territorial du département de Saône-et-Loire.
Lors de sa création en 2015, le nouveau canton d'Hurigny comprend 28 communes.
Le nouveau canton d'Hurigny a été formé des communes des anciens cantons de Lugny (14 communes); Mâcon-Nord (12 communes) et de Mâcon-Sud (2 communes).
Le nouveau canton d'Hurigny est entièrement dans l'arrondissement de Mâcon. <ref>Source : Legifrance </ref>
 
 
 
== Histoire ==
Hurigny ne compte pas moins de 200 noms de rues, impasses, chemins...tous ces noms ont été repertoriés dans un ouvrage intitulé "HURIGNY, les lieux, les rues, les sites...leur origine, leur histoire"
Ainsi chaque nom est défini et situé sur la commune avec l'évolution au fil du temps. Le livre est disponible auprès de l'Association de Sauvegarde du Patrimoine qui en est l'auteur.
Au fil des pages vous pourrez découvrir l'origine de chaque nom de rue, de quartier, d'impasse ; ou leur changement de dénomination. Sans doute aurez-vous un souvenir, un détail à nous faire parvenir...
 
* au XIXe siècle, nombreux séjours de Lamartine au château, propriété de son oncle François Louis de Lamartine de Montculot.
== '''Patrimoine''' ==
 
 
Le patrimoine d'Hurigny est composé de plusieurs châteaux ou plûtot d'un château féodal et plusieurs grandes maisons bourgeoises
Vous pouvez retrouver leurs histoires et celles des propriètaires successifs (généalogie, anecdotes et photographies exclusives dans l'ouvrage publié par l'ASPH intitulé "les châteaux d'Hurigny".
S'ajoute le petit patrimoine : plusieurs lavoirs, de nombreux puits dont la plupart sont privés, un manège à eau, un château d'eau, un wagon de l'époque du Tacot (petit train), de deux chapelles : une sur la commune à proximité du château et une autre à Salornay face au Prado, un alambic, une ancienne cure désormais habitation privée, de même pour l'ancienne gare du Tacot, une halte dite du Tacot à hauteur de Chazoux, de nombreuses croix de chemins, une statue, bien que proprièté privée est visible sur un des sentiers balisés, il s'agit de "Notre Dame de la Salette", une église et sa place aménagée d'une croix et du monument aux morts, la maison du peintre Antoine VILLARD (monument classé depuis 2020)
 
 
 
== == '''[[LES CHATEAUX D'HURIGNY]]''' == == <ref>Source: Association de sauvegarde du patrimoine d'Hurigny</ref>:
 
*'''LE CHATEAU COMMUNAL D'HURIGNY'''
La châtellenie comprenait Hurigny, Blany, Laizé et Satonnay.
Il fut mention d'une châtellenie royale pourvue d'une maison forte cente de fossés dès le XIVème siècle.
 
1357 : le châtelain est Joceran CABUCHE
 
1510 : la terre est érigée en fief pour Philippe MARGEOT, bourgeois mâconnais, conseiller maître des comptes à Dijon
 
1535 : François DESCRIVIEUX, châtelain juge prend place en ce lieu
 
XVIe : le fief échoit à Étienne SEYVERT, bourgeois de Mâcon qui y fonde une chapelle
== '''PATRIMOINE''' ==1560 : Jean SEYVERT, son fils hérite du fief qui passera à son fils Ennemond
1599 : Au décès d'Ennemond SEYVERT, son fils Jean d'HURIGNY lui succède.
1657 : sans héritier, il fait de son neveu Jacques-François de l'ESTOUF, baron de Pradines et Sirot, son héritier 1666 : J.F de l'ESTOUF vendra le domaine aux religieuses des Ursulines de Mâcon 1671 : l'ensemble sera repris par Philippe-Étienne de LAMARTINE, conseiller-secrétaire du roi, (ancêtre du poète Lamartine) 1684 : Philippe de LAMARTINE, fils aîné du précédent, lui succède 1747 : ce dernier meurt sans enfant, c’est son frère Jean-Baptiste de LAMARTINE qui lui succède 1757 : son fils du même nom Jean-Baptiste de LAMARTINE, lui succède 1783 : il substitue une aimable demeure à l'ancien château qu'il a fait raser 1787 : le domaine échoit en dot à Pierre de MONTHEROT DE MONTFERRAND époux de Sybille-Philippine de LAMARTINE, fille du précédent. Celui-ci émigre laissant le château à l’abandon. 1794 : le château est vendu à un notaire de Senozan, Joseph MEZIAT puis à A. ROLAND puis à son beau-frère 1824 : Joseph TURIN, négociant à Lyon. Emilie, sa fille unique et héritière épouse le comte Léon DE LEUSSE. Le patrimoine château restera dans la famille sur plusieurs décennies. 1988 : le comte Raymond de LEUSSE (arrière petit-fils) vend la propriété à la commune d'Hurigny  Le château et ses dépendances (tinailler, écuries) sont entourés d’un parc de 10 ha planté d’arbres tricentenaires (des plaques détaillées indiquent leur provenance, l’annéede plantation etc) et équipé de plateformes de jeux. Un cadre de verdure apaisant où il fait bon flâner. Une petite chapelle située à proximité du château est composé mentionnée dès 1625 dans un inventaire . Elle est bâtie près de l’ancien château. Jean d'HURIGNY, seigneur du lieu à cettedate, fonde une messe du Saint-Esprit à célébrer par le curé d’Hurigny le jeudi de chaque semaine. En 1675, c’est Philippe-Étienne DE LAMARTINE qui charge le curé de célébrerchaque semaine une messe basse en la chapelle. Cette construction rectangulaire, orientée à l’est, avec sacristie accolée, a souffert de l’oubli.Ses voûtes, sa décoration intérieure, méritaient d’être préservées. De nombreux bénévoles, réunis dans l’Association de Sauvegarde du Patrimoine d’Hurigny, ont participé, de 2002 à 2005, aux chantiers de rénovation du bâtiment : charpente, toitured’ardoise, enduits et décors extérieurs de style régence. À l’intérieur, la décoration des voûtes, des corniches, des pilastres en faux-marbre, des moulures en plâtre, inspirée de décors XVIIè a été restaurée à l’identique. 1989 : Démolition des restes de l'orangerie 1995 : Inauguration du château après plusieurs châteaux ou plûtot années de réfection et de transformations. Son tinailler et ses écuries sont revisités et ouverts au public sous forme de salles de réunions, de manifestations, d'un associations.   *'''CHATEAU DE LA GARENNE'''Il est situé en plein coeur du bourg. Autrefois nommé "la Pouponnière". Avant 1900, le château féodal de la Garenne est proprièté d'Alfred EMPEREUR puis à la famille CASTELLANE NORANTE avant de passer au Général AZAIS. Entre 1920 et plusieurs grandes maisons bourgeoises 1944, M Petit, M Fournier en seront à leur tour propriètaire 1945 : la ville de Mâcon achète le domaine. Pierre DENAVE, maire mâconnais de l'époque est à l'initiative d'CHATEAU FEODAL DE SALORNAYune maison des mères et d'une pouponnière 1957 : le lieu est convertit en hôpital de jour, service psychologique pour enfants et adolescents, dépendant du centre hospitalier de Mâcon jusu'en 2019 où le service passe aux mains du centre hospitalier de SevreySur une partie du parc, un batiment est construit pour accueillir le centre aéré de Mâcon.   *'''CHATEAU DE CHAZOUX''' (Habitation de date forte ancienne : Chartres du Moyen-âge : VILLA CASCORUM Château complètement renové par la famille MICHOUD qui l'acquiert en 1850. Le domaine n'est jamais sorti de la famille. Au fil du temps, les rénovations sont appliquées en intérieur comme en exterieur. Les générations qui se succèdent prennent garde à conserver les décors d'origine ainsi que la grande bibliothèque et son contenu littéraire. Le parc, l'orangerie, les serres, les caves tout est encore présents. Initiateur de l'aménagement de la statue de notre Dame de la Salette que l'on découvre encore lors d'une promenade.Aujourd'hui c'est Christophe DE LA CHAPELLE), neveu héritier, qui se charge d'entretenir le château, ses dépendances et les 70 hectares de vignobles.   *'''CHATEAU DE CHANTELOUP''' (Château qui doit son nom au site sur lequel il est bâti. Il semblerait que sa construction date de 1736 et que son premier propriètaire fut CL. Joseph OLIVIER suivi de J.B PERRET, maire d'Hurigny avant de passer à la famille DE VOGUE et DE DIVONNE qui vendra aux époux BODIN DE VEYDEL. Leur fille héritière, épouse A. DE LA RUE.  Puis c'est au tour de la fille DE LA RUE épouse FROMENT d'hériter. Héritage qu'elle vendra à la famille VERDELET. Marguerite VERDELET, héritière et fille unique, l'apporte en dot lors de son mariage en 1926 avec Marie Léo Georges LA FAY), ingénieur agronome et professeur à l'école d'agriculture d'CHATEAU DE FRANCLIEUAngers, exploitant de la terre de Chanteloup de 1927 à 1959, année de son décès. Depuis, le domaine Chanteloup est restée dans la famille LA FAY. De leurs 10 enfants, tous ont hérités d'une part des terres ou des maisons de Chanteloup. La maison principale est revenue à Luc, DES POCCARDSancien conseiller municipal d'Hurigny (de 1971 à 1977).Marguerite VERDELET, femme de coeur, vice-présidente de l'association des veuves civiles, présidente de l' association des "Papillons Blancs", fondatrice du CAT de Chanteloup (devenu chambres toujours présent sur la commune), présidente de l'enseignement ménager rural de Saône-et-Loire.La demeure principale est dotée de trois niveaux au-dessus d'hôtes une grande terrasse par un mur de pierres sèches. Entre les deux premiers étages, un escalier datant de 1800 dessert 5 chambres. Plusieurs cheminées datant du règne de Louis XV. De belles boiseries. Sur le fronton une statuette, un buste représentant une jeune femme au costume de Mâconnaise. Le domaine subit des transformations (interieur extérieur) au fil du temps et restaurant)pourtant le passé est toujours présent : le tinailler et son pressoir, la pompe à eau et son abreuvoir, le pédiluve, le parc autrefois "à la française" etc...   *'''CHATEAU DE LA GARENNEFRANCLIEU''' (hôpital pour enfants malades Proprièté des familles LEBRE et centre aéré de Mâcon), GANDOULF   *'''COMMUNALCHATEAU D'ARLEMPDES à Salornay''' Autrefois nommé château moderne de Salornay1779 : Marie Antoinette LEMOYNE apporte le château en dot lors de son mariage avec son parc J.B BONNETAIN DE LESSART 1862 : Louis Pierre Ch. DE LAVAL D'ARLEMPDES, maire d'Hurigny épouse Marie Philomène Angèle CHANEL, fille de J.B CHANEL et sa chapelle Charlotte Françoise Henriette BONNETAIN DE LESSART.De cette union naissent 2 enfants :Charles Victor Emmanuel (1864/1918) décédé sans héritierMarie Henriette Emmanuelle (autrefois dit DE LEUSSE1863/1945), baronne d'Arlempdes, restée célibataire qui fait don de son domaine au profit des orphelins du Prado (oeuvre agricole de Salornay) Le Père JAILLET, dont l'âme d'DES ROUSSEAUX apôtre, la compétence agricole et DE GUILLERANCHE'l'esprit organisateur convenait au poste de directeur de l'oeuvre naissante à Salornay pris du service.S'ajoute Le domaine représentait 100 hectares de terres agricoles incluant le petit patrimoine : plusieurs lavoirschâteau, de nombreux puits dont la plupart sont privéschapelle, un manège l'orangerie attenante à eaul'étable, un château les bâtiments d'eauexploitation, le matériel agricole, un wagon les maisons de lvignerons en mitoyenneté avec les bâtiments agricoles du château féodal voisin. Très étendu le domaine allait jusqu'époque du Tacot (petit train)au lieu dit "Malcus" à Charnay, il englobait les terres de deux chapelles : une sur la commune Pourcette avec la maison, le puits, le chemin et les terres qui menaient à proximité du la chapelle de Ste Juste. 1943 : de nombreuses modifiactions ont lieu au château d'Arlempdes et une autre à Salornay face au Prado, un alambic, une ancienne cure désormais habitation privée, de même pour l'ancienne gare orphelinat. Construction du Tacotbâtiment le long de la route. Les pierres nécessaires sont extraites des carrières de SalornayUne chapelle moderne, une halte dite plus vaste que celle du Tacot à hauteur parc d'Arlempdes est érigée avec son campanile 1944 : un nouveau bâtiment de plus de Chazoux, 65 mètres de nombreuses croix long par 8 de cheminslarge voit le jour 1948 : 40 garçons et 9 soeurs dépendent tous du château 1952 : les locaux peuvent recevoir jusqu'à 130 garçons. Des ateliers divers sont ouverts : maçonnerie, une statueimprimerie, mécanique, cordonnerie, bien que proprièté privée est visible sur un des sentiers balisésboulangerie tonnellerie, il tous ces programmes s'agit ajoutaient à celui de base qui était l'agriculture 1969 : La Socièté Civile du Domaine de "Notre Dame Salornay se transforme en association du Prado de la Salette", une église et sa place aménagée Salornay 1986/87 : Réhabilitation des bâtiments afin d'une croix et du monument aux morts, accueillir la maison Direction Générale de l'Association du peintre Antoine VILLARD (monument classé depuis 2020)Prado de Saoône et Loire.
* '''LES LAVOIRS D'HURIGNY'''
Comme dans chaque village, Hurigny possède plusieurs lavoirs. Entretenus, ils sont le souvenir d'une époque où ils étaient utilisés dans plusieurs fonctions ; pour les lavandières qui effectuaient les lessives, pour les fermiers, agriculteurs ou viticulteurs qui s'en servaient pour arroser leurs terres, abreuver leurs bêtes, pour le nettoyage quotidien
Les lavoirs avaient une importante fonction sociale. Ils constituaient un des rares lieux où les femmes se réunissaianet pour discuter tout en oeuvrant.
L'association de Sauvegarde du patrimoine présente aux enfants scolarisés, dans le cadre du temps après l'école, une séance sur le travail des lavandières (tenues de l'époque, matériel et technique) tout est présenté...les enfants s'en amusent, les adultes se souviennent...
Hurigny comptait 9 lavoirs. Trois ont disparu : le *'''lavoir DU BOURGLE CHATEAU FEODAL DE SALORNAY''' qui avait été construit en 1856, lavoir non couvert qui était situé à côté du puits des Vignes, doont il ne reste aucune trace.Le Avant l'''lavoir DU MONT ROUGE''' avait été créée en 1861, il ne reste rien ; an 1000 : Villa Salorniacumle '''lavoir Famille DE SALORNAY''', mis en place en 1856. Lavoir couvert composé d'une auge pour les animaux dont il ne reste rien, non plus.
Toutefois, pour le paisir des yeux et des souvenirs qu'ils peuvent évoquer, il reste '''le lavoir couvert DE CHAZOUX''' qui date de 1841 qui recontrera un problème récurent, sa source se tarie.Et ce n'1290 : Salornay est que 40 ans plus tard, en 1881 que grace à la générosité d'un propriètaire qui offre une cession gratuite de prise d'eau que le hameau pourra enfin profiter de son lavoir.inscrit aux archives départementales
'''Le lavoir DE LA FONTAINE''' date de 1848. Lavoir couvert avec abreuvoir composé d'une auge ; il subira de nombreuses réparations au fil du temps. 1291 '''à 1614 : Le lavoir DES MIOLANDS''' date de château reste dans la même année que le précédent. Lavoir couvert en 1856, mesurant 10 m 34 de long et 1 m 95 de large. A sa proximité : un puits, un abreuvoirfamille chevaleresque DE SALORNAY.
'''Le lavoir DES PIOTS,''' construit en 1850. L'eau est introduite par une gargouille formant un abreuvoir. Les bancs ont été remplacés en 1855. Réparé en 1876 ; les moellons et les dalles proviennent de la carrière de la commune. En 1970, la famille MICHOUD, propriètaire du domaine et château de Chazoux fait refaire la toiture.1616 : Claude BOTTON achète
'''Le lavoir du POINT DU JOUR'''1652 : Marguerite, ouvrage d'un particulier, ancien propriètaire de la parcellehéritère porte le domaine en noces à Pierre DE CHESNARD. Ce lavoir n'a rien en commun, dans sa construction Fils et dans son apparence avec les autres lavoirs d'Hurigny.Pas de date réfenciée sur l'année de sa constructionpetit-fils succèderont.
'''1760 : Le lavoir DES ROUSSEAUX''' '''aussi dénommé lavoir DES GANDELINS''marquis d' date de 1841. Il mesure 7 m 10 de long et 5 m 85 de largeIgé, hors oeuvre. la bassin est formé de 2 rangs de dalles taillées.La couverture est faite de tuiles creuses.<ref>Source: Association de sauvegarde du patrimoine d'Hurigny</ref>Albert DE LA BLETONNIERE se fait acquéreur
1812 : C'est sa petite fille Zoé REGNAULT DE PARCIEUX qui hérite et porte le domaine par mariage à Gustave DE MOLETTE DE MORIANGES DE SAINT ALBAN
1838 : Vente du lieu à Claude LAPULTE dont l'arrière petit fils, sans postérité, lèguera à son neveu M BERNIER. Par le mariage d'une arrière petite fille le domaine contenant 27 hectares et 9 vignerons appartient depuis la fin du XIXè siècle à la famille GUERIN DE NORMANDIE
* '''LE CHATEAU DE SALORNAY'''
'''A flanc de coteau, à 4000 m à l'ouest de Macon et 2500 m au sud d'Hurigny.''' <br>
Le hameau de Salornay recèle deux sites fortifiés : le château à proprement parler et une tour saule, située près de l'entrée de la basse-cour du château. Le château est constitué par une ensemble de bâtiments disposés en arc de cercle au nord d'une plate-forme ovoïde, entourée de fossés en eau larges de 12 à 30 m. On y accède par l'ouest. Le chemin passe tout d'abord au sud de la tour-saule d'Hurigny, puis à travers une vaste basse-cour qui se prolonge au sud par un pigeonnier rond dressé à côté des fossés, et enfin sur le pont-dormant qui s'engage sous la tour-porche, percée d'une porte cochère en arc surbaissé. (La tourelle ronde qui se dresse à gauche de la tour porche est une adjonction du début du XXe s.) <br>
*'''NOTRE DAME CHATEAU DE LA SALETTEGUILLERANCHE'''Située sur le domaine de ChazouxRepertorié en tant que petit fief, proprièté du baron Guy DE LA CHAPELLE, puis désormais à Christophe DE LA CHAPELLE ; la statue flanqué de Notre Dame de la Salette est bien connue 2 tourellesLa construction semblerait datée des habitants années 1500 1556 : Jean MOYROUD, co-seigneur d'Hurigny.Erigée à la fin du XIXe siècle par M Alphonse MICHOUD1680 : Joseph GUERIN, grand-oncle du propriètaire actuelseigneur de Guilleranche, cette statue représente la Vierge apparaissant à deux jeunes bergers, évènement qui aurait eut lieu en 1846 à la Salette-Fallavaux dans l'Isère. Jusqu'en 1966, le jour conseiller du 15 aoûtroi, un pélerinage à la statue regroupait un grand nombre contrôleur des habitants d'Hurigny et se clôturait par un feu d'artifice offert par finances de la famille MICHOUD.généralité de Lyon  De nos jours, par sa situation et par la vue que l'on peut avoir sur la Grisière, Mâcon et la plaine de la Saône, 1735 : la statue terre de la Salette Guilleranche est devenue un lieu apprécié pour ceux qui fréquentent le chemin communal vendue à piedJ. PERRIER, apothicaire à cheval ou à V.T.T. La statue n'en reste pas moins un lieu privé que tout à chacun se doit doit de respecter en la préservant de tous dépôts, déteriorations ou autres. <ref>Source : Hurigny info mars 1997- ASPH </ref>Mâcon
Une période sans document justifiant le nom des propriètaires
*'''LE CHATEAU D'HURIGNY''' <ref>Source: Association 1936 (sur relevé de sauvegarde du patrimoine d'Hurigny<recensement) famille RAPPUET/ref>:GAMBY, propriètaire cultivateurXIVe : châtellenie royale pourvue d'une maison forte ceinte de fossésActuelleemnt cette famille demeure toujours dans le domaine
1357 : le châtelain est Joceran CABUCHE
1510 : la terre est érigée en fief pour Philippe MARGEOT, conseiller maître des comptes à Dijon
1535 *''' CHATEAU DES POCCARDS'''1805 : François DESCRIVIEUXconstruction du château par le vicomte MAURES DE MALARTIC1937 : Le dernier héritier, le comte Jehan DE MAURES DE MALARTIC distribue ses biens au séminaire où il fit une profession solenelle avant d'être ordonné prêtre. C'est suite au décès de son épouse, châtelain jugequ'Il choisit de vivre dans l'abbaye de Hautecombe.
XVIe : le fief échoit à Étienne SEYVERTLe château va passer entre ^plusieurs mains de propriètaires issus de la bourgeoisie de provincemais sans grandes modificationsAfin de pouvoir l'entretenir, les vignobles, bourgeois la ferme et la maison de Mâconvigneron sont vendues. Il fonde une chapelle Le château conserve sa conciergerie et ses chais
1560 1999 : Jean SEYVERTM et Mme FIZAINE deviennent les heureux propriètaires Ils vont complètement rénover la bâtisse et redécorer les intérieurs et remettre le parc de3 hectares en état d'accueil (gazon, son fils hérite du fiefpiscine, fleurs...)2002 : inauguration des chambres d'hôtes qui portent toutes un nom spécifique : la chambre jaune, la baroque, la Napoléon III, la Louis XV2005 : inscription au guide Michelin en tant que gîte rural
1599 1944 : Au décès dle château servait de quartier général à l'Ennemond SEYVERT, fils du précédent, son fils Jean lui succèdearmée Franco-Américaine en route pour libérer Paris
1657 2010 : sans héritier, c’est le neveu Jacques-François lieu devient proprièté de l'ESTOUF, baron de Pradines M et Sirot qui prend le fiefMme BRUYNEEL
1666 2018 : le domaine est vendu aux Ursulines de Mâconouverture d'un restaurant au sein du château. Une belle aventure pour Davide et Marion PESENTI
1671 : l'ensemble sera vendu à Philippe-Étienne de LAMARTINE, conseiller-secrétaire du roi, (ancêtre du poète Lamartine)
1684 : Philippe de LAMARTINE, fils aîné du précédent, lui succède
1747 : *''' CHATEAU DES ROUSSEAUX'''Belle bâtisse située au hameau des "Roussots" ce dernier meurt sans enfant, c’est son frère Jean-Baptiste de LAMARTINE qui lui succèdea valu son nom. L'orthographe a changé en ROUSSEAUX.C'est plus un domaine qu'un château dont M JANNAUD était propriètaire, puis M JAMBON
1757 : son fils du même nom Jean-Baptiste de LAMARTINE, lui succède== '''Les Lavoirs d'Hurigny''' ==
1783 : il substitue Comme dans chaque village, Hurigny possède plusieurs lavoirs. Entretenus, ils sont le souvenir d'une époque où ils étaient utilisés dans plusieurs fonctions ; pour les lavandières qui effectuaient les lessives, pour les fermiers, agriculteurs ou viticulteurs qui s'en servaient pour arroser leurs terres, abreuver leurs bêtes, pour le nettoyage quotidien Les lavoirs avaient une importante fonction sociale. Ils constituaient un des rares lieux où les femmes se réunissaianet pour discuter tout en oeuvrant.L'association de Sauvegarde du patrimoine présente aux enfants scolarisés, dans le cadre du temps après l'école, une aimable demeure à séance sur le travail des lavandières (tenues de l'ancien château quépoque, matériel et technique) tout est présenté...les enfants s'il a fait raseren amusent, les adultes se souviennent...
1787 Hurigny comptait 9 lavoirs. Trois ont disparu : *le domaine échoit '''lavoir DU BOURG''' qui avait été construit en 1856, lavoir non couvert qui était situé à Pierre de MONTHEROT côté du puits des Vignes, doont il ne reste aucune trace. *Le '''lavoir DU MONT ROUGE''' avait été créée en 1861, il ne reste rien ; *le '''lavoir DE MONTFERRAND époux de Sybille-Philippine de LAMARTINESALORNAY''', fille du précédentmis en place en 1856. Il émigre laissant le château à l’abandonLavoir couvert composé d'une auge pour les animaux dont il ne reste rien, non plus.
1794 : Toutefois, pour le château plaisir des yeux et des souvenirs qu'ils peuvent évoquer, il reste*'''le lavoir couvert DE CHAZOUX''' qui date de 1841 qui recontrera un problème récurent, sa source se tarie.Et ce n'est vendu que 40 ans plus tard, en 1881 que grace à la générosité d'un notaire propriètaire qui offre une cession gratuite de Senozan, Joseph MEZIATprise d'eau que le hameau pourra enfin profiter de son lavoir.
1824 : *'''Le lavoir DE LA FONTAINE''' date de 1848. Lavoir couvert avec abreuvoir composé d'une nouvelle vente fait passer auge ; il subira de nombreuses réparations au fil du temps. Quelques passionnés du quartier participent à son entretien comme le démoussage de sa toiture en 2021. *'''Le lavoir DES MIOLANDS''' date de la même année que le domaine entre les mains précédent. Lavoir couvert en 1856, mesurant 10 m 34 de long et 1 m 95 de Mlarge. A sa proximité : un puits, un abreuvoir. L'ensemble subit une rénovation complète en 2021. Joseph TURINLe puits et son abreuvoir sont remis en état, négociant la porte du puits refaite à Lyonneuf. Le lavoir est décrépi et rejointé. Un travail effectué par les bénévoles de l'ASPH. EmilieEn 2022, sa fille unique ce sera l'aspect architectural intérieur qui sera remis en état et héritière épouse le comte Léon DE LEUSSEenjolivé.
1988 : le comte Raymond *'''Le lavoir DES PIOTS,''' construit en 1850. L'eau est introduite par une gargouille formant un abreuvoir. Les bancs ont été remplacés en 1855. Réparé en 1876 ; les moellons et les dalles proviennent de LEUSSE (arrière petit-fils) vend la propriété à carrière de la commune d'Hurigny. En 1970, la famille MICHOUD, propriètaire du domaine et château de Chazoux fait refaire la toiture. Celle ci sera remise en état par la municipalité en 2020.
*'''Le château et ses dépendances (tinaillerlavoir du POINT DU JOUR''', ouvrage d'un particulier, écuries) sont entourés d’un parc ancien propriètaire de 10 ha planté d’arbres tricentenaires (des plaques détaillées indiquent leur provenancela parcelle. Ce lavoir n'a rien en commun, l’annéedans sa construction et dans son apparence avec les autres lavoirs d'Hurigny.Pas de plantation etc) et équipé de plateformes de jeux. Un cadre date réfenciée sur l'année de verdure apaisant où il fait bon flânersa construction.
Une petite chapelle située à proximité du château est mentionnée dès 1625 dans un inventaire *'''Le lavoir DES ROUSSEAUX''' '''aussi dénommé lavoir DES GANDELINS''' date de 1841. Il mesure 7 m 10 de long et 5 m 85 de large, hors oeuvre. Elle la bassin est bâtie près formé de l’ancien château2 rangs de dalles taillées. Jean d'HURIGNY, seigneur du lieu à cettedate, fonde une messe du Saint-Esprit à célébrer par le curé d’Hurigny le jeudi La couverture est faite de chaque semainetuiles creuses. En 1675, c’est Philippe-Étienne DE LAMARTINE qui charge le curé <ref>Source: Association de célébrerchaque semaine une messe basse en la chapelle.sauvegarde du patrimoine d'Hurigny</ref>
Cette construction rectangulaire, orientée à l’est, avec sacristie accolée, a souffert de l’oubli.
Ses voûtes, sa décoration intérieure, méritaient d’être préservées.
De nombreux bénévoles*'''LE MANEGE A EAU'''Découvert au jardin des Lombards sous une masse touffue de vigne vierge entouré d'une cabane de briques, réunis dans l’association le mécanisme du manège à eau fut dégagé. Les anciens gueulatis confirment qu'un manège à eau existait avant 1930. Il alimentait en eau potable le château de Sauvegarde du Patrimoine d’Hurignyla Garenne situé au bourg. Le terrain fut déblayé, ont participéle mur de pierres consolidé, le mécanisme dégagé et nettoyé. Le puits fut exploré par les pompiers de 2002 la commune ce qui permit de comprendre le fonctionnement de ce manège. La charpente et la toiture furent installées en mars 2007. Robert GERARD dessina une mule qui servi à 2005, aux chantiers la fabrication d'une silhouette en fer forgé qui sera installée sur le manège en mai 2008. Les bénévoles de l'association de rénovation sauvegarde du bâtiment : charpente, toiturepatrimoine ont été jusqu'à ajouter un pupitre explicatif. d’ardoise, enduits Une restauration remarquable que vous trouverez au jarin des Lombards à proximité du wagon et décors extérieurs de style régencedu puits.
À l’intérieur, la décoration des voûtes, des corniches, des pilastres en faux-marbre, des moulures en plâtre, inspirée de décors XVIIè a été restaurée à l’identique.
"Au bout du parc, le jardin des Lombards où vous pourrez contempler un manège à eau rebâti à l’identique par l'Association de Sauvegarde du Patrimoine. Ce manège à eau
alimentait le château de la Garenne situé en haut du parc. Autrefois Pouponnière il est aujourd’hui un hôpital d'accueil de jour pour les enfants en difficulté psychologique.
Aux côtés du manège à eau, un wagon de l’époque du Tacot. Petit train qui traversait la commune de 1900 à 1935. Un panneau explicatif vous détaillera la vie de ce petit train à la
belle époque et le travail des bénévoles qui ont oeuvrés à sa réfection. Et, le Puits des Lombards aussi restauré.<ref>Voir le site internet de l'association de sauvegarde du patrimoine : [https://www.facebook.com/sauvegardedupatrimoinedhurigny/ Page Facebook] </ref>"
===[[Eglise Notre-Dame-de-l'Assomption à Hurigny]]===
'''L'église d'Hurigny est placée sous le vocable de l'Assomption de la Vierge Marie ''' et dépend de la paroisse de Saint-Vincent-de-Paul.
Elle est dotée d'une architecture romane.
Elle dispose d'un clocher octogonal qui pourrait dater de la fin du XIIIe ou du début du XIVe siècle. Ce clocher qui abrite trois cloches est situé à la croisée du transept.
L’église en forme de croix latine, comporte une nef de trois travées dallées sous croisées d’ogives, prolongée d’un chœur pentagonal.
Le déplacement du cimetière qui entourait l'église, en 1862, a permis la construction de la chapelle Saint-Joseph opposée à celle de Sainte-Marie.
* '''Chapelle Saint-Joseph ''' :
L’autel dont le devant présente le chiffre de Saint-Joseph, encadré des lys, symboles représentatifs du père nourricier de Jésus.
On y trouve une grande peinture représentant Saint-Joseph mourant, avec Jésus et Marie à son chevet. Et une imposante statue de femme agenouillée, aux traits très typés, sainte Marie-Madeleine.
* '''Chapelle de la Vierge ''' :
L’autel est dominé par une statue de Vierge à l’enfant, qui présente la Vierge Marie avec Jésus et Jean-Baptiste enfants. La scène est entourée par les statues de Saint-Louis et d’un évêque.
Puis, il y a SAINTE -JUSTE provenant de la chapelle (détruite de Salornay) du même nom. La statue Sainte-Juste nommée aussi Sainte-Justine fut cachée en notre église pendant la Révolution par les habitants de Salornay.
La nef fut rebâtie en 1898 dans un style néo-gothique flamboyant. Le porche repose sur les fondations d'origine. Cet important caquetoire est composé d'un auvent couvert de tuiles rondes, supporté par des colonnes cylindriques.
Les peintures des murs et des voûtes ont été réalisées par l'entreprise Mâconnaise BUSSIERES.
Parmi les différents tableaux, on retrouve celui de la "Pieta" signé par le peintre Mâconnais Honoré HUGREL (1880 - 1924).
Les vitraux sont de Lucien BEGULE (1848 - 1935), maitre verrier lyonnais. L'un de ses vitraux se retrouve, en identique dans une chapelle à Santiago du Chili.Devant l'église, sur la place du même nom, une croix érigée en janvier 1867, en l'honneur de Saint-Joseph, en janvier 1867, et ce lors de l'achèvement de la construction de la chapelle.
Travaux effectués en l'église d'Hurigny, au fil du temps :
- 1821 : réparation importante de l’église : enduit extérieur, enduit intérieur du clocher, serrurerie et peinture du portail d’entrée.
- 1898 : réparation de la nef de l’église prise en charge par la fabrique et la famille MICHOUD.
- 1931 : installation d’un bec électrique devant l’église. - 1977 : réfection du toit de l’église. - 1991 : électrification des cloches avec sonnerie automatique des heures. - 2021 : la façade de l'église et son caquetoire sont entièrement rénovés.
* '''LE MONUMENT AUX MORTS '''
C'est à Godefroy DE LEUSSE, bienfaiteur public, propriètaire du château du même nom que nous devons le monument aux morts situé sur la place de l'église d'Hurigny.
Démobilisé en janvier 1919, G. DE LEUSSE revient en son château, auprès de sa mère.
L'inauguration eu lieu le 29 mai 1921, Godefroy DE LEUSSE y fut l'unique discours de sa vie (renseignements issus du livre de son ami Jean MICHOUD : Godefroy DE LEUSSE)
La place de l'église a subi des plusieurs transformations au fil du temps : les ifs ont été enlevés (après plus de cinquante ans) afin de dégager la vue et la . La place fut complètement réhabilitée en 2020.<ref>Source: Association de sauvegarde du patrimoine d'Hurigny</ref>  
== '''Les Chapelles d'Hurigny''' ==
* LES CHAPELLES D'HURIGNY'''Chapelle du château''' 1625 : une chapelle destinée au culte catholique est bâtie dans l'enceinte du château (mentionnée dans l’inventaire annuel). Jean d’HURIGNY, seigneur du lieu à cette date, fonde une messe du Saint-Esprit à célébrer par le curé d’Hurigny, le jeudi de chaque semaine.Vouée à A l'intérieur sa décoration (voûtes, corniches, pilastres, moulures) est inspirée de décors XVIIè. Ensemble très représentatif de l'architecture et de décoration Régence du XVIIè ce qui est très rare dans la destruction, cette région.La chapelle doit sa présence et son allure actuelles à Michel BRAILLONa été totalement restaurée, alors président en grande partie par les "mains en or" de M Pierre BENOIT, gueulati, épaulé par l'Association de Sauvegarde du Patrimoine d'Hurigny, qui décida tout juste créée et présidée par M Michel BRAILLON. Le travail sera effectué en compagnie dpartenariat avec l'une équipe association REMPART, entre autres, et de nombreux bénévoles dotée de talents et de mains en or, d. Un projet qui n'a comme résultat qu'une rénovation des plus réussiemagnifique réussite qui ravit les promeneurs du parc et les amoureux du patrimoine. Ce travail de minutie et dLes travaux s'heures incalculables se fera étalent sur 3 plusieurs années (: de 2002 à 2005).
Les 3 chapelles de Salornay : *'''Chapelle Sainte-Juste''' a été détruite pendant la Révolution. Sous son sol avaient été découvertes des tombes probablement antérieures à l'édifice. La chapelle se situait sur le chemin du même nom auquel on accède en passant devant la croix de la Pourcette, au bas du parc de l'ancien château d'Arlempdes, lui aussi détruit plus récemment, en 1987.
La chapelle Sainte-Juste fut pillée et en grande partie détruite. En ce lieu existait un pélerinage dont Gabriel JEANTON a écrit : "Au village de Salornay, commune d'Hurigny, existait jadis "prope castrum", c'est-à-dire à côté du château des sires de Salornay, une chapelle dédiée à Sainte-Justine. Cette chapelle fut l'objet en 1530, de diverses fondations faites par les sires de Salornay et les habitants du lieu, était assez spacieuse et surmontée d'un clocher. Il y existait un pélerinage où l'on se rendait pour les palpitations du coeur. Son renom s'étendait au loin puisque l'on venait même de Lyon. Lorsque la chapelle fut détruite, on alla sur ses ruines. Il y a peu d'années le pélerinage persistait encore. La statue Sainte-Justine qui est d'une relative ancienneté, a été transportée dans l'église d'Hurigny".
De cette chapelle, il ne reste que 2 vestiges : la statue de Sainte-Juste et une fenêtre gothique réemployée dans une bâtisse proche du château féodal de Salornay (notifiée par B. REBUFFET dans un ouvrage de 1970 consacré aux édifices religieux). Cette bâtisse est nommée "l"'Abbaye".De son nom, Sainte-Juste n'a avait pas qu'un clos ; même le chemin qui mène à Levigny a changé de dénomination. Désormais il se nomme "chemin de Salornay".
*'''Chapelle d'Arlempdes''' toujours présente dans le parc du Prado (anciennement parc du château d'Arlempdes). Autrefois cette Cette chapelle domestique appartenait à la famille d'Arlempdes. Le culte n'était célébré qu'à intervalle irrégulier Des cérémonies religieuses ont été faites pour les personnes inhumées ( LAVAL d'ARLEMPDES, BONNETAIN DE LESSART, CHANEL) dans les caveaux de la crypte, à laquelle on accède par un escalier extérieur.La petite chapelle regorge de petits "trésors" : boiseries, chapiteaux, vitraux... A la création du Prado, ce furent les prêtes qui dirent la messe. Puis, pendant la guerre, en 1943, de nouveaux bâtiments ont été construits dont une chapelle plus moderne qui remplaça pour les messes dites, et durant quelques temps celle d'Arlempdes. La petite En collaboration le Prado, l'ASPH entreprant l'entretien intérieur de la crypte et de la chapelle regorge de petits "trésors" : boiseries, chapiteaux, vitraux..Le projet est lancé en 2021.
*'''Chapelle du Prado'''Comme dit précédemment, cette chapelle ne fut pas utilisée très longtemps et servie de hangar de stockage. Et ceci Ceci est fort dommage , car on peut y admirer une fresque murale dont le père REBUFFET cita : "En ouvrant la porte de la chapelle, on est saisi d’admiration devant une fresque murale qui domine l’autel. “Symbolisant des scènes de l’évangile, elle est l’oeuvre d’un couple de jeunes artistes, plus ou moins camouflés eux aussi, P. PAULIN et R. BESSON.”
Retrouvez l'histoire de ces chapelles, des photographies dans l'ouvrage "les 3 chapelles de Salornay" édité par l'ASPH. Le fils des auteurs de la fresque, Michel PAULIN transmet par le biais de ce livret des écrits résumant l'admirable travail de ses parents peintres décorateurs : "En 1944, ce fut le décor de la chapelle de l'Orphelinat Agricole du Prado à Salornay (71). Ce travail - le seul qu'ils aient réalisé à la fresque - les autres étant de la peinture à l'huile ou à la colle - mettaient en scène les thèmes de la rédemption des pauvres, de la crucification et de l'eucharistie..." L'enfant agenouillé qui y est représenté n'était autre qu'un des orphelins de l'époque...
== '''Le Campanile du Prado et sa croix de Lorraine''' (Salornay) ==
* LE CAMPANILE ET LA CROIX DE LORRAINESur la façade sud du campaniledu Prado, à hauteur des yeux, on peut distinguer dans l’appareillage des pierres du mur, le dessin d’une croix de Lorraine.
Pied de nez risqué, mais plein de panache, en cette année 1943 aux officiers allemands qui stationnaient au château de Salornay (propriété de la famille GUERIN).
== Loisirs et culture ==
[http://www.hurigny.fr/spip.php?article152/ Les associations]
Football Club, Tennis Club, Rencontres et Loisirs, Seniors Evasion, Socièté de Chasse, Anciens Combattants et Victimes de Guerre, Boule Lyonnaise, Comité de Fleurissement,
Sou des Ecoles, Sauvegarde du Patrimoine d'Hurigny, Restauration Scolaire, Allez on Joue.
[http://www.hurigny.fr/spip.php?rubrique95/ Les circuits pédestres ]Les sentiers pédestres ont été créés par l'Association de Sauvegarde du Patrimoine. Un panneau de départ
est placé sur le parking des écoles. Deux circuits vous sont proposés afin de vous faire découvrir la commune en traversant les vignobles et la campagne gueulatie. Les dépliants
sont disponibles à l'accueil de la mairie.
== '''Les Croix''' == Elles ont toutes été érigées au cours du XIXè siècle.*'''Croix du Bourg nommée autrefois croix du Moulin''' (moulin qui se situait dans le dessus de la rue, aujourd'hui totalement disparu et peu de guelati se souvienne de sa présence, quelques ruines à une époque voilà tout) est la plus ancienne du village datant de 1806.*'''Croix de l'Eglise''' est placée à côté du monument aux morts.*'''Croix du cimetière''' dédiée à la comtesse de Vogüé dont la tombe a été déplacée lors du transfert du cimetière. Elle est située au bout de l'allée centrale du cimetière.*'''Croix de la Fontaine''' (doit son nom au quartier où elle est érigée) date de 1867. Son socle a été refait à l'identique en 2010.*'''Croix d'Abdon aussi nommée Croix des Poccards''' dont il ne reste qu'un morceau de socle près du chemin de la Palisse au quartier des Poccards.*'''Croix d'Appeugny''' autrefois appelée Croix de la Palisse; visible près du stade.*'''Croix de Franclieu''' située à la limite de Charnay-les Mâcon sur le chemin du même nom.*'''Croix de Chazoux''' située à l'entrée du village côté Chazoux comme son nom l'indique peu après le petit pont de l'Abîme*'''Croix des Miolands''' Elle domine l'entrée d'un pré sur le chemin que le tacot empruntait autrefois. Elle est sur une des terres de la propriété du château de Chazoux. A été renovée il ya quelques années par M Pierre BENOIT.*'''Croix de la Pourcette ou Pourchette''', nom employé il y quelques décennies. Située à Salornay, devant la bâtisse qui se nomme aussi Pourcette et qui dépendait du château d'Arlempdes, comme le chemin, le puits, tous sous la même appelation. Derrière, une niche de pierres rouges qui renfermait autrefois une statuette.*'''Croix de Salornay''' visible à l'entrée et contre le mur de pierre derrière du château féodal de Salornay.<ref>Source: Association de sauvegarde du patrimoine d'Hurigny</ref>  == '''Notre Dame de la Salette''' == Située sur le domaine de Chazoux, proprièté du baron Guy DE LA CHAPELLE, puis désormais à Christophe DE LA CHAPELLE ; la statue de Notre Dame de la Salette est bien connue des habitants d'Hurigny.Erigée à la fin du XIXe siècle par M Alphonse MICHOUD, grand-oncle du propriètaire actuel, cette statue représente la Vierge apparaissant à deux jeunes bergers, évènement qui aurait eut lieu en 1846 à la Salette-Fallavaux dans l'Isère. Jusqu'en 1966, le jour du 15 août, un pélerinage à la statue regroupait un grand nombre des habitants d'Hurigny et se clôturait par un feu d'artifice offert par la famille MICHOUD.De nos jours, par sa situation et par la vue que l'on peut avoir sur la Grisière, Mâcon et la plaine de la Saône, la statue de la Salette est devenue un lieu apprécié pour ceux qui fréquentent le chemin communal à pied, à cheval ou à V.T.T. La statue n'en reste pas moins un lieu privé que tout à chacun se doit de respecter en la préservant de tous dépôts, déteriorations ou autres. <ref>Source : Hurigny info mars 1997-ASPH </ref> == '''Patronymes Gueulatis à retenir''' ==  '''Emile VIOLET''' (écrivain) [2] né le 3 avril 1877 à Clessé et mort le 26 mars 1965 à Mâcon écrivain et folkloriste du Mâconnais. A écrit sur les us et coutumes du mâconnais ainsi que sur le patois du dit lieu. Il fut l'un des membres les plus éminents de la Société des amis des arts et des sciences de Tournus (SAAST), société savante fondée en 1877 « pour favoriser le développement du musée et de la bibliothèque, et d'aider au progrès de l'instruction » et qui fut l’origine du musée Greuze et de la bibliothèque municipale de Tournus. Emile VIOLET a été domicilié au hameau de Chazoux à Hurigny. Une rue d'Hurigny porte son nom.  '''Lucien BEGULE''' (peintre verrier) [3] né le 10 mai 1848 à Saint-Genis-Laval et mort le 1er février 1935 à Lyon. Peintre-verrier et archéologue. Artiste pluridisciplinaire. Il exerce tour à tour les métiers de maître-verrier, écrivain, historien, collectionneur, photographe et archéologue. En tant que peintre sur verre, il est particulièrement actif autour des années 1880 et 1890 L'apogée de ses ateliers se situe dans les années 1890. L’œuvre religieuse constitue la plus grande part de la production des ateliers. On dénombre quatre-vingt-douze édifices religieux ayant bénéficié des vitraux Bégule soit une production de 400 vitraux dont ceux de l'église d'Hurigny.  '''Vicomte Godefroy DE LEUSSE''' (archéologue et bienfaiteur public) né le 31 mai 1873 à Anthon (Isère) et décédé le 5 novembre 1944 à Hurigny, village où il demeura tout au long de ses années. Hurigny lui doit son monument aux morts. Godefroy voua son temps aux plus démunis, multiplia les bonnes actions. Sa plus grande caractéristique reste sans contestation, son humilité absolue. Son ami et confident Jean MICHOUD, châtelain du château de Chazoux, lui consacra un ouvrage "Godefroy DE LEUSSE, archéologue et bienfaiteur public" où il décrit les multiples actions et dévouements entreprises tout au long de sa vie. Godefroy était membre : Académie des sciences, arts et belles-lettres de Mâcon : secrétaire en 1922, Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon : membre correspondant en 1923-1944, Société française d'archéologie, Société historique, archéologique et littéraire de Lyon : membre de 1906 à 1921, membre correspondant de 1941 à 1944, Société nationale des antiquaires de France.  '''Antoine Auguste VILLARD''' né le 17 avril 1867 à Mâcon et mort le 4 février 1934 à Paris. Artiste peintre, naturaliste et impressionniste français.Les premières toiles de Villard étaient fortement influencées par l'Impressionnisme mais elles ont rapidement laissé la place à des œuvres plus réalistes et parfois expressionnistes. Sa maison est située à Hurigny reconnaissable par sa galerie mâconnaise. On voit aussi les fenêtres vitrées de son atelier qui laisse libre court sur quelques-unes de ses inspirations que l'on retrouve en tableaux (Neige à Hurigny, Paysage mâconnais (Hurigny – Chazoux)...) ou en photo. Sa maison a été classée monument historique en 2020.   '''Claude Honoré HUGREL''' peintre paysagiste mâconnais, il a exploré, pour nourrir ses peintures, les bords de Saône et les collines du Mâconnais. S'ajoute quelques peintures d'autres sujets pas moins touchant comme celui de l'intérieur de l'église d'Hurigny. A partir de 1928, Honoré HUGREL eut un rôle primordial en tant que conservateur des beaux-arts du musée de Mâcon. Il orienta son travail sur l’enrichissement des collections, leur restauration et leur sauvegarde dans l’optique d’un réaménagement des salles alors en déshérence dans une aile de l’Hôtel de Ville.  LAMARTINE D'HURIGNY[4] La forme primitive du patronyme est ALAMARTINE, nom signé sous cette orthographe jusqu'en 1680. Puis à compter du XVIè siècle il sera noté DELAMARTINE. La particule DE disparaitra après 1789. Les armes LAMARTINE sont "de deux gueules à fasces d'or chargé d'un trèfle de même. LAMARTINE est une famille noble et catholique du Mâconnais. Estienne ALAMARTINE, bourgeois de Cluny qualifié de juge mage et capitaine de l'abbaye, puis avocat (en 1604), conseiller au baillage (en 1609) et secrétaire du roi (en 1651) fit acquérir la noblesse à ses descendants en mourant pendant ses fonctions en 1656. Son fils Philippe Etienne est l'auteur de la branche aînée des LAMARTINE dite d'Hurigny tandis que le cadet Jean-Baptiste sera l'auteur de la branche LAMARTINE de Montceau. Philippe Etienne succédera à son père en 1656 comme conseiller et secrétaire du roi. Son petit-fils Jean-Baptiste né en 1703 sera le dernier seigneur d'Hurigny. Celui-ci avait épousé en 1735, sa cousine Anne DE LAMARTINE de Montceau dont il eut un fils Louis François, décédé jeune et cinq filles dont Jeanne Sybille Philippine née en 1736. Elle recevra en dot lors de son mariage avec Pierre DE MONTHEROT la seigneurie d'Hurigny (dépendances et château) - Quand à notre poète Alphonse DE LAMARTINE, Hurigny fut pour lui un lieu de détente, de refuge. Non seulement au château de la commune proprement dit, celui de sa famille, mais aussi au domaine de CHANTELOUP où un banc de pierre est resté là où il aimait profiter de cette douce campagne. Juste un banc de pierre aux multpiples souvenirs.    == RESISTANTS GUEULATIS TUES A L'ENNEMI == 
'''PATRONYMES GUEULATIS à retenirPaul GARON''' :(résistant) né à Chalmoux (71) le 18 décembre 1917 et exécuté par les allemands le 12 juin 1944 au Moulin Givry près de Dagneux (01). 12 de ses camarades ont subi le même sort. Engagé au 5è dragon à Mâcon (brigadier). Agent du réseau Marco Polo où il est surnommé "Gaspard". Habitant Hurigny, il est chargé d'organiser le secteur. Puis il devient chef dans un groupe franc FTP à Lyon. Médaillé de la Croix de Guerre avec étoile de bronze en 1940.
'''Emile VIOLETGabriel ROUX''' (écrivainrésistant) [https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89mile_Violet]le 3 avril 1877 à Clessé et mort Mâcon (71) le 26 mars 1965 à Mâcon écrivain juillet 1923 et folkloriste du Mâconnais. A écrit sur les us et coutumes du mâconnais ainsi que sur décédé le patois du dit lieu.Il fut l'un des membres les plus éminents de 15 décembre 1944 à la Société des amis des arts et des sciences Gare Nord de Tournus Mulhouse (SAAST68), société savante fondée en 1877 « pour favoriser le développement du muséeet de pendant la bibliothèque, et guerre d'aider au progrès Alsace. Engagé dans le 2è bataillon de l'instruction » Chasseurs à pied. Puis dans la résistance en 1944 et qui fut l’origine du musée Greuze et de la bibliothèque municipale de Tournusenfin dans les F.F.I* .Emile VIOLET Inhumé à Mulhouse, son corps a été domicilié rapatrié dans les années 1950 au hameau de Chazoux à tombeau familial situé au cimetière d'Hurigny.Une rue d(*F.F.I : Forces Françaises de l'Hurigny porte son Intérieur, nomdonné en 1944 par le comité français de libération nationale à l'ensemble des formations militaires des mouvements de résistance).
'''Joseph CHARVET''' (résistant) surnommé "Jojo", camarade de guerre d'Henri GARNIER. Son nom est inscrit sur le monument aux morts de St-Jean-d'Ardières (69). Il repose au cimetière d'Hurigny auprès de ses parents.
'''Lucien BEGULEHenri GARNIER''' (peintre verrierrésistant) [https://frentre au maquis en 1943.wikipedia.org/wiki/Lucien_B%C3%A9gule]né le 10 mai 1848 à Saint-Genis-Laval et mort le 1er février 19351 à Lyon. Peintre-verrier et archéologue. Artiste pluridisciplinaire. Il exerce tour à tour les métiers Le 20 juin 1944, en compagnie de maître-verrier, écrivain, historien, collectionneur, photographe et archéologue. En tant que peintre sur verretrois camarades, il est particulièrement actif autour des années 1880 et 1890 Lsera fusillé par les allemands ayant été dénoncé alors qu'apogée de ses ateliers se situe ils étaient cachés dans les années 1890. L’œuvre religieuse constitue la plus grande part une ferme de la production des ateliers. On dénombre quatreSt-vingtJean-douze édifices religieux ayant bénéficiédes vitraux Bégule soit une production de 400 vitraux dont ceux de l'église d'HurignyArdières (69).
'''Vicomte Godefroy DE LEUSSE''' né le 31 mai 1873 à Anthon (Isère) et décédé le 5 novembre 1944 à Hurigny, village où il demeura tout au long == Plaques de ses années.Hurigny lui doit son monument aux morts.Godefroy voua son temps aux plus démunis, multiplia les bonnes actions. Sa plus grande caractéristique reste sans contestation, son humilité absolue. Son ami et confident Jean MICHOUD, châtelaindu château de Chazoux, lui consacra un ouvrage "Godefroy DE LEUSSE, archéologue et bienfaiteur public" où il décrit les multiples actions et dévouements entreprises tout au long de sa vie.Godefroy était membre : Académie des sciences, arts et belles-lettres de Mâcon : secrétaire en 1922,Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon : membre correspondant en 1923-1944, Société française d'archéologie,Société historique, archéologique et littéraire de Lyon : membre de 1906 à 1921,membre correspondant de 1941 à 1944,Société nationale des antiquaires de Francerue ==
Afin d'honorer et de conserver le souvenir de ses quatre gueulatis, le conseil municipal d''Hurigny a décidé de donner leurs noms à quatre rues du village. Paul GARON, Gabriel ROUX, Joseph CHARVET et Henri GARNIER.<ref>Source: Association de sauvegarde du patrimoine d''' (résistant)Hurigny</ref>
'''Gabriel ROUX''' (résistant)== Blasons ==
'''Joseph CHARVET''' (résistant)
Nous retrouvons plusieurs blasons sur la commune, dispersés ça et là. Gravé sur une cheminée, au dessus d'une fenêtre ou d'un porche, sur un écrit...Leur origine n'Joseph GARNIERest pas toujours connue malgré les recherches faites à cet égard. Mais nous pouvons noter avec certitude que les familles D'ESCRIVIEUX, SEYVERT (SEVERT), l'ESTOUF DE PRADINES, ALAMRTINE (LAMARTINE), DE MONTHEROT DE MONTFERRAND, DE LEUSSE/TURIN, DE BOISSIEU/MICHOUD, DE LA CHAPELLE, DE LA FORET DE DIVONNE, DE VOGUE, LA FAY, DE LAVAL, D' ARLEMPDES, DE SALORNAY, BOTTON (résistantBOTON), BARTHELOT D'OZENAY, CHESNARD DE SALORNAY, DE LA BLETONNIERE, REGNAULT DE PARCIEUX, DE MORANGIES SAINT ALBAN, GUERIN DE NORMANDIE, DE MAURES DE MALARTIC, DE MALARTIC, DE MONTRICOUX DE MALARTIC, DAUPHIN/D'ESCRIVIEUX, sont repertoriées. <ref>Source: Association de sauvegarde du patrimoine d'Hurigny</ref>
== Loisirs et culture ==
[http://www.hurigny.fr/spip.php?article152/ Les associations]
FOOTBALL CLUB, TENNIS CLUB, RENCONTRES ET LOISIRS, SENIORS EVASION, SOCIETE DE CHASSE, ANCIENS COMBATTANTS et VICTIMES DE GUERRE, BOULE LYONNAISE, COMITE DE FLEURISSEMENT,
SOU DES ECOLES, RESTAURANT SCOLAIRE, ALLEZ ON JOUE, ASSOCIATION DE SAUVEGARDE DU PATRIMOINE D'HURIGNY (auteur de ces écrits)
'''Antoine Auguste VILLARD''' né le 17 avril 1867 à Mâcon et mort le 4 février 1934 à Paris. Artiste peintre, naturaliste et impressionniste français.Les premières toiles de Villard étaient
fortement influencées par l'Impressionnisme mais elles ont rapidement laissé la place à des œuvres plus réalistes et parfois expressionnistes.
Sa maison est située à Hurigny reconnaissable par sa galerie mâconnaise. On voit aussi les fenêtres vitrées de son atelier qui laisse libre court sur quelques-unes de ses inspirations que l'on
retrouve en tableaux (Neige à Hurigny, Paysage mâconnais (Hurigny – Chazoux)...) ou en photo. Sa maison a été classée monument historique en 2020.
'''Claude Honoré HUGREL''' peintre paysagiste mâconnais, il a exploré, pour nourrir ses peintures, les bords de Saône et les collines du Mâconnais. S'ajoute quelques peintures d'autres sujetspas moins touchant comme celui de l'intérieur de l'église d'Hurigny.A partir de 1928, Honoré HUGREL eut un rôle primordial en tant que conservateur des beaux-arts du musée de Mâcon. Il orienta son travail sur l’enrichissement des collections, leur restaurationet leur sauvegarde dans l’optique d’un réaménagement des salles alors en déshérence dans une aile de l’Hôtel de Ville.---
== Economie ==
Densité : 216 hab/km²
* LES SEPULTURESPlusieurs sépultutres ont été découvertes au fil du temps sur nos terres gueulaties.1831 : sept tombeaux sur le lieu dit "La Combe St-Just" à proximité du Prado à Salornay.1875 : M LETIENNE fait la découverte d'une nécropole : 150 tombes formées de laves brutes ; certaines contenaient jusqu'à trois corps de taille différente (souvent homme, femme, enfant)1894 : Plusieurs squelettes mis à jour au lieu dit "Le Clos" quartier des Gandelins.1927 : découverte de sépultures en couloirs de pierres brutes renfermant des squelettes de très grandes tailles.1959 : deux sépultures découvertes sous l'emplacement de la chapelle Ste-Juste à Salornay.1964 : deux tombes au hameau des Souchons (surement très anciennes une agrafe de l'an 700 a été trouvée)1975 : deux sépultures (un enfant et un jeune adulte)
* LES CARRIERES D'HURIGNY
'''Hurigny comptait plusieurs carrières'''. Il y avait celle d''''Appeugny''' relevée dans un texte du conseil municipal de la commune en 1878 : "inexploitée depuis longtemps, la carrière trouve un nouvel exploitant, le Sieur CASALETTO, carrier à Saint-Sorlin."
'''Celle de la Grisière''' aussi notifiée sur Flacé en 1879 par Adrien ARCELLIN : "les carrières de flacéFlacé, célèbres pour les pierres de marbre, dite granité de flacéFlacé"
A ARCELLIN parle aussi des '''carrières de Salornay Est'''. On y voit encore quelque materiel enfoui sous dame nature. Ces carrières étaient exploitées par le Prado dont les matières extraites servaient à la construction de celui-ci et des aménagements. Les jeunes chargaient et tiraient les chariots.
La Grisière dont les argiles et le sable refractaire dominent. De nombreux silex et quelques outils d'extraction ont été retrouvés en ce lieu.
* LA SENETRIERE, lieu historique d'HurignyLa Sénétrière est un lieu de découverte (silex)D'après les écrits d'A. GUILLEN (historien local) "il semblerait que les premiers hommes soient passés par la Sénétrière. De 10 000 à 30 000 ans avant le temps présent, l'homme de Néandertal arriveen Mâconnais et utilise les silex de la Sénétrière...En Mâconnais on a pu déterminer deux grands axes de déplacement des individus à l'époque des Homos Sapiens :- le premier de Solutré à Varennes- le second tracé va en direction des zones d'Hurigny et de Sancé (approvisionnement en silex : bifaces, hache, haches polies...) où des campements ont aussi existé, là au pied de la Sénétrière..."   * LE RUISSEAU DE L'ABIME(l'Abyme)L’Abîme est le seul cours d’eau de la commune ; ce sont les sources et les puits qui ont permis d'installer et d’alimenter la plupart En ancien français, le mot “abîme” s’est appliqué à l’enfer ; sa signification : gouffre naturel, cavité, caverne, explique sans doute cela. Le mot vient du latin abyssus d’où son ancienne orthographe Abyme, cité pour la première fois en 1856. Le ruisseau qui coule à Hurigny prend sa source aux alentours du “Gros Mont” , au lieu-dit “la Foudre” mais n’apparaît à l’air libre qu’au “Point du Jour” (présence d’un lavoir), coupe la “Route de Mâcon” à la “halte de Chazoux”, après avoir traversé un nouveau lavoir, celui dit du hameau de Chazoux. Avant de passer sous l’autoroute, le ruisseau reçoit le renfort d’un affluent venant des “Miolands”, des “Piasses” et des “Grandes Terres”. L’Abyme traversait Hurigny d’ouest d’Ouest en est Est et se jetait dans la Saône vers l’actuelle Maison des Vins à Mâcon.
* LES SENTIERS DU PATRIMOINE
Des sentiers traversent les vignes, les champs, les bois permettant la découverte de notre belle campagne jusqu'aux confins de notre commune qui est plutôt étendue.
Il y a quelques années déjà, l'Association de Sauvegarde du Patrimoine a créée trois sentiers pédestres, balisés selon les règles des randonneurs, faciles d'accès avec vues et panoramas imprenables sur la vallée de la Saône et le Clunisois.
Les sentiers sont décrits sur des dépliants qui vous pouvez vous fournir à l'accueil de la mairie ainsi que sur un panneau central avec plan situé sur le parking des écoles. Vous y trouverez les différents trajets :
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