Eglise Sainte-Marie-Madeleine à Donzy-le-National (La Vineuse-sur-Frégande) : Différence entre versions

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=== Historique ===
 
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Le village de Donzy-le-National est mentionné dès la fin du IXe siècle, dans une charte de l’abbaye de Cluny : ''In pago Matisconense, in agro Dunziacense''<ref>Rigault, Jean, ''Dictionnaire topographique du département de la Saône-et-Loire'', 2008.</ref>. Aux XIVe et XVe siècle, la localité est nommée ''Donzy-le-Royal''<ref>Ibidem</ref>, nom qu’elle garde jusqu’à la Révolution. A l’époque médiévale, deux seigneuries se trouvent sur le territoire de la commune : celle de Ciergues et celle des Murgers (traces d’une ancienne maison forte disparue<ref>Voir la fiche du CeCaB (liste à dérouler) : [http://193.52.240.114/gorria/QooQ4D/chateaux.html?tous] </ref>). Vers 1792, le village devient ''Donzy-le-National'', toponyme adopté définitivement à la fin du XIXe siècle. En janvier 2017, quatre communes ([[Donzy-le-National]], [[Vitry-les-Cluny]], [[La Vineuse]], [[Massy]]) fusionnent pour former la commune nouvelle de La Vineuse-sur-Frégande (dont le siège est à La Vineuse). Le nom choisi reprend l’intitulé de la commune la plus peuplée, La Vineuse, complété par une contraction du nom de deux cours d’eau qui traversent ces communes, la Frenille et la Gande<ref>Voir l’article du JSL : [https://www.lejsl.com/edition-macon/2016/07/02/une-nouvelle-commune-la-vineuse-sur-fregande] </ref>.  
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Le village de [[Donzy-le-National]] est mentionné dès la fin du IXe siècle, dans une charte de l’abbaye de Cluny : ''In pago Matisconense, in agro Dunziacense''<ref>Rigault, Jean, ''Dictionnaire topographique du département de la Saône-et-Loire'', 2008.</ref>. Aux XIVe et XVe siècle, la localité est nommée ''Donzy-le-Royal''<ref>Ibidem</ref>, nom qu’elle garde jusqu’à la Révolution. A l’époque médiévale, deux seigneuries se trouvent sur le territoire de la commune : celle de Ciergues et celle des Murgers (traces d’une ancienne maison forte disparue<ref>Voir la fiche du CeCaB (liste à dérouler) : [http://193.52.240.114/gorria/QooQ4D/chateaux.html?tous] </ref>). Vers 1792, le village devient ''Donzy-le-National'', toponyme adopté définitivement à la fin du XIXe siècle. En janvier 2017, quatre communes ([[Donzy-le-National]], [[Vitry-les-Cluny]], [[La Vineuse]], [[Massy]]) fusionnent pour former la commune nouvelle de [[La Vineuse-sur-Frégande]] (dont le siège est à [[La Vineuse]]). Le nom choisi reprend l’intitulé de la commune la plus peuplée, La Vineuse, complété par une contraction du nom de deux cours d’eau qui traversent ces communes, la Frenille et la Gande<ref>Voir l’article du JSL : [https://www.lejsl.com/edition-macon/2016/07/02/une-nouvelle-commune-la-vineuse-sur-fregande] </ref>.  
  
 
Une église est mentionnée à Donzy-le-National dès 909 : ''Actum Donciago villa… ad ecclesiam Sancti-Neceti''<ref>Rigault, charte de Cluny</ref>. L’édifice primitif est donc sous le vocable de Saint-Nizier. L’église actuelle, passée sous le vocable de Sainte-Marie-Madeleine à une date inconnue, tient vraisemblablement son origine d’une reconstruction de la fin du Xe ou du début du XIe siècle. Elle est entièrement romane mais ne conserve de cette époque que sa nef et son grand arc, comme le suggèrent l’épaisseur des murs et l’usage du plein cintre. Dans la première moitié du XIIe siècle, l’édifice est une nouvelle fois en partie reconstruit. C’est à cette occasion que sont édifiés le clocher et sa travée ainsi que l’abside. Cette datation est supportée par le décor abondant de l’abside et du clocher, ainsi que par l’usage de l’arc brisé pour la voûte de la travée. Dès sa construction, l’église de Donzy-le-National est le centre de la paroisse et est à la collation tantôt de l’abbaye Saint-Philibert à Tournus, tantôt à celle du prieuré de Saint-André-le-Désert.  
 
Une église est mentionnée à Donzy-le-National dès 909 : ''Actum Donciago villa… ad ecclesiam Sancti-Neceti''<ref>Rigault, charte de Cluny</ref>. L’édifice primitif est donc sous le vocable de Saint-Nizier. L’église actuelle, passée sous le vocable de Sainte-Marie-Madeleine à une date inconnue, tient vraisemblablement son origine d’une reconstruction de la fin du Xe ou du début du XIe siècle. Elle est entièrement romane mais ne conserve de cette époque que sa nef et son grand arc, comme le suggèrent l’épaisseur des murs et l’usage du plein cintre. Dans la première moitié du XIIe siècle, l’édifice est une nouvelle fois en partie reconstruit. C’est à cette occasion que sont édifiés le clocher et sa travée ainsi que l’abside. Cette datation est supportée par le décor abondant de l’abside et du clocher, ainsi que par l’usage de l’arc brisé pour la voûte de la travée. Dès sa construction, l’église de Donzy-le-National est le centre de la paroisse et est à la collation tantôt de l’abbaye Saint-Philibert à Tournus, tantôt à celle du prieuré de Saint-André-le-Désert.  

Version du 12 mars 2020 à 14:54

L’église Sainte-Marie-Madeleine est située à Donzy-le-National, dans le département de la Saône-et-Loire, en Bourgogne-Franche-Comté. C'est une église paroissiale romane qui était anciennement dédiée à saint Nizier. Elle a un profil roman typique, avec un plan simple composé d’une nef unique, d’une travée sous clocher et d’une abside. On distingue deux phases successives de construction dans son architecture. La première phase date probablement de la fin du Xe siècle. Seule la nef et le grand arc semblent appartenir à cette construction. L’épaisseur des murs et l’usage du plein cintre tendent vers cette conclusion. L’église a ensuite vraisemblablement été reconstruite dans la première moitié du XIIe siècle, si l’on en croit l’association du décor abondant de l’abside et du clocher (chapiteaux sculptés) à l’usage de l’arc brisé pour la voûte de la travée. L’église a visiblement peu été remaniée au fil des siècles, à l’exception des baies qui ont vraisemblablement été élargies. Au XIXe siècle, elle est en assez mauvais état et nécessite donc quelques rénovations, notamment au niveau de la toiture. Elle est désormais régulièrement entretenue. Un petit autel situé à l’entrée du chœur, face aux fidèles, est décoré d’un panneau peint par Michel Bouillot.

Eglise Sainte-Marie-Madeleine (©CEP)
Adresse Au Bourg, 71250 Donzy-le-National
Coordonnées GPS 46°27'14.0"N 4°33'52.5"E
Paroisse de rattachement Paroisse de Cluny Saint Benoît
Protection Monuments Historiques /

Historique

Le village de Donzy-le-National est mentionné dès la fin du IXe siècle, dans une charte de l’abbaye de Cluny : In pago Matisconense, in agro Dunziacense[1]. Aux XIVe et XVe siècle, la localité est nommée Donzy-le-Royal[2], nom qu’elle garde jusqu’à la Révolution. A l’époque médiévale, deux seigneuries se trouvent sur le territoire de la commune : celle de Ciergues et celle des Murgers (traces d’une ancienne maison forte disparue[3]). Vers 1792, le village devient Donzy-le-National, toponyme adopté définitivement à la fin du XIXe siècle. En janvier 2017, quatre communes (Donzy-le-National, Vitry-les-Cluny, La Vineuse, Massy) fusionnent pour former la commune nouvelle de La Vineuse-sur-Frégande (dont le siège est à La Vineuse). Le nom choisi reprend l’intitulé de la commune la plus peuplée, La Vineuse, complété par une contraction du nom de deux cours d’eau qui traversent ces communes, la Frenille et la Gande[4].

Une église est mentionnée à Donzy-le-National dès 909 : Actum Donciago villa… ad ecclesiam Sancti-Neceti[5]. L’édifice primitif est donc sous le vocable de Saint-Nizier. L’église actuelle, passée sous le vocable de Sainte-Marie-Madeleine à une date inconnue, tient vraisemblablement son origine d’une reconstruction de la fin du Xe ou du début du XIe siècle. Elle est entièrement romane mais ne conserve de cette époque que sa nef et son grand arc, comme le suggèrent l’épaisseur des murs et l’usage du plein cintre. Dans la première moitié du XIIe siècle, l’édifice est une nouvelle fois en partie reconstruit. C’est à cette occasion que sont édifiés le clocher et sa travée ainsi que l’abside. Cette datation est supportée par le décor abondant de l’abside et du clocher, ainsi que par l’usage de l’arc brisé pour la voûte de la travée. Dès sa construction, l’église de Donzy-le-National est le centre de la paroisse et est à la collation tantôt de l’abbaye Saint-Philibert à Tournus, tantôt à celle du prieuré de Saint-André-le-Désert.

Dans les siècles qui suivent sa construction, l’édifice est peu remanié. La pyramide du clocher vraisemblablement ajoutée vers le XVIe ou XVIIe siècle. Un porche, aujourd’hui disparu, pourrait avoir été construit à cette époque-là. A l’époque moderne, les baies de la nef et celles de l’abside sont également élargies, prenant l’apparence qu’elles ont aujourd’hui. Au XIXe siècle, l’édifice est restauré plusieurs fois[6] sans pour autant subir de modification majeure. En 1827, l’entrepreneur Jacquelot aîné rédige un devis élevé à 794.79 francs pour des réparations urgentes à faire sur l’église et la clôture du cimetière. En 1830, le maître-autel est construit, pour 200 francs, après délibération municipale en 1827. En 1841, une cloche de 539 kilos est achetée au fondeur Baudouin, pour 2156 francs. En 1845 des travaux dont on ne connaît pas le détail sont exécutés par Claude Panay, maître-charpentier. Leur charge s’élève à 136.49 francs.

En 1853, une délibération municipale fait état de rénovations urgentes à faire sur la toiture de l’église et du presbytère, puisque l’eau y pénètre et détériore les plafonds. L’année suivante, trois chênes sont abattus dans la forêt communale pour faire ces réparations. En 1872, le porche qui se trouvait jusque-là à l’entrée occidentale est démoli sur l’initiative du curé de l’époque Mr Lacroix, car il menaçait de s’effondrer. Entre 1870 et 1874, le cimetière qui entourait jusqu’alors l’église est déplacé au lieu-dit l’Epinet, sur un terrain communal. La clôture du terrain et l’érection d’une croix sont finalisées en 1879 par Michel Lapierre, sur des plans de l’architecte Monnier, pour 2793.20 francs. Le déblaiement de l’ancien cimetière s’étale jusqu’en 1889. En 1899, l’horloge est installée par Joanny Ducôté, horloger-mécanicien à Cluny, pour 1300 francs, financés par souscription publique. L’église a été régulièrement restaurée tout au long du XXe siècle. Elle fait depuis l’objet d’un soin constant de la part de la municipalité et des habitants du village.

Anecdote :

« En 1775, un loup enragé mord une douzaine de personnes dans différents hameaux de la paroisse. Quelques-unes sont défigurées et toutes périront de la rage en dépit des soins prodigués par un médecin, le docteur Blais, qui avait réuni les malades dans une maison de Cluny transformée en hôpital.[7]»

Description architecturale

GLOSSAIRE : Bourgogne Romane

L’église de Donzy-le-National suit un plan typique des petites églises romanes rurales de la région : nef unique rectangulaire, travée sous clocher, et abside à l’est. Une sacristie moderne a été ajoutée contre le nord de la travée. Le terrain où est construit l’église accuse une légère pente, rattrapée par la construction.

Plan de l'église de Donzy-le-National ©Alain Guerreau

La façade de l’édifice est très modeste, simplement ouverte d’une petite porte précédée de marches. Cette porte a un linteau droit soutenu par des corbeaux aux angles. On distingue au-dessus un arc en plein cintre désormais masqué. Au pignon, une baie très étroite éclaire les combles. Le pignon, sensiblement plus haut que la nef, est surmonté à sa pointe d’une petite croix. La nef, longue de trois travées, est percée de trois larges baies plein cintre par gouttereau. Au sud, une porte latérale permet d’accéder à la nef, tandis que l’accès au clocher est ménagé en hauteur du gouttereau nord. La travée sous clocher est épaulée par de gros contreforts aux angles, ceux à l’est formant un pignon plaqué entre la base du clocher et l’abside. La travée est éclairée par deux petites baies, dont celle au nord est masquée par la sacristie moderne.

Le clocher s’élance au-dessus de cette travée. Il ne comporte qu’un étage de baies géminées (une par face), avec retombée médiane sur paire de colonnettes aux chapiteaux à volutes arrondies. Des cordons de pierre encadrent cet étage de baies. Le clocher est coiffé d’une haute pyramide en pierre à quatre pans, dans laquelle sont percées de petites lucarnes. L’abside complète l’édifice à l’est. Semi-circulaire, elle est percée de trois baies : celle au centre est en plein cintre, celles sur les côtés ont un arc allongé. Ces baies sont encadrées par des colonnes-contreforts avec chapiteaux sculptés, qui sont prolongées par des pilastres pour rejoindre la corniche à modillons de l’abside. Au sud de l’abside, une masse circulaire plaquée contre la travée sous clocher vient renforcer la structure. Ce massif, les pignons, les contreforts et les mini-croisillons de la travée sont couverts de laves. L’abside et la nef sont couvertes de tuiles.

A l’intérieur, la petite nef est entièrement dallée. Son plafond est arrondi sur les bords, où il est délimité par une corniche moulurée. Le grand arc qui ouvre la travée sous clocher à l’est est en plein cintre et repose sur des impostes. Cette travée est surélevée et voûtée d’un berceau brisé. Les angles et les arcades de la travée sont laissés en pierre apparente. A l’est, l’abside s’ouvre par un arc brisé et est couverte d’un cul-de-four de même profil. La base de l’abside est ceinte de stalles de bois, surmontées par un décor d’arcatures sur colonnettes aux chapiteaux et aux bases sculptés, qui entoure les baies.

Inventaire décor et mobilier[8]

  • Baies géminées du clocher, avec chapiteaux à volutes arrondies et impostes marquées
  • Colonnes-contreforts de l’abside, avec chapiteaux sculptés, prolongées par des pilastres
  • Arcatures sur colonnettes à chapiteaux et bases sculptés de (abside)
  • Maître-autel (1830) :
« [Il est] orné sur le devant de l’Agneau mystique couché sur le Livre aux 7 sceaux, thème iconographique chrétien issu du Livre de l'Apocalypse de saint Jean. […] Sur le gradin de l'autel, de chaque côté du tabernacle, les trois lettres IHS (Iesu Hominum Salvator - Jésus Sauveur des Hommes). La porte du tabernacle montre le Christ présentant l'hostie à l'adoration, comme le fait le prêtre lors de la célébration de la messe.[9]» 
  • Autel moderne, face à la nef : devant de l’autel peint par Michel Bouillot. On y lit : « Je suis la Résurrection, la Vie ».
  • Autels latéraux, reposant sur deux colonnes :

A gauche, dédié à sainte Marie-Madeleine

A droite, dédié à la Vierge

  • Statuaire :

Vierge à l’Enfant (droite du grand arc)

Sainte Marie-Madeleine (gauche du grand arc)

Le Sacré-Cœur (fond de la nef)

Thérèse de Lisieux (fond de la nef)

Bernadette Soubirous (maître-autel)

  • Plaque commémorative des soldats morts au combat
  • Bénitiers encastrés
  • Vitraux en grisaille (abside)
  • Cloche de 1841
  • Croix (à l’extérieur, à côté de l’abside)

Rénovations / Etat

  • Rénovations :

XIXe :

1827 : réparations faites à l’église et à la clôture du cimetière

1830 : construction du maître-autel

1841 : achat d’une cloche

1845 : travaux sur la charpente

1853 : rénovation de la toiture de l’église et du presbytère

1872 : démolition du porche

1870-1874 : déplacement du cimetière

1899 : installation de l’horloge

XXe :

Travaux d’entretien

XXIe :

Années 2000 : restauration intérieure de l’édifice

Travaux d’entretien

  • Etat :

L’église est en bon état général.

  • Classement :

/

Actualités

Pour suivre l’actualité de l’édifice, contacter directement la mairie (La Vineuse-sur-Frégande).

Visite

L’église est d’ordinaire ouverte pendant la saison estivale. Pour prévoir une visite, contacter directement la mairie.

L’accès à l’édifice semble compliqué pour les personnes à mobilité réduite (terrain en pente, marches aux deux entrées).

Association engagée

/

Iconographie ancienne et récente

Collection privée de Monsieur Luc Denis
Collection privée
Collection privée
Collection privée de Monsieur Luc Denis


Crédit Photos: CEP

Plans cadastraux

Bibliographie

  • GUERREAU, Alain, « Vingt et une petites églises romanes du Mâconnais : irrégularités et métrologie. », In : L'innovation technique au Moyen Âge, Actes du VIe Congrès international d'Archéologie Médiévale (1-5 Octobre 1996, Dijon - Mont Beuvray - Chenôve - Le Creusot - Montbard) Caen : Société d'Archéologie Médiévale, 1998. pp. 186-210.
  • RIGAULT, Jean, Dictionnaire topographique du département de la Saône-et-Loire, 2008.
  • VIREY, Jean, Les églises romanes de l’ancien diocèse de Mâcon, Mâcon, Protat, 1935, 474p.

Sources

  • Oursel, Anne-Marie et Raymond, Fiche d’inventaire départemental, 1970 :

Archives départementales

  • Notes et plan d’Alain Guerreau
  • Fiche édifice de la Pastorale du Tourisme 71 :

Donzy-le-National

  • Fiche édifice de la Bourgogne Romane :

Donzy-le-National

  • Fiche édifice de la Bourgogne Médiévale :

Donzy-le-National

Propriétaire / Contact

Commune de Donzy-le-National

03 85 59 62 35

mairie.lavineuse.fregande@orange.fr

Patrimoine local et/ou folklore

Eglise entièrement romane dont la construction pourrait remonter au Xe siècle.

Le chœur est recouvert de peintures du XVIe siècle.

L'église est classée Monument Historique depuis 1991.

Eglise romane construite au XIIe siècle, puis remaniée par la suite.

Elle abrite un retable en bois doré du XVIIIe siècle, protégé au titre des Monuments Historiques depuis 1980.

Eglise romane construite aux Xe et XIIe siècles, puis remaniée par la suite.

Le clocher de l’église est inscrit au titre des Monuments Historiques depuis 1927.

Notes et références

  1. Rigault, Jean, Dictionnaire topographique du département de la Saône-et-Loire, 2008.
  2. Ibidem
  3. Voir la fiche du CeCaB (liste à dérouler) : [1]
  4. Voir l’article du JSL : [2]
  5. Rigault, charte de Cluny
  6. Oursel, Anne-Marie et Raymond, Fiche d’inventaire départemental.
  7. Wikipedia – Donzy-le-National
  8. En partie réalisé grâce à la fiche de la pastorale du tourisme 71
  9. Pastorale du tourisme