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Les villes

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06930022 – CD GT 2 Planche 1
Mâcon et le vieux pont de Saint-Laurent
 
===Quelques repères chronologiques===
 
'''- 5.000 av.J.C, le Néolithique :''' sur le plateau de la Baille surplombant la Saône, des hommes du Néolithique s’installent, laissant pour seul vestige des silex taillés. Agriculteurs sédentarisés, ils se sont mis là à l’abri des fortes crues de la rivière.
'''- Vers 2.000 av.JC :''' depuis l’époque néolithique, la vallée de la Saône constitue un axe d’échanges très fréquenté entre le nord et le midi. A la hauteur de Mâcon, un gué permet le passage des voies de communications se dirigeant vers la vallée de la Loire en franchissant, sans difficultés majeures, les Monts du Mâconnais par le col du Bois Clair. 
'''- Epoque gauloise :'''  les Gaulois s’installent à leur tour sur l’actuel plateau de la Baille, à la fin du 1er siècle avant notre ère. Ils fortifient les escarpements naturels en construisant un murus gallicus, mur gaulois en pierre à armature de bois.
'''- Epoque gallo-romaine :''' après la chute d’Alésia, César fait occuper Cabillonum (Chalon) et Matisco (Mâcon), et vient prendre ses quartiers d’hiver à Bibracte. 
'''- 52 av.J.C :''' César place sur l’éperon rocheux un détachement pour surveiller en contrebas la voie Agrippa, artère essentielle pour l’approvisionnement de ses légions. Il qualifie dans ses commentaires Matisco de « petite bourgade aux pauvres cabanes, entourée d’un mur épousant les contours de l’éperon ».
'''- 47 av. JC :''' Auguste rattache la Séquanie à la Belgique ; son gendre Agrippa ouvre plusieurs voies romaines gardées par des stations militaires. Naissance de la Via Agrippa qui traverse Mâcon du nord au sud.
'''- 167-180 ap.JC :''' Marc-Aurèle repousse les Barbares, et fait de Vesontio (Besançon) une colonie romaine. A la fin de son règne, le christianisme s’introduit en Séquanie. Développement de Matisco autour de l’Oppidum, et notamment en bordure de Saône.
'''- Au IIIe siècle :''' la population fortifie à nouveau l’éperon, sans abandonner la ville basse, pour se protéger des envahisseurs germaniques qui empruntent la vallée de la Saône.
'''- 275-276 :''' les Bagaudes, bandes d’esclaves, de miséreux et de déserteurs militaires produites par la brutale invasion des barbares germains, pillent Mâcon.
'''- Au IVe siècle :''' l’effondrement de l’empire romain, rongé par les barbares qui se déclarent au début les « lieutenants » de Rome.
'''- 407 :''' menacée par les Vandales, la Séquanie s’assure l’aide des Burgondes, les plus civilisés des Barbares qui veulent l’envahir. Les Burgondes se répandent dans toute la région située entre Haut-Rhin, Rhône et Saône. Honorius doit leur concéder le territoire occupé. La Burgondie est née.
'''- Vers 451 :''' après la défaite des Huns aux Champs Catalauniques en 451, les Burgondes ne peuvent empêcher Attila de ravager la vallée de la Saône,en descendant vers l’Italie. A son approche, les habitants de Mâcon s’enfuient. Irrité de trouver la ville déserte, Attila n’y laisse que des ruines.
'''- 519 :''' la première cathédrale de Mâcon (commencée au Ve siècle sur l’emplacement d’un monastère), nouveau centre de gravité pour la ville, prend le nom de Saint-Vincent, le Vieux Saint Vincent d’aujourd’hui.
'''- 523 :''' Mâcon est saccagé par les Francs, qui défont Sigismond, roi de Bourgogne
'''- 585 (23 octobre) :''' ouverture de l’un des plus importants conciles tenus à Mâcon, sous la présidence de l’archevêque de Lyon. 70 évêques y assistent. Ce concile prend des décisions relatives à la célébration du dimanche
'''- Vers 730 :''' l’époque mérovingienne, signalée par tant de guerres civiles, se termine par la terrible invasion des Sarrasins. Maîtres de toute l’Espagne et du midi de la Gaule, ils pénètrent jusqu’en Bourgogne ; Mâcon, Chalon, Autun sont saccagées.
'''- 731 :''' L’année voit le pillage se renouveler avec les sarrasins d’Adérame. 
'''- 834 :''' Lothaire brûle Mâcon , car le comte Guérin de Mâcon défendait la cause de Louis le Débonnaire
'''- 880 :''' Mâcon à nouveau brûlée par Louis III et Carloman dans sa guerre contre l’usurpateur Bozon, comte de Provence, puis roi.
'''- Vers 886 :''' Les Normands parviennent, dans la seconde moitié du IXe siècle, jusqu’en Bourgogne, à Autun, Dijon, Auxerre.
'''- Xe siècle :''' les comtes de Mâcon, institués par Charlemagne, prennent leurs distances avec le pouvoir central, et construisent en plusieurs étapes un château sur la partie nord du plateau de la Baille. La cathédrale St Vincent, restaurée au milieu du Xe siècle, est aussitôt ravagée par un incendie, puis reconstruite plus vaste au début du XIe siècle. Peu à peu, la ville s’étend au sud du pont.
'''- 924 ou 937 :''' A l’Est, la menace des Hongrois se précise. Ces Mongols, poussés par une autre horde de même origine, les Petchenègues, ont en effet atteint la Lombardie en 899. Les Hongrois arrivent en 924, et on ne peut les éloigner qu’en leur payant une forte somme d’argent. Leurs raids ne se terminent qu’au milieu du siècle.
'''- 960 :''' destruction de Mâcon par un vaste incendie.
'''- 1077 :''' première mention du pont de Mâcon. Le Pont Saint-Laurent, commencé en 1077, est achevé au XIIe siècle. Il comprend à l’origine un pont-levis fortifié côté Ain, une tour et une chapelle bâties sur les piles, côté Mâcon.
'''- 1122 à 1152 :''' Le châtiment céleste du comte de Mâcon : Pierre le Vénérable, abbé de Cluny de 1122 à 1152, rapporte ce qu’il en coûta à un comte de Mâcon d’avoir violé la propriété du clergé. Ce comte s’était rendu coupable des pires excès, opprimant les ecclésiastiques, pillant les couvents, jetant les chanoines à la porte des églises et les moines à la porte de leurs monastères. Un certain jour, alors qu’il était en son palais entouré de ses gardes, un cavalier inconnu entra. Sans descendre de sa monture, il vint droit au comte et lui ordonna de le suivre. Le comte, enchaîné par une puissance surnaturelle obéit. A la porte, il trouva un cheval qu’il dut monter. Aussitôt, il fut enlevé dans les airs, et on entendit ses hurlements jusqu’à ce qu’il eût disparu. C’est ainsi que le malheureux devint compagnon du démon.
'''- 1140 :''' les Brabançons du comte de Chalon ravagent Mâcon à leur tour.
'''- XIIIe siècle :''' le couvent des Jacobins s’élève à l’emplacement d’une partie du château comtal, au nord du plateau de la Baille.
Josserand de Brancion et d’autres preux chevaliers mettent en déroute l’armée d’Othon de Moravie qui vient assiéger Mâcon.
'''- 1255 :''' fondation du couvent des Cordeliers
'''- milieu du XIVe siècle :''' Au début de la Guerre de Cent ans, la ville se dote d’un rempart jalonné de tours et percé, aux 4 points cardinaux, de portes en fonction desquelles le réseau des rues s’organise.
'''- 1361 :''' une bande de reîtres errants, en liaison avec les « Tard-venus » de Seguin de Badefol, qui tenaient Anse, s’empare de Mâcon et rançonne la ville.
'''- 1362 :''' Arnaud de Cervole, dit l’Archiprêtre (ses premiers revenus venaient d’une cure), à qui le roi a eu la faiblesse de céder la châtellenie de Cuisery, écume les villages de la rive gauche entre Chalon et Mâcon.
'''- 1366 (25 mai) :''' mort de Arnaud de Cervole, dit l’Archiprêtre. En 1364, à Cocherel, il est au service de Du Guesclin contre Charles de Navarre, mais déserte. Sa carrière s’achève le 25 mai 1366 vers Mâcon, poignardé par l’un de ses routiers.
'''- 1436 :''' un formidable ouragan détruit plusieurs maisons dans la ville, dévaste l’église Saint-Pierre et fait de nombreuses victimes.
Les Ecorcheurs paraissent en Bourgogne, sous le commandement de Rodrigue de Villandrando et de plusieurs seigneurs convertis au brigandage.
'''- 1439 :''' la noblesse de la province et les troupes ducales se réunissent pour exterminer les Tard-Venus. On en fait des exécutions si terribles que, longtemps après, les pêcheurs de la Saône et du Doubs ramenaient dans leurs filets des cadavres liés de cordes.
'''- 1471 :''' Louis XI menace Mâcon, possession ducale, et enlève les châteaux forts qui couvrent Mâcon au sud.
'''- Fin XVe et début XVIe siècle :''' essor économique de Mâcon qui bénéficie de sa situation géographique sur les axes terrestres et fluviaux empruntés à l’occasion des guerres d’Italie.
'''- 1535 :''' François 1er accorde aux 2 foires de Mâcon une franchise de tous droits durant 3 jours.
'''- 1562 :''' après avoir été plusieurs semaines aux mains des Protestants, renforcés de troupes genevoises, Mâcon est reprise par surprise par les troupes catholiques du comte de Tavannes. Nommé par le roi comme gouverneur de la ville, Guillaume de Saint-Point fait jeter les Protestant dans la Saône avec une pierre au cou, depuis le pont St Laurent.
'''- 1567 (septembre) :''' retour des Huguenots à Mâcon et exactions. Les églises souffrent beaucoup : St Pierre en partie détruite, cathédrale St Vincent mise à sac, St Etienne hors des murs au nord rayé de la carte, couvents des Jacobins et des Cordeliers également
'''- 1567 (décembre) :''' reprise de Mâcon par les Catholiques du duc de Nevers.
'''- 1572 (août) :''' Philibert de Laguiche, bailli de Mâcon, lui épargne les horreurs de la St Barthélémy en refusant d’obéir aux ordres royaux. Mâcon prend ensuite le parti de la Ligue.
'''- 1590 :''' naissance d’une confrérie de pénitents à l’église Saint-Nizier.
'''- 1601 :''' le traité de Lyon, par lequel le royaume de France annexe la Bresse, enlève à Mâcon le statut de ville frontière.
'''- XVIIe siècle :''' construction de couvents dont certains subsistent encore : Capucins (actuel monastère de la Visitation), Ursulines (Musée), Minimes (Coopérative agricole), Jésuites (ancien lycée Lamartine). Montée de la bourgeoisie, inquiète de l’importante place prise par la communauté religieuse.
'''- 1615 :''' installation des Ursulines
'''- 1620 :''' le grand poète huguenot Agrippa d’Aubigné, poursuivi par le bailli de Charolais, traverse avec ses compagnons la ville et le pont de Mâcon. Il le racontera plus tard dans ses Mémoires.
'''- 1626 :''' installation des Carmélites
'''- 1632 :''' installation des Visitandines
'''- 1658 :''' le coche d’eau de Chalon pour Lyon part 2 fois par semaine, le dimanche et le jeudi ; de Lyon pour Chalon le lundi et le jeudi. Il ne fait escale qu’à Mâcon, et met 2 jours pour effectuer le parcours. 
'''- 1742 :''' 2 services fonctionnent alors sur la Saône : un service de coches, destiné aux marchandises et accessoirement au public, et un service de diligences d’eau, le service usuel, réservé exclusivement aux voyageurs.
'''- 1743 :''' création par la Municipalité d’une compagnie de sapeurs-pompiers, achat de pompes et de seaux.
'''- 1762 (mai) :''' épidémie de fièvre putride sur Mâcon, 400 habitants sont atteints, et une centaine meurt.
'''- 1763 :''' Louis XV autorise « la démolition du rempart bordant la Saône et la création d’un quai où passera la route royale de Paris à Lyon qui se frayait auparavant un passage difficile dans les rues étroites et encombrées ».
'''- 1772 :''' naissance de Joseph Dombey, botaniste qui rapportera du Pérou le cactus et la verveine, et le platine que la Révolution utilisera pour réaliser les étalons de ses nouvelles mesures.
'''- 1790 (21 octobre) :''' naissance à Mâcon d’Alphonse de Lamartine, au 18 de la rue des Ursulines.
'''- 1791 (9 juin) :''' Mâcon devient officiellement le siège de l’administration du département et du district.
'''- 1799 (juin) :''' mort de Roberjot, conventionnel de Mâcon, qui organisa le gouvernement républicain en Hollande ; envoyé par le conseil des Cinq-Cents au congrès de Rastadt, il y fut assassiné par trahison, avec l’autre plénipotentiaire de la France.
'''- 1805 (Avril) :''' visite de l’Empereur accompagné de l’impératrice Joséphine.
'''- 1805 :''' création de l’Académie des Arts, Sciences et Belles Lettres de Mâcon.
'''- 1815 :''' mort du général Duhesme, enfant de Bourgneuf qui se distingua partout, à Nerwinde, à Fleurus, à Marengo ; les Prussiens l’achevèrent lâchement après la bataille de Waterloo, où il avait été couvert de blessures.
'''- Vers 1820 :''' Un mâconnais, François Bourdon, propriétaire d’une usine à vapeur pour la mouture des farines à St Laurent, puis directeur des ateliers de construction Schneider, a l’idée de creuser le lit de la Saône pour vaincre les passages difficiles. Il imagine d’utiliser la vapeur sur 2 bâtiments remorqueurs. Les essais sont concluants et l’on tire depuis Lyon 2 bateaux de vin, seule tentative par suite de l’opposition de la corporation lyonnaise des haleurs de bateaux. 
'''- Après 1820 :''' les bateaux des services réguliers entre Chalon et Lyon, bientôt appelés pompeusement paquebots de la Saône, sont dotés d’un système de fonctionnement à vapeur.
'''- Juin 1827 :''' une jeune girafe femelle (espèce jamais vue), cadeau du pacha d’Egypte au roi Charles X, traverse le Lyonnais et la Bourgogne. Après avoir passé l’hiver à Marseille, elle quitte Lyon par eau le samedi 9 juin, et remonte la Saône, puis reprend sa marche vers Dijon et Paris. Elle gagne le Jardin des Plantes, avant d’être reçue par le roi à Saint-Cloud.
'''- 1830 :''' Lamartine se tourne vers la politique. Après un 1er échec à la députation, il entre à l’Académie Française. Elu député quelques années plus tard, il est longtemps représentant de Mâcon à l’Assemblée.
'''- 1840 :''' la plus importante crue connue, 8,05 m, laisse beaucoup de traces dans les archives communales et départementales. A Mâcon, 2,50 m d’eau envahissent les quais et le centre. Dans la nuit du 3 au 4 novembre, 32 maisons s’écroulent rue de Lyon, et l’on étaye l’hôtel de ville.
'''- 1841 :''' émeute menée par la corporation des portefaix sur les quais.
'''- 1847 (18 juillet) :''' célèbre banquet offert à Lamartine par la ville de Mâcon et son maire, Charles Rolland, pendant la campagne des banquets. Lamartine prononce son fameux discours contre Louis-Philippe, celui de la révolution du mépris
'''- 1849 (1er septembre) :''' mise en circulation du chemin de fer Paris-Chalon, augmentant considérablement le trafic sur la rivière.
'''- 1854 :''' le tronçon du chemin de fer Chalon-Mâcon s’achève, et en 1855 le rail parvient à Lyon.
'''- 1858 :''' seul de tous les bateaux à vapeur, le paquebot Le Parisien N°2 continue son service sur la Saône, et ce jusqu’après la première guerre mondiale.
'''- 1873 :''' création de la Société des Régates Mâconnaises.
'''- 1878 :''' érection de la statue de Lamartine, par Falguière.
'''- 1879-80 :''' record de gel durant l’hiver. Durant près d’un mois, le thermomètre ne cesse de se tenir entre – 15° et –25° et la Saône est recouverte d’une épaisseur de 40 à 45 cm de glace.
'''- 1911 :''' un patineur parcourut les 30 km séparant Mâcon de Tournus, battant à l’époque le record de France.
'''- 1914 (5 août) :''' départ pour la frontière des Vosges du régiment de Mâcon, le 134e d’infanterie.
'''- Années 1920 :''' Le Parisien, l’un des derniers paquebots à circuler, coule dans la Saône.
'''- 1934 :''' Jean Lurkin  publie « La bataille de la Saône, ou le grand serment du Parisien », récit picaresque de l’affrontement sur la Saône des Mâconnais et des Saint-Laurentins, qui aboutit à une version romancée de la fin du vapeur « le Parisien », écrasé contre une pile du pont Saint-Laurent.
'''- 1937 (février) à 1939 :''' Escale à Mâcon des hydravions de la Compagnie Impérial-Airways London. Cette ligne régulière créée en 1936 a un double objectif, les Indes ou l’Afrique. L’escale à Mâcon dure jusqu’à la déclaration de guerre.
'''- Hivers 1939-40 :''' particulièrement rudes, et il est possible de traverser la rivière à pieds secs.
'''- 1940 (16 juin) :''' quelques avions allemands lâchent des bombes sur le quartier de Saint-Clément.
'''- 1940 (19 juin) :''' premiers Allemands à arriver, deux colonnes de chars font leur jonction à Mâcon.
'''- 1942 (11 novembre) :''' réoccupation de Mâcon, jusque là en zone libre.
'''- 1942 :''' création du réseau Marco Polo. L’un de ses agents de Mâcon retrouvera l’un des espions allemands à l’origine de l’anéantissement du maquis de Beaubery.
'''1943 :''' arrestation, déportation et mort en Allemagne d’agents belges du réseau Sabot, créé en 1941. Le réseau Marc-Breton fondé à Charnay-Lès-Mâcon par Jean Buxeuil de Roujoux, recrute également de nombreux agents sur place.
'''- 11 septembre 1944 :''' Dates officielles de la libération (arrêté du 3 octobre 1945), pour les arrondissements de Mâcon et Louhans.
'''– 1955 :''' seconde crue par son importance (6,96 m à Mâcon). Les sauveteurs aidés des associations nautiques installent 6 km de passerelles. Une soixantaine de bateaux sillonnent les bas quartiers pour permettre aux habitants de se déplacer.
'''- Hiver 1955 :''' également particulièrement rude et il est possible de traverser la rivière à sec. 
'''- 1970 :''' crue plus modeste ; circulation difficile, interruption du chauffage urbain au nord et au sud. 804 appartements de la ZUP et 512 de la Percée sud en sont privés.
'''- années 1970 :''' la maison natale de Lamartine est détruite dans le cadre d’une banale affaire d’urbanisation.
'''- 1980 (janvier) :''' naufrage de la péniche de gabarit Freycinet la Renaissance, coulée en travers des piles du pont Saint-Laurent à Mâcon.
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