Chapelle de Nancelle à La Roche-Vineuse : Différence entre versions
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En 1843, le secrétaire privé de Lamartine et nouveau propriétaire du domaine de Nancelle, Jean Chrysogone Guigue de Champvans, entend rouvrir l’église au culte. Il faut alors entreprendre de grands travaux de restauration. En 1853, l’église est rattachée à [[Hurigny]] et [[Chevagny-les-Chevrières]] par l’évêque d’Autun. Le domaine est ensuite racheté par Charles François Jacquier, avocat du barreau lyonnais, en 1876. Il rachète deux ans plus tard l’église et le cimetière à la Fabrique de Nancelle, et entreprend de nouvelles réparations. Dès lors, l’église devient chapelle privée jusque dans les années 1960. L’église est ensuite délaissée et transformée en grange par le nouveau propriétaire du château le docteur Duvernois. Les murs sont grattés et le sol laissé en terre simple. En 2005, la chapelle est rachetée et retrouve alors son statut original et son mobilier conservé. Elle accueille aujourd'hui une petite exposition sur l’exploitation métallurgique en Mâconnais. | En 1843, le secrétaire privé de Lamartine et nouveau propriétaire du domaine de Nancelle, Jean Chrysogone Guigue de Champvans, entend rouvrir l’église au culte. Il faut alors entreprendre de grands travaux de restauration. En 1853, l’église est rattachée à [[Hurigny]] et [[Chevagny-les-Chevrières]] par l’évêque d’Autun. Le domaine est ensuite racheté par Charles François Jacquier, avocat du barreau lyonnais, en 1876. Il rachète deux ans plus tard l’église et le cimetière à la Fabrique de Nancelle, et entreprend de nouvelles réparations. Dès lors, l’église devient chapelle privée jusque dans les années 1960. L’église est ensuite délaissée et transformée en grange par le nouveau propriétaire du château le docteur Duvernois. Les murs sont grattés et le sol laissé en terre simple. En 2005, la chapelle est rachetée et retrouve alors son statut original et son mobilier conservé. Elle accueille aujourd'hui une petite exposition sur l’exploitation métallurgique en Mâconnais. | ||
− | L’église Saint-Martin, bien que plusieurs fois restaurée, a gardé son plan d’origine et fait donc partie des plus anciennes églises conservées de la région. De par sa situation géographique, au milieu des arbres avec peu de maisons aux alentours, elle n’a pas nécessité d’agrandissement au XIXe siècle, comme c’est le cas pour de nombreuses églises des environs. Se trouvant dans un parc privé, elle a par ailleurs été relativement protégée à l'époque moderne. | + | L’église Saint-Martin, bien que plusieurs fois restaurée, a gardé son plan d’origine et fait donc partie des plus anciennes églises conservées de la région. De par sa situation géographique, au milieu des arbres avec peu de maisons aux alentours, elle n’a pas nécessité d’agrandissement au XIXe siècle, comme c’est le cas pour de nombreuses églises des environs. Se trouvant dans un parc privé, elle a par ailleurs été relativement protégée à l'époque moderne. Elle est désormais entretenue avec soin. |
=== Description architecturale === | === Description architecturale === |
Version du 12 décembre 2019 à 10:27
La chapelle de Nancelle, anciennement église paroissiale Saint-Martin, est située à La Roche-Vineuse, dans le département de la Saône-et-Loire, en Bourgogne-Franche-Comté. C'est un édifice roman privé mentionné pour la première fois au Xe siècle, dans une charte attestant sa donation à Cluny. L’église citée aurait été reconstruite peu avant sa donation, au début du Xe siècle. De cet édifice, la chapelle conserve notamment l’abside et la travée sous clocher. Cependant, celles-ci reposeraient sur des bases beaucoup plus anciennes qui pourraient remonter au VIe ou au VIIe siècle, vu le plan et les dimensions de l’édifice. Le clocher de la chapelle est également roman, mais semble avoir été reconstruit à la fin du XIIe siècle ou au début du XIIIe. La nef est, quant à elle, assez hétérogène. Si son mur oriental est bien roman, ses autres murs sont des reconstructions postérieures, probablement dues aux destructions successives des guerres de Religion et de la Révolution, qui ont laissé l’édifice en état de ruine. En 1608, la paroisse de Nancelle est rattachée à celle de Saint-Sorlin, aujourd’hui La Roche-Vineuse. Au XIXe siècle, l’église est rachetée, rénovée et rendue au culte, puis devient chapelle privée en 1878. Après avoir été utilisée comme grange pendant une partie du XXe siècle, elle est rachetée en 2005 et restaurée afin de retrouver sa fonction d’origine. Cette chapelle, qui de prime abord semble reprendre un plan typiquement roman, révèle donc une histoire bien plus riche, appelant des recherches plus approfondies dans l’avenir.
Adresse | Chemin de Nancelle, 71960 La Roche-Vineuse |
Coordonnées GPS | 46°21'15.9"N 4°45'54.8"E |
Paroisse de rattachement | Paroisse Saint Vincent en Val Lamartinien |
Protection Monuments Historiques | / |
Sommaire
- 1 Historique
- 2 Description architecturale
- 3 Inventaire décor et mobilier
- 4 Rénovations / Etat
- 5 Actualités
- 6 Visite
- 7 Association engagée
- 8 Iconographie ancienne et récente
- 9 Plans cadastraux
- 10 Bibliographie
- 11 Sources
- 12 Propriétaire / Contact
- 13 Patrimoine local et/ou folklore
- 14 Notes et références
Historique
Le hameau de Nancelle, aujourd’hui rattaché à la commune de La Roche-Vineuse, est mentionné pour la première fois en 934 dans une charte de l'abbaye de Cluny (C 421), par la formule Actum Nantel[1]. La mention de cet acte réalisé à Nancelle prouve deux choses : d’abord, que Nancelle est à l’époque assez peuplée pour qu’un acte s’y passe ; ensuite, que ce hameau et sa population ont des origines lointaines compte-tenu de la racine celtique du nom Nancelle, nant, signifiant la vallée ou la source[2]. En effet, le hameau se situe dans une zone de forte activité dès l’époque gallo-romaine, notamment grâce au minerai de fer et à la carrière de craie présents localement. Ces gisements entraînent donc des activités métallurgiques et minières qui se poursuivent jusqu'au Moyen-Age.
L’église Saint-Martin est quant à elle mentionnée pour la première fois en 962 dans une charte de Cluny (C 1139), avec la formule in Nova Cella, capella Sancti Martini. Cette charte rend compte du don par l’évêque Adon d’une ecclesia et de cinq capellae à Maïeul, abbé de Cluny, dont celle de Nancelle. La chapelle devient par la suite église paroissiale, tout comme les autres capellae et l’ecclesia, en lieu de Massy, Mazille, Saint-Sorlin et Senecé (seule la chapelle Sancti Germani disparait). On retrouve ensuite la capella Sancti Martini dans des chartes du XIe[3] siècle, avec la localisation Nova Cella, en tant que partie du doyenné Saint-Martin-des-Vignes (le nom de Nancelle est alors latinisé, comme il est usuel à l’époque). Elle devient Ecclesia Nancella en 1412, et le hameau est finalement modernisé en « Nancelles » en 1666.
L’origine exacte de l’édifice est cependant incertaine. La densité de population à Nancelle laisse penser qu’un lieu de culte païen se trouve à cet endroit dès l’époque paléochrétienne. Une première église lui aurait succédé, dont le plan pourrait remonter au VIIIe siècle[4] au plus tard. L’église Saint-Martin, telle qu’elle demeure aujourd'hui, aurait ainsi été construite, ou plutôt restaurée[5] sur ce plan au Xe siècle, peu avant la donation à Maïeul, afin d’accommoder la population encore dense du fait des activités locales. Au XIIe siècle, l’édifice est vraisemblablement remanié, notamment la partie supérieure du clocher. En 1350, l’église semble avoir été fortifiée[6] suite à la Guerre de Cent ans, qui a vu les clercs et habitants contraints de se défendre par eux-mêmes. Le bâtiment local le plus adapté à la défense est alors choisi et fortifié, comme ici l’église[7]. Ainsi, les baies des deux premiers étages du clocher sont obturées et ce dernier devient tour de garde, sans altérer la fonction cultuelle de l’édifice.
Jusqu'au XIXe siècle, l’église est ensuite relativement peu entretenue. Au XVIIe siècle, la fenêtre du mur sud du chœur est agrandie, afin d’éclairer l’autel. En 1608, l’église Saint-Martin est rattachée à celle de Saint-Sorlin (aujourd'hui La Roche-Vineuse)[8], également à la collation de l’abbé de Cluny. En 1705, une visite pastorale témoigne de l’état déplorable dans lequel se trouve l’église, probablement à cause des Guerres de Religion[9] qui ont durement endommagé voire purement rayé de la carte bien des églises de la région. Aucune restauration importante n’est visiblement entreprise, seul le sol de l’abside et du chœur est recouvert de carreaux de terre. A la Révolution, le curé, Jacques Greuze (frère du peintre), refuse de prêter serment à la Constitution. L’église est fermée au culte. Lors de la vente des biens nationaux, un certain Lasnier acquiert « la grange de la dîme de Nancelle, avec un pressoir et deux cuves »[10]. L’église est ensuite mentionnée, mais non décrite, dans l’état des sections de 1823, comme propriété des habitants de Nancelle. Elle est vraisemblablement en très mauvais état.
En 1843, le secrétaire privé de Lamartine et nouveau propriétaire du domaine de Nancelle, Jean Chrysogone Guigue de Champvans, entend rouvrir l’église au culte. Il faut alors entreprendre de grands travaux de restauration. En 1853, l’église est rattachée à Hurigny et Chevagny-les-Chevrières par l’évêque d’Autun. Le domaine est ensuite racheté par Charles François Jacquier, avocat du barreau lyonnais, en 1876. Il rachète deux ans plus tard l’église et le cimetière à la Fabrique de Nancelle, et entreprend de nouvelles réparations. Dès lors, l’église devient chapelle privée jusque dans les années 1960. L’église est ensuite délaissée et transformée en grange par le nouveau propriétaire du château le docteur Duvernois. Les murs sont grattés et le sol laissé en terre simple. En 2005, la chapelle est rachetée et retrouve alors son statut original et son mobilier conservé. Elle accueille aujourd'hui une petite exposition sur l’exploitation métallurgique en Mâconnais.
L’église Saint-Martin, bien que plusieurs fois restaurée, a gardé son plan d’origine et fait donc partie des plus anciennes églises conservées de la région. De par sa situation géographique, au milieu des arbres avec peu de maisons aux alentours, elle n’a pas nécessité d’agrandissement au XIXe siècle, comme c’est le cas pour de nombreuses églises des environs. Se trouvant dans un parc privé, elle a par ailleurs été relativement protégée à l'époque moderne. Elle est désormais entretenue avec soin.
Description architecturale
GLOSSAIRE : Bourgogne Romane
La chapelle est longtemps restée en dehors des principaux travaux sur l’architecture romane en Sud Bourgogne. Cependant, Alain Guerreau (directeur de recherches au CNRS) et Bernard Laymet (propriétaire de la chapelle) ont réalisé de premières études intéressantes. Au niveau de son plan, l’ancienne église Saint-Martin est assez typique des édifices romans présents dans la région. Orientée à l’est, elle se compose d’une nef unique rectangulaire, d’une travée sous un clocher carré, et d’une abside. Le plan de la nef semble également dévié par rapport au chevet, ce qui est assez fréquent dans les églises romanes de la région. L’histoire mouvementée de la chapelle est également mise en évidence par les nombreuses ruptures dans la maçonnerie, qui témoignent des différentes reprises au fil des siècles.
Longueur totale : 15.93m
Nef : 10.66m x 4.80m
Chœur : 2.18m x 3.30m
Abside : 2.19m x 3.00m
Rayon du cul de four : 1.50m
Épaisseur des murs : 0.90m
De l’extérieur, la chapelle de Nancelle semble être un assemblage de reprises architecturales hétéroclites, qui forment cependant un ensemble harmonieux et plein de caractère. La façade, dont le mur est assez fin, est visiblement une reconstruction moderne à partir de matériaux d’origine. Elle est percée d’une porte toute simple, dont le linteau de pierre est non-saillant. Cette porte est surmontée d’un arc de décharge et d'un oculus. La nef de plan rectangulaire est épaulée de chaque côté par deux contreforts assez épais (celui du milieu au gouttereau nord est détruit à mi-hauteur). Ils ont vraisemblablement été ajoutés lors d’une restauration moderne, afin de contrebalancer la tendance qu’ont les murs à pencher vers l’extérieur (et ce bien que le terrain soit plat). Les gouttereaux ont en partie été reconstruits, notamment la moitié ouest. Une petite baie plein cintre ébrasée devait s’y trouver à l’origine, au nord et au sud, identique à celles qui subsistent à l’est. Les murs de la nef sont surmontés d’une corniche à modillons nus.
La travée sous clocher, plus étroite que la nef, est épaulée par deux gros contreforts de chaque côté, modernes. Elle est ouverte au nord d’une petite fenêtre étroite à ébrasement intérieur, en-dessous de laquelle on distingue les contours d’une ancienne ouverture. Au sud, la travée est percée d’une fenêtre en cintre brisé agrandie au XVIIe siècle. L’abside semi-circulaire complète l’édifice à l’est. Elle est aveugle, simplement flanquée de deux contreforts à talus (postérieurs à sa construction), et munie d’une corniche chanfreinée, semblable à celle de la travée supportant le clocher. Celui-ci est de plan carré, sur trois niveaux. Le premier est ouvert d’une simple baie plein cintre sur chaque face, dont celle à l’ouest donne sur la nef est sert d’accès au clocher. Les deux autres étages sont ouverts de baies géminées à retombée médiane sur des colonnettes aux chapiteaux sculptés. La corniche du clocher est formée de deux rangées de pierres plates, et supporte une courte pyramide à quatre pans couverte de laves, comme les renforts et l’abside. La nef est, elle, couverte de tuiles plates.
A l’intérieur, la chapelle a tout le charme des petits édifices romans de la région. La nef est entièrement dallée. Elle abrite de nouveau le mobilier propre à sa fonction, en plus d’une petite exposition sur l’activité métallurgique locale. La charpente a été rénovée et laissée apparente. Le chœur est carrelé et surélevé de deux marches par rapport à la nef, de laquelle il est séparé par une grille de communion ornée d’ancres. La travée sous clocher s’ouvre via un arc en plein cintre épais retombant sur des impostes nues, sous lesquelles se trouvent des niches taillées en creux qui accueillaient les extrémités d’une ancienne poutre de gloire. Cette travée est voûtée d’une coupole sur trompes, et ses murs latéraux sont renforcés par des arcs de décharge, juste au-dessus des baies. Elle communique avec l’abside à l’est, via un arc en plein cintre semblable à l’arc triomphal. L’abside est voûtée en cul-de-four et outrepassée[11], c’est-à-dire que son diamètre est plus large que son arc d’entrée (forme de fer à cheval). Cette configuration tend à renforcer l’hypothèse d’un édifice fondé sur un plan très ancien.
Inventaire décor et mobilier
- Baies et chapiteaux du clocher : chapiteaux sculptés de palmettes, et au nord d’un visage humain primitif[12] « le guetteur »[13].
- Croix en fer forgé du XVIIe, tombée du toit en 1999 et entreposée à l’intérieur depuis.
- Grille de communion en fer forgé. Elle porte l’ancre[14] des armoiries de la famille de La Bletonnière : « D'or, à une ancre de sable. ».
- Il y avait un décor de ciel étoilé (et peut-être un décor plus vieux encore en-dessous) mais il a été gratté quand la chapelle est devenue grange vers 1970
- Autel en pierre blanche dans le chœur
- Statues :
Jeanne d’Arc
Saint Joseph
Le Sacré-Cœur
Notre-Dame de Lourdes
Christ en Croix (placé là par Mr de Champvans)
Vierge à l’Enfant (statuette en bois blanc sculpté)
Vierge noire à l’Enfant
- Tableau représentant saint Martin en tenue de soldat romain, donnant son manteau à un pauvre grelottant sur son chemin. Il apprend ensuite que c’est le Christ qui lui a fait cette demande, et il se convertit au christianisme.
- Vitraux :
-Vitrail du chœur :
Œuvre de Lucien Bégule.
Il porte les armes de la famille Alacoque[15] (famille de sainte Marguerite-Marie)
-Vitrail de la rosace : il représente saint Martin
-Vitraux modernes aux motifs floraux et géométriques
- Poutre de gloire en bois, décorée de feuillages et dont les extrémités sont des têtes de dragon.
- Chemin de croix
- Cloche :
Inscription : Sancte Martine ora pro nobis[16](i.e. saint Martin priez pour nous)
Donnée et baptisée en 1766 par Jacques Greuze, curé de la paroisse
Motifs : saint Martin ; Vierge à l’Enfant ; un Christ en Croix accompagné du soleil et de la lune, ainsi que d’une guirlande de laurier ; une croix.
Décorée de fleurs variées (dont des fleurs de Lys).
Rénovations / Etat
- Rénovations :
XIXe :
1840s : réfection importante pour réouverture au culte
1879 : parc de l’église redessiné
1893 : les étages du clocher sont rouverts ; un vide sanitaire est réalisé sous le chœur, pour assainir les fondations du clocher
XXe :
1ère moitié du siècle : travaux d’entretien
1960s : la chapelle est utilisée comme grange, les murs sont piqués.
XXIe :
2005 : acquisition par Monsieur Laymet, début d’importants travaux de rénovation et d’entretien : toiture refaite, charpente traitée, clocher restauré, autel en pierre installé dans le chœur de la chapelle sur un sol en carreaux de terre.
- Etat :
La chapelle de Nancelle est en bon état général et fait l’objet d’un soin constant.
- Classement :
/
Actualités
Pour suivre l’actualité de l’édifice, contacter le propriétaire.
Visite
La chapelle est fermée au public. Pour la visiter, prendre rendez-vous avec le propriétaire Monsieur Laymet.
L’accès à la chapelle semble compliqué pour les personnes à mobilité réduite : elle est située en contrebas d’un chemin privé, au milieu de la pelouse. Les abords ne sont donc pas adaptés, et le portail est précédé d’une petite marche en pierre.
Association engagée
Aucune association n’est strictement dédiée à la chapelle de Nancelle.
Cependant, l’Académie de Mâcon (dont est membre le propriétaire Mr Laymet) est attachée à la mise en valeur du site et à sa sauvegarde.
Iconographie ancienne et récente
Crédit Photos: CEP
Plans cadastraux
Bibliographie
- GUERREAU, Alain, « Notes d’observation sur la chapelle de Nancelle », 2017.
- LAYMET, Bernard, « L’église Saint Martin de Nancelle », In : Image de Saône et Loire, n°165, Mars 2011.
- LAYMET, Bernard, « Pourquoi le site de Nancelle », In : Image de Saône et Loire, n°169, Mars 2012.
- RIGAULT, Jean, Dictionnaire topographique du département de la Saône-et-Loire, 2008.
- SAPIN, Christian, Bourgogne Romane, Dijon, Faton, 2006, 311p.
Sources
- Oursel, Anne-Marie et Raymond, Fiche d’inventaire départemental :
Archives départementales de la Saône-et-Loire
- Fiche édifice de la Bourgogne Romane :
- Fiche édifice de l’Académie de Mâcon :
Propriétaire / Contact
Monsieur Bernard Laymet
Chemin de Nancelle
71960 La Roche Vineuse
Patrimoine local et/ou folklore
- Château de Nancelle à La Roche-Vineuse :
Château reconstruit au XIXe siècle. La chapelle de Nancelle en a longtemps été la chapelle privée.
- Carrières de la Lie :
Site archéologique, carrières de calcaire blanc qui furent exploitées pour la fabrication de sarcophages et de constructions diverses. Les carrières se visitent.
- La Lande de Nancelle :
Site naturel de 6.5ha qui mêle pelouse calcaire, lande acide, milieu forestier.
Site de la commune, Lande de Nancelle
Notes et références
- ↑ Rigault, Jean, Dictionnaire topographique du département de la Saône-et-Loire,2008.
- ↑ Guerreau, Alain
- ↑ C 2831, C4143
- ↑ Guerreau, Alain. Le plan outrepassé de l’abside tendrait à supporter cette hypothèse.
- ↑ Ibidem
- ↑ Bernard Laymet
- ↑ Mr Laymet fait un parallèle avec l’Eglise Saint-Hippolyte à Bonnay, elle aussi fortifiée.
- ↑ Oursel
- ↑ Guerreau
- ↑ Ibidem
- ↑ Guerreau
- ↑ Sapin
- ↑ Laymet
- ↑ Comte de Leusse
- ↑ Ibidem
- ↑ Ibidem