Eglise Saint-Jacques-le-Majeur à Milly-Lamartine : Différence entre versions

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Version du 25 novembre 2019 à 12:43

L’église Saint-Jacques-le-Majeur, anciennement dédiée à saint Christophe, est une église paroissiale romane située à Milly-Lamartine, dans le département de Saône-et-Loire, en Bourgogne-Franche-Comté. Un premier édifice est probablement déjà présent au XIIe siècle, comme l’attestent la travée sous clocher qui subsiste encore aujourd’hui, reconnaissable à ses imposants contreforts, et la partie ouest de la nef. L’architecture de l’édifice met en lumière les nombreux remaniements qu’il a subis au fil des siècles. Le clocher a ainsi probablement été reconstruit au XIIIe siècle, tandis que la partie orientale de la nef et le chœur dateraient plutôt du XVe ou XVIe siècle. Au XVIIIe siècle, l’escalier au sud permettant de monter au clocher et la flèche de ce dernier sont édifiés. La première travée de la nef est également surélevée. Le temps et le manque d’entretien ayant fait de nombreux dommages, les siècles suivants voient l’église être plusieurs fois rénovée. Plus récemment, l’édifice a bénéficié d’une restauration extérieure complète. Il est désormais régulièrement entretenu. L’église possède également quelques éléments de mobilier remarquables, ainsi que les restes d’une litre funéraire, dont les blasons apparaissent sur les pilastres de la travée sous clocher. Elle est classée Monument Historique depuis 1929, notamment en lien avec l’œuvre du poète Alphonse de Lamartine, dont la maison d’enfance se trouve à quelques pas.

Eglise Saint-Jacques-le-Majeur (©CEP)
Adresse Au Bourg, 71960 Milly-Lamartine
Coordonnées GPS 46°20'56.1"N 4°41'53.9"E
Paroisse de rattachement Paroisse Saint Vincent en Val Lamartinien
Protection Monuments Historiques Classée en 1929

Historique

Le village de Milly est situé sur une petite éminence, au centre de plusieurs « montagnes »[1], dont la colline du Monsard et la montagne de la Cras. C’est une zone de peuplement et d’activité très ancienne. Déjà à l’époque gallo-romaine, des villas opulentes sont installées sur le territoire de la commune[2]. En témoignent les nombreuses tuiles, le carrelage, le four et les tombes retrouvés, notamment au lieu-dit « En Gambat ». Par ailleurs, plusieurs tombes mérovingiennes (dont beaucoup d’enfants), ont été mises au jour à Echally, tout près du village. La première mention du village de Miliacum[3] est faite au IXe siècle, dans la charte 403 du chapitre de Saint-Vincent de Mâcon. L’évocation du toponyme actuel n’est faite qu’en 1308, avec l’orthographe « Myllie ». En 1902, la commune devient « Milly-Lamartine », en hommage au poète dont la maison familiale est située au village. La commune tient en effet sa renommée du lien que le poète et sa famille ont entretenu avec elle. L’attachement d’Alphonse de Lamartine a notamment été immortalisé par ses poèmes « Milly ou la terre natale » et « La Vigne et la Maison  ». Un buste en bronze du poète regardant le vignoble a été érigé devant la mairie. Ce buste est l’œuvre du sculpteur Chamonard[4]. Outre cet héritage artistique important, la commune fait également œuvre d’un savoir-faire viticole reconnu .

La présence d’une chapelle au centre du village de Milly est déjà attestée au IXe siècle. Dans la charte 403 du chapitre de Saint-Vincent de Mâcon (864-872), on apprend ainsi la construction récente d’une chapelle par le prêtre Reedemus : Basilicam…in villa Miliaco… in honore Sancti-Christofori[5]. Cet édifice est alors consacré et dédié à saint Christophe. Il appartenait aux chanoines de Saint-Vincent de Mâcon[6]. Cette chapelle est de nouveau mentionnée au Xe siècle : In pago Matiscenci…capellam Sancti-Christophori in Milliaco villa (943-952).

Cet édifice est vraisemblablement remplacé par l’église actuelle au XIIe siècle, comme le suggère l’usage de l’arc brisé pour la voûte de la travée sous clocher. Peu de documents nous sont parvenus à son sujet, ce qui rend la reconstitution de son histoire malaisée. A l’origine, elle est probablement le centre de la paroisse de Milly, et à la collation du chapitre cathédral de Saint-Vincent de Mâcon. La seigneurie des lieux est alors partagée entre ce même chapitre et l’abbaye de Cluny[7]. Seules la travée sous clocher et la partie occidentale de la nef semblent appartenir à cette construction originelle.

Au XIIIe siècle, le clocher est vraisemblablement rebâti, sont profil étant assez clairement plus moderne que l’ensemble roman. Il comporte par ailleurs quelques similitudes avec le clocher du village voisin de Bussières (au niveau des baies notamment), reconstruit à la même époque. Au XVe ou XVIe siècle, c’est tout le bloc oriental de l’église qui est construit. Il est constitué d’une travée prolongeant la nef, élargie et accueillant des chapelles, et une travée de chœur à fond plat. Le reste de l’édifice est probablement restauré à cette époque. Le changement de vocable, du patronage de saint Christophe à celui de saint Jacques-le-Majeur, pourrait dater de cette époque.

Au XVIIe siècle, la flèche de pierre du clocher est reconstruite. Elle est de nouveau endommagée par la foudre en 1768. En 1772, une étude du clocher est donc réalisée par Antoine Koller, entrepreneur à Mâcon, en vue de réparations. Ces travaux sont finalement engagés en 1776. C’est probablement à cette époque qu’est construit l’escalier d’accès au clocher au sud de la nef[8]. L’ouest de la nef est également surélevé afin de permettre cette installation.

Au XIXe siècle, l’église de Milly est assez peu entretenue et ne fait l’objet que de rénovations minimes. En effet, l’église devient une annexe de Sologny en 1802[9], puis de Bussières en 1806, et enfin de La Roche-Vineuse[10]. Ce statut particulier explique peut-être cet entretien restreint. En 1841, une restauration du mobilier est engagée, pour 529 francs. Elle concerne la table du maitre-autel, un des autels latéraux, des peintures diverses, et la réparation du tabernacle baroque. En 1854, une restauration intérieure globale est menée et coûte 667.88 francs[11]. Elle prévoit notamment la réfection de la voûte, le bouchage des baies latérales du chœur (qui sont remplacées par des niches, comme à Sologny[12]), la réparation de la couverture du clocher. L’intérieur de l’édifice est alors entièrement enduit de plâtre, ce qui fait disparaître le décor ancien (à l’exception des traces de litre funéraire, sur les piliers de la travée sous clocher). La sacristie est également construite à ce moment-là, sur les plans de l’architecte Guillemin.

Ce manque d’entretien fait qu’au début du XXe siècle, l’édifice est en grand danger, dans un état de quasi-ruine. Vers 1928, l’église est fermée car devenue dangereuse. La population, qui prend conscience de la valeur patrimoniale de l’édifice, se mobilise pour le sauver. Grâce notamment à Georges Lecomte[13], cette mobilisation aboutie le 13 Avril 1929 au classement de l’église comme Monument Historique. En conséquence de cette protection officielle, des réparations d’urgence sont menées sur l’édifice, sous la direction de Paul Gélis (Architecte en chef des Monuments Historiques) : réfection des laves, remplacement des pierres de la flèche du clocher, consolidation des corniches, reprise partielle des murs, piochement des enduits intérieurs et extérieurs et leur remplacement par un rejointoiement, réfection de la voûte en plâtre du chœur, pavage et assainissement du bas des murs. En 1994, le clocher est de nouveau rénové, sous la direction de Frédéric Didier, architecte en chef des Monuments Historiques.

Au début du XXIe siècle, l’église est de nouveau jugée dangereuse et donc fermée au culte. En 2013, une étude-diagnostic de l’édifice est réalisée par le bureau de Frédéric Didier. De 2014 à 2016, une restauration complète de l’église est réalisée sous sa direction. Elle comprend la réfection de la toiture en laves calcaires, le rejointoiement des pierres des murs extérieurs, la reprise des enduits et peintures des murs intérieurs, la restauration des vitraux, etc. Ces travaux sont financés par la Municipalité, la DRAC, le département de Saône et Loire, la Fondation du patrimoine, l’Association Patrimoine et Fleurissement de Milly Lamartine et deux souscriptions en collaboration avec la cave coopérative des Terres Secrètes[14].

Description architecturale

GLOSSAIRE : Bourgogne Romane

L’église Saint-Jacques-le-Majeur est orientée à l’est et suit un plan atypique, hérité des différents remaniements subis au fil des siècles. Celui-ci est composé de deux blocs : un bloc occidental court et étroit faisant partie de la construction d’origine, qui forme les deux dernières travées de la nef et comprend la travée sous clocher ; un bloc oriental plus massif, du XVe ou XVIe siècle, composé d’une travée de nef supplémentaire formant transept et d’une travée de chœur à fond plat, flanquée au sud d’une sacristie moderne.

Plan au sol de l'église de Milly-Lamartine, par Frédéric Didier (Architecte en chef des Bâtiments de France -ABF).

De l’extérieur, l’église de Milly donne l’illusion d’un édifice homogène, notamment grâce au traitement des maçonneries en jointement[15]. La façade de l’église est ouverte d’une porte entourée d’un cadre de pierre de taille en saillie, dont le seuil est surbaissé par rapport au niveau de la place[16]. Ce petit portail est directement surmonté d’un oculus, tandis que les vestiges d’une petite baie romane murée sont visibles en haut du pignon (elle devait à l’origine éclairer la nef, alors probablement charpentée). L’ouest de la nef est flanqué au sud par un escalier extérieur d’accès au clocher, surmonté d’une petite baie carrée. Une corniche à petits modillons nus court au-dessus de cet ensemble. La travée sous clocher est flanquée de deux gros contreforts de chaque côté, et percée au sud d’une petite fenêtre rectangulaire. Le clocher de plan carré comporte un seul niveau de baies géminées sur colonnettes, délimité par un cordon de pierre saillant. Ce beffroi est semblable à celui de l’église de Bussières. Le clocher est surmonté d’une flèche de pierre portée par une charpente (la flèche est similaire à celle de Chevagny-les-Chevrières).

Le bloc oriental complète l’édifice à l’est. La travée de nef, élargie par rapport au bloc ouest, est ouverte au sud d’une baie plein cintre (à clef non-saillante) et d’une petite porte latérale rectangulaire. Au nord, une très fine ouverture ébrasée éclaire cette travée. La travée de chœur à fond plat est épaulée aux angles de contreforts diagonaux. Elle est flanquée au sud par la petite sacristie rectangulaire. Une rose à remplage polylobé de pierre ouvre le pignon en son centre. Au nord et au sud, on distingue les vestiges de baies très allongées désormais murées, dont la partie supérieure comporte tout de même une vitre à croisillon (cette partie des baies est murée de l’intérieur). Une petite croix de pierre se trouve par ailleurs à la pointe du pignon. Une corniche à gros modillons nus court sur les murs gouttereaux du bloc oriental, et soutient la lourde couverture en laves, également présente sur la partie ouest de la nef. La sacristie a quant à elle une toiture de tuiles.


En entrant par la porte principale, la petite travée romane donne l’impression d’un porche d’entrée de taille modeste. Elle est désormais plafonnée, ce qui masque l’ancien accès au clocher et coupe en partie l’arc menant à la travée suivante, légèrement plus imposante. Celle-ci supporte le clocher et est voûtée d’un berceau brisé supporté par quatre arcs brisés massifs. Ces derniers retombent sur de gros piédroits en saillie[17], sur lesquels figurent les vestiges d’une litre funéraire. Le bloc oriental n’a quant à lui pas de plafond, mais une voûte de plâtre en berceau, scandée par trois poutres de bois. La travée supplémentaire de la nef est plafonnée au niveau des élargissements latéraux, qui accueillent chacun une chapelle (dédiées à sainte Philomène et à Notre-Dame de Bonsecours). Le chœur est délimité par une basse clôture en bois et abrite deux autels massifs, dont le plus ancien contre le mur du fond est surmonté d’un tabernacle remarquable du XVIIe siècle. De chaque côté du chœur se trouve une niche abritant une statue (respectivement saint Jacques et saint Roch), à l’endroit où se trouvaient les baies anciennes désormais murées. Le chœur communique au sud avec la sacristie.

Inventaire décor et mobilier

  • Maitre-Autel (XIXe siècle, en bois peint) et son retable-tabernacle, en bois sculpté doré (contre le fond du chœur) :

Ce retable est inscrit au titre des Monuments Historiques depuis Janvier 2019, par arrêté signé par le Préfet de région[18]. Il a été restauré en 2016. Il fut acheté à Lyon pour 300 livres (financé par le curé et les paroissiens) et inauguré le 16 Mars 1678[19].

  • Autel moderne (dans le chœur)
  • Autels latéraux, XIXe siècle, en bois peint (bras du transept, dans l’élargissement de la travée occidentale de la nef)
  • Litre funéraire : sur les piliers de la travée sous clocher. On y distingue sur chaque pilier un blason mi-parti, avec les armoiries des familles de Noblet et Donguy, seigneurs du lieu. En 1695, le mariage entre la fille et héritière de Jean Donguy et Bernard de Nobelet-Chénelette eut lieu en l’église.
  • Cloche de 1558, avec l’inscription [20]:

« IHS MAR. XPS REX VENIT IN PACE DEUS HOMO FACTUS EST LAN MIL VC LVIII » (1ère ligne)

« Jésus Marie. Le Christ roi est venu dans la paix, Dieu s’est fait homme. L’an 1558 »

« TE DEUM LAUDAMUS » (2ème ligne)

« Nous te louons Seigneur »

La cloche comporte trois plaques décoratives (écussons), dont une crucifixion et une représentation de saint Jacques.

  • Statuaire :

Christ en croix du XVIIe siècle (autel latéral gauche)

Notre-Dame de Bonsecours, XVIIIe siècle, classée objet historique (autel latéral droit)

Saint Roch, milieu XIXe siècle (niche à droite du chœur)

Saint Jacques, milieu XIXe siècle (niche à gauche du chœur)

Sainte Philomène, milieu XIXe siècle (autel latéral gauche)

  • Chemin de croix (fin XVIIIe - début XIXe siècle). Il est classé en tant qu’objet historique depuis 1918. Il n’a pas encore été remis en place à cause de son état de délabrement. Il attend restauration.
  • Dalles funéraires :

Près de l’autel, plaque en mémoire de « Marie Eugénie 1817 – 1817 »[21] (nièce d’Alphonse de Lamartine)

Allée centrale devant l’autel : pierre tombale de « Sieur Michel Courtois », gravée d’une croix.

  • Banc seigneurial d’Alphonse de Lamartine et sa famille (dans le chœur)
  • Bénitiers encastrés : un à droite de l’entrée principale (ancien), et un à droite en entrant par la porte latérale (moderne).
  • Confessionnal (bloc oriental)

Rénovations / Etat

Rénovations :

XIXe

Vers 1841 : restauration du mobilier et travaux d’entretien

Vers 1854 : construction de la sacristie

XXe

1929 : réfection des laves, remplacement des pierres de la flèche du clocher, consolidation des corniches, reprise partielle des murs, piochement des enduits intérieurs et extérieurs et leur remplacement par un rejointoiement, réfection de la voûte en plâtre du chœur, pavage et assainissement du bas des murs.

1994 : restauration du clocher : reprise de la pierre, charpente et flèche rénovées (sous la direction de Frédéric Didier).

XXIe

2014-2016 : restauration complète (toitures en laves calcaires, rejointoiement des pierres des murs extérieurs, réfection des enduits et peinture des murs intérieurs, restauration des vitraux, etc)

Etat :

L’église est en bon état général et a été restaurée récemment. Elle est régulièrement entretenue.

Classement :

L’église est classée Monument Historique depuis 1929.

Actualités

Pour suivre l’actualité de l’édifice et de la commune, consulter le site internet de la mairie.

Visite

L’église de Milly-Lamartine est ouverte tous les jours pendant la saison estivale.

En dehors de cette période, les clefs se trouvent en mairie.

L’accès à l’église semble compliqué pour les personnes à mobilité réduite: la porte latérale, de plain-pied, est très étroite ; la porte principale comporte une grosse marche à l’intérieur.

Association engagée

Association Patrimoine et Fleurissement de Milly-Lamartine.

Elle a pour but la mise en valeur du village et de son patrimoine, ainsi que l’organisation d’événements culturels.

Président : Bruno Goujon

Contact :

Mairie de Milly Lamartine

Patrimoine et fleurissement

2 rue du grand Cèdre

71960 MILLY LAMARTINE

patrimoine.fleurissement@gmail.com

Iconographie ancienne et récente

Collection privée de Monsieur Luc Denis
Collection privée de Monsieur Luc Denis
Maison de Lamartine. Collection privée


Crédit Photos: CEP

Plans cadastraux

Cadastre actuel, cadastre.gouv

Bibliographie

  • RIGAULT, Jean, Dictionnaire topographique du département de la Saône-et-Loire, 2008.

Sources

  • Oursel, Anne-Marie et Raymond, Fiche d’inventaire départemental, 1974 :

Archives départementales de la Saône-et-Loire

  • Rapport de l’architecte Frédéric Didier en vue de travaux, 2013 (fourni par la mairie)
  • Fiche édifice de l’Académie de Mâcon :

Eglise Saint-Jacques-le-Majeur

  • Fiche édifice de la Bourgogne Romane :

Milly-Lamartine

  • Bulletins municipaux, document de présentation et informations sur le site de la mairie.

Propriétaire / Contact

Commune de Milly-Lamartine

03 85 37 70 59

mairie.millylamartine@orange.fr

Patrimoine local et/ou folklore

  • Maison d’enfance d’Alphonse de Lamartine :

Construite en 1705, elle appartient à la famille de Lamartine de 1794 à 1860, date à laquelle le poète est contraint de vendre la maison, faute de moyens.

Propriété privée, la maison se visite les dimanches et jours fériés pendant la saison estivale.

Elle est partiellement inscrite au titre des Monuments Historiques depuis 1979.

Maison de Lamartine - Wikipédia

Crédit Photos: CEP

Propriété privée, il est classé Monument Historique et est ouvert aux visites.

Château de Saint-Point - Wikipédia

Château de Lamartine - Site officiel

Juste à côté du château se trouvent l’église Saint-Donat, une des plus anciennes de la région, ainsi que le tombeau du poète et de ses proches.

Eglise romane construite au XIIe siècle. Elle fut longtemps fréquentée par Lamartine, qui y fit son catéchisme sous la direction de son ami l’abbé Dumont. Celui-ci lui inspira son roman Jocelyn.

Notes et références

  1. C’est comme cela que les habitants du village appellent les massifs plus ou moins élevés.
  2. Informations du site de la commune.
  3. Rigault, Jean, Dictionnaire topographique du département de la Saône-et-Loire, 2008.
  4. Académie de Mâcon
  5. Rigault
  6. Oursel, Anne-Marie et Raymond, Fiche d’inventaire départemental, 1974.
  7. Informations du site de la mairie.
  8. Etude réalisée par Frédéric Didier.
  9. Oursel
  10. Elle est aujourd’hui de nouveau paroissiale.
  11. Oursel
  12. Frédéric Didier
  13. 1867-1958. Né à Mâcon, Georges Lecomte était un écrivain, dramaturge, critique littéraire, journaliste et membre de l’Académie Française.
  14. Informations de la mairie.
  15. Rapport de Frédéric Didier
  16. Ibidem
  17. Ibidem
  18. Bulletin municipal d’avril 2019.
  19. Document sur le site de la mairie
  20. Ibidem
  21. Site de la mairie