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'''L’église Saint-Romain''' est une église romane située dans la commune de [[Saint-Symphorien-d'Ancelles]], dans le département de la Saône-et-Loire, en Bourgogne-Franche-Comté. Elle est a probablement été construite à la fin du XIe ou au début du XIIe siècle. Son histoire est méconnue, principalement du fait de son statut d’église prieurale dépendant comme église d’un important prieuré de l’abbaye de Tournus, puis dont la prospérité reposait sur le port du village au bord de simple annexe de Saint-Symphorienla Saône. Son plan est simple : une nef unique, une travée sous clocher flanquée de deux chapelles formant un transept, et une abside. Tous ces éléments sont romans. Le Cependant, le clocher est de plan carré quelconque, vraisemblablement est probablement plus court qu’à l’origine. D’importants travaux sont réalisés au Le XVIIIe siècle, l’église étant à l’époque est une période charnière dans l’histoire du prieuré qui ne s’est jamais remis des ravages des guerres de Religion. L’église est dans un état déplorablede quasi-ruine. D’importants travaux permettent de la rouvrir comme église paroissiale peu de temps avant la Révolution. Ces rénovations Les bâtiments du prieuré, au nord, sont complétées au démolis. Au XIXe siècle, le niveau du sol est surélevé pour empêcher les à cause des fréquentes inondations fréquentes, et le presbytère remplace la maison du prieur dans le prolongement de la nef. En 1918, l’abbé Gelet, curé de la paroisse, et l’abbé Braqui, de Saint-Amour, mettent à jour des peintures du XIIIe siècle sont mises au jour dans les chapelles. Seules les fresques celles de la chapelle nord sont encore visibles, dans ce qui sert aujourd’hui de sacristie. Elles représentent , représentant l’Annonciation et la tête du roi mage Gaspard, sont encore visibles. Elles sont inscrites aux au titre des Monuments Historiques depuis 1971. D’autres fresques modernes sont visibles dans l’abside. L’église est elle-même inscrite depuis 1994. D’autres fresques modernes sont visibles dans l’abside. Les , ses colonnes et chapiteaux romans de l’église, aux motifs végétaux et formes géométriques, ont quant à eux été classés en 1991.