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Vérosvres

27 148 octets ajoutés, 18 janvier
Personnalités liées à la commune
'''Les Poilus de Vérosvres morts pour la France'''<ref name="source00source0"> Cette rubrique a été documentée par Jean-François Guilloux</ref>
[[Fichier:Verosvres_Monument_aux_morts.jpeg|200px|thumb|right|]]
:Vérosvres a payé un lourd tribut à la première guerre mondiale, puisque 69 vroulons sont morts pour la France et figurent sur le Monument aux Morts (voir photo)Ce monument a été érigé en 1974 et sculpté à partir d’une pierre en granite récupérée au Col des Vaux dans les années 1966-67, lors du chantier de la route express. <ref name="source18"> Voir le Bulletin municipal 2018 page 19 : https://www.verosvres.fr/uploads/verosvres/documents/bulletins-municipaux/2018-bulletin-municipal-verosvres.pdf </ref>
:La population de Vérosvres était alors d’environ 1000 habitants. Le taux de mortalité dû à la Grande Guerre a donc été de 6,9% alors qu’il était d’environ 3,5% au niveau national.
:Le site MémorialGenWeb reprend la liste des 69 noms figurant sur le Monument aux Morts : https://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/com_mplf.php?insee1=71571&dpt=71&nom_commune=Verosvres
:Le nombre de jeunes vroulons qui furent mobilisés pour la Grande Guerre peut être estimé à environ 210.
:On peut noter que la population de Vérosvres n’était plus que de 820 habitants en 1921, soit 180 de moins qu’avant-guerre. En effet à la mortalité directe, s’est ajouté un déficit de naissances dû à la mobilisation, suivie parfois de la mort des hommes jeunes.
[[Fichier:Verosvres_Monument_Lardy.jpeg|150px|thumb|right|]]
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:Il existe un monument remarquable à l’entrée du cimetière, à gauche de l’allée centrale en l’honneur du soldat Claude Marie Lardy tombé au champ d’honneur le 24 août 1914. Ce monument a été érigé après la guerre par son père qui était marbrier. On raconte que celui-ci n’avait pas eu la commande pour construire le monument communal. Très déçu et même fâché, il avait voulu montrer qu’il pouvait construire un aussi beau monument qui résisterait au temps.<ref name="source18"/>
:Les années lui ont donné raison puisque le premier monument communal inauguré en 1920 a été remplacé en 1974, alors que le sien reste majestueusement debout même si le temps l’a un peu noirci. Mais on peut le voir aussi comme l’hommage d’un père à son fils par une sculpture dont le profil et l’esthétique étaient à la hauteur de son chagrin.
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===Monuments et vestiges===
*'''L’église paroissiale de Verosvres <ref name="source0"> Ces rubriques sur les poilus de la guerre 14-18, l’église paroissiale, le château du Terreau, le château des Pierres et Drompvent , la liste des maires et des curés ont été documentées par Jean-François Guilloux</ref>
;:Historique <ref name=“source2” /><ref name=“source1” /><ref name=“source5” /><ref name=“source6”>
https://www.archives71.fr/ark:60535/s005b1f9e7bad63f/5b3d2df4c7820.fiche=arko_fiche_6183a82e08c3a.moteur=arko_default_61a886d60270a
:Il avait une justice seigneuriale composée d'un juge, d'un procureur d'office et d'un greffier. Les registres paroissiaux de Verosvres du 27 mai 1668 et du 8 janvier 1674 qualifient M. Benoit BONNIN procureur d'office de cette justice.
;:Propriétaires successifs du château <ref name=“source2” /><ref name="source6”source13”> Les fiefs du Maconnais par Léonce LEX, publié en 1897</ref>
:Le terrier d'Amanzé de 1454, indique que la famille DESPIERRES, et particulièrement Guyot DESPIERRES, Girard DESPIERRES, Joannet DESPIERRES et Etienne DESPIERRES, possédaient en 1454 plusieurs immeubles au hameau des Pierres. Le terrier de 1539, établit que Jean DESPIERRES, Etienne DESPIERRES et Claude DESPIERRES, qui avaient vendu à la famille DROIN, plusieurs immeubles, demeuraient à Curbigny, près de la Clayette. D’autres membres de cette famille, s’établirent à Gibles. On ne sait pas si c’est la famille DESPIERRES qui a donné son nom au hameau, ou si c’est l’inverse.
::# '''Jean DROIN''', écuyer. Peut-être est-ce lui, ou son père, qui est mentionné au terrier d'Amanzé de 1454, comme propriétaire de plusieurs immeubles situés au hameau des Pierres, qu’il avait acquis de la famille DESPIERRES
::Il existait autrefois une famille « de Dromvent », citée à plusieurs reprises du XIVème au XVIème siècle, sans que l’on sache si c’est la famille qui a donné son nom au hameau, ou l’inverse. On trouve par exemple :
:::- Le 26 mai 1395, dénombrement du donné par Margueritte et Jeannette, demoiselles, filles de feu Richard de Drompvent, damoiseau et Guichard de Vaux, « comme mary de la ditte Jeannette » ; à savoir leur terre de Drompvent et de Rossie; item, la maison forte de Corchenez et ses dépendances, situé ès paroisse de Baubry et Verosvre, comme héritières de Guicharde du Bois, damoiselle, leur ayeulle; item, de la maison et pourpris et dépendances du Bois. Ce Richard ou Guichard de Dromvent était possesseur d’un fief relevant du comté de Charolais, et était lui-même fils de Jehan de Dromvent <ref name=“source3”>http://www.chateau-fort-manoir-chateau.eu/chateaux-saone-loire-chateau-a-beaubery-chateau-corcheval.html</ref>
:::- Cette même Jeanne ou Jeannette de Dromvent, reconnaît en 1407 tenir en fief de Jean 
sans Peur, duc de Bourgogne, la grande tour carrée de la maison forte de Corcheval<ref name=“source2”>Parenté de la bienheureuse Marguerite-Marie ALACOQUE et Verosvres, sa paroisse natale. Ouvrage publié en 1879, écrit par Jean-Louis Mamessier (1807-1893), prêtre, curé de Dompierre-les-Ormes, puis de Verosvreshttp://jeanfrancois.guilloux.free.fr/Notice/Parent%E9_de_la_Bienheureuse_Marguerite-Marie_ALACOQUE.pdf</ref>
:::- Marguerite de Dromvent, femme de Jean de Penceton, seigneur du Pas à Montmelard, 
qui vend en 1528 une maison qu’elle possédait à Dompierre-les-Ormes<ref name=“source2” />
:::- Louis de Dromvent, seigneur du Pas (Montmelard), cité en 1537<ref name=“source2” />
;:Historique du prieuré
::On sait peu Ce prieuré aurait été construit au XIe siècle par la famille Des Pierres, propriétaire du château des Pierres, aujourd'hui disparu, et qui était situé non loin de choses sur là.::Courtépée, ainsi que l’abbé Mamessier, indiquent que ce prieurédépendait de l’abbaye de Lancharre (située actuellement sur la commune de Chapaize), de l’ordre de Saint-Benoît.::La particularité de Lancharre est qu'elle n'était pas une abbaye comme les autres, bien que la vie religieuse soit aussi la règle, c'était un béguinage<ref name=“source17”>Source article « Les Dames de Lancharre » de Marc Emorine dans le numéro de mars 2017 des Échos des Monts du Charolais</ref>. L'origine des béguines remonte au haut Moyen Âge, elle viendrait de sainte Begge, sœur de sainte Gertrude, qui aurait fondé cet ordre en Wallonie (Belgique). Cet ordre était réservé à des jeunes filles nobles et à des veuves de chevaliers et de seigneurs qui voulaient se « retirer du monde » (Drompvent s'y prête merveilleusement bien !). A la différence des religieuses, les béguines ne prononcent pas les vœux perpétuels. Les croisades (XIe et XIIe siècle) favorisèrent le béguinage. En effet, les épouses des chevaliers-croisés qui restaient seules pendant des années ne savaient pas toujours si ce n’est qu’il dépendait primitivement elles étaient veuves ou pas.::Autre différence avec les religieuses, les béguines gardaient les revenus de leurs domaines et leur droits seigneuriaux. Les béguines de Lancharre étaient sous la direction spirituelle d'un prêtre-prieur nommé par l'abbé de Cluny. Elles ne portaient pas l'habit des religieuses, mais étaient reconnaissables par leur chapeau de feutre sur leur voile, et ne devaient plus porter de bijoux. Le mot béguine n'est quasiment jamais mentionné sur les archives de ces époques, mais on parle de « chanoinesses nobles », ou « dames nobles ». ::En 1626, l'abbesse de Lancharre, Marie du Blé d'Uxelles, décida le transfert de l'abbaye et ses prieurés à Chalon-sur-Saône. Les béguines quittèrent donc définitivement Vérosvres, 21 ans avant la naissance de Marguerite Marie.::Par la suite, le prieuré fut remis à la congrégation des « ermites » de Saint-Germain-en -Brionnais. Il était placé sous le patronage des saints Eloi et Martin. En 1753, il apparaît uni au prieuré des chanoines réguliers de Saint- Sernin-du-Bois, en Autunois <ref name=“source1”>Inventaire départemental des monuments et richesses d’Art. Volume consacré au canton de Saint-Bonnet-de-Joux, publié en 1973, sous l’égide de Raymond OURSEL conservateur des Archives Départementales de Saône-et-Loire de 1963 à 1986.</ref>.::Courtépée, ainsi que l’abbé Mamessier, déclarent que ce Le prieuré dépendait de l’abbaye de Lancharre (située actuellement sur la commune de Chapaize), mais ils ne citent pas leurs sourcesDrompvent eut un prieur jusqu’en 1790.
::Suivant l’Armorial de Bourgogne les armories du prieuré de Dromvent, étaient « d'or tranché de sable, à une croix de l'un en l’autre »
::Louis Droin, seigneur des Pierres et de Drompvent fut inhumé en 1697 dans la chapelle de Drompvent. Philiberte de Lamartine son épouse avait également été inhumée dans cette chapelle en 1689.
:- '''la bascule.''' Elle a servi très longtemps pour le commerce de marchandises (foin, paille, céréales) et certains animaux vendus au poids (cochons, veaux, broutards). Au début des années 2000, avec les nouvelles technologies de pesage, elle n'est plus très utile, elle gêne la circulation sur la place. Elle est démontée, son mécanisme est conservé.
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===Ecoles===
Plusieurs écoles ont existé dans la commune.
<br/>Au bourg :
 
*'''Les écoles publiques :'''
:- L'école de garçons
:: En 1894, l'école communale située en direction du château accueille 133 élèves pour 2 classes.
:: Le conseil demande à l'administration de créer un troisième poste d'instituteur et la commune entreprend la construction d'une classe supplémentaire côté nord. La bâtisse est agrandie sur toute sa hauteur. L'étage sert pour le logement des instituteurs. (bm 2004 p14-15) Photo de classe en 1950 (bm 2001 p20)
:: La salle du milieu sera utilisée pour la cantine pendant de nombreuses années.
:: Monsieur LACHARME arrive dans cette école en 1946 et y reste jusqu'à sa retraite en 1975. Aussi après son décès en 2020, le conseil municipal prend une délibération pour nommer l'école : Ecole François LACHARME.
::L'inauguration de la plaque a lieu le samedi 17 octobre 2020. (bm 2020 p12-13): https://www.verosvres.fr/uploads/verosvres/documents/bulletins-municipaux/2020-bulletin-municipal-verosvres.pdf))
::Il y a toujours 2 classes de primaire pour les enfants, garçons et filles de Vérosvres et Beaubery depuis la création du RPI (regroupement pédagogique intercommunal) avec Beaubery, en 1993.
[[Fichier:Verosvres EcoledeFilles.jpg|250px|thumb|right|]]
:- Une école publique de filles, route de Dompierre-les-Ormes, du début des années 1900 (bm 1999 p20-21) jusque dans les années 50.
::Après sa fermeture, les filles dont les parents veulent un enseignement laïc vont à l'école avec les garçons.
::En 1976, une école maternelle est installée dans les locaux jusqu'en 1993, avec la création du RPI, la maternelle est installée à Beaubery.
::Les salles de classe seront utilisées en salles de réunions et d'activités.
 
*'''Une école libre de filles''', en direction de Beaubery, dirigée par les soeurs de St François d'Assise, avec 2 classes, elle accueille presque toutes les filles puis s'ouvre à la mixité.<br/>Après une baisse significative des effectifs, l'école ferme en 1976. Puis l'association vend les bâtiments. Le produit de la vente est utilisé pour faire repeindre l'intérieur de l'église. Les travaux sont réalisés par l'entreprise Guilloux plâtrerie-peinture. (photo des élèves en 1943 bm 2002 p20) https://www.verosvres.fr/uploads/verosvres/documents/bulletins-municipaux/2002-bulletin-municipal-verosvres.pdf
 
 
Au hameau des Janots :
[[Fichier:Verosvres_Maison_natale_Marguerite_Marie.jpeg|250px|thumb|right|]]
*'''la maison natale de Ste Marguerite-Marie (bm 2016 p16-17)'''
https://www.verosvres.fr/uploads/verosvres/documents/bulletins-municipaux/2016-bulletin-municipal-verosvres.pdf <br/>
À la canonisation de Ste Marguerite-Marie Alacoque, en 1920, sa maison natale, jusqu'alors habitée par des fermiers successifs devient propriété de la "Bourgogne Immobilière" qui gère les biens de l'Evêché d'Autun.
 
La partie exploitation fut remplacée par une maison d'habitation telle qu'elle est encore aujourd'hui.
Lorsque les travaux furent achevés, les soeurs de St François d'Assise, déjà implantées à Vérosvres, furent appelées par l'Evêque d'Autun en 1926, pour recevoir les pélerins et accueillir des jeunes filles du milieu rural.
 
C'est ainsi que s'ouvrit en 1932 un orphelinat, puis une école secondaire de 1940 à 1947.
 
 
'''De l'école ménagère au lycée professionnel'''
Répondant aux besoins du moment, les religieuses ouvrent, en 1947, un centre ménager agricole communément appelé "école ménagère" placé sous l'égide du Ministère de l'Agriculture et géré par un conseil d'administration.
 
Dans le souci constant du développement de la personne humaine, les religieuses accueillent d'abord des jeunes filles du monde rural, en alternance une semaine sur deux, leur inculquant, avec le français, le calcul, des notions d'hygiène, de puériculture, de nutrition etc...
 
Puis, à partir de la scolarité obligatoire jusqu'à 16 ans, le centre fonctionne à temps complet, incluant l'enseignement général avec la formation professionnelle.
 
L'école ménagère devient CERF (Centre d'enseignement rural féminin).
 
Les élèves peuvent alors se présenter, outre les examens professionnels : CAPA, BEPA services aux personnes, au certificat d'études primaires et brevet des collèges section technologique.
 
En 1989, s'ouvre la mixité. La même année, le centre s'oriente vers un cycle long : BTA services en milieu rural. Il permet l’accès aux concours d'entrée des écoles d'infirmier, d'aide soignant, de moniteur éducateur ou poursuite d'études : BTS.
 
En 1990, l'administration passe à une direction laïque sous la tutelle congréganiste.
 
Le CERF prend le nom de "Lycée Professionnel Privé Sainte Marguerite-Marie".
 
S'ouvre encore un centre de formation continue, qui prépare le BTS économie sociale et familiale - diplôme d'état de niveau III - ainsi que le CAP petite enfance, en 1 an. Par la suite, il est déplacé sur Mâcon pour la proximité des centres culturels, lieux de stage...
 
Dans les années qui suivent, cet établissement, avec des constructions nouvelles, accroît considérablement ses possibilités de développement et d'accueil.
 
Après avoir connu des années florissantes, ce lycée, en raison de la démographie, de la création de filières identiques alentour, de sa situation géographique en milieu rural... voit ses effectifs d'élèves diminuer progressivement, ce qui entraîne sa fermeture en 2016.
 
En 2020, l'Association diocésaine rachète les bâtiments ayant appartenu à l'Association du lycée. On peut espérer que de nouveaux projets se mettent en place.
<br/>
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===Transports===
'''La voie ferrée'''
 
La ligne de chemin de fer Macon-Paray-le-Monial fut mise en exploitation le 16 Août 1870 avec le passage de trois trains mixtes (voyageurs et marchandises) aller-retour par jour.
 
Dans les années 30, la voie ferrée est désertée au profit des voitures, des camions et surtout des autocars. Devant cette concurrence, le service voyageurs ferré est supprimé le 15 mai 1939 et remplacé par trois allers- retours quotidiens en cars par les transports Citroën de Lyon.
 
Le 1er décembre 1943, la pénurie d'essence rendant les transports routiers insuffisants, la SNCF adjoint une voiture voyageurs au train de marchandises mais ce service sera supprimé l'été 47 et remplacé par les navettes Citroën.
 
Et le 17 Août 1953 le dernier train quotidien de marchandises est à son tour supprimé marquant la fin de la voie ferrée à Vérosvres.
 
Le département s'étant rendu acquéreur de l'ancienne ligne, la gare et les passages à niveaux ont été démolis pour la construction de la route Express aujourd'hui appelée RCEA. (bm 2009 p16-17) https://www.verosvres.fr/uploads/verosvres/documents/bulletins-municipaux/2009%20-%20bulletin%20verosvres-14.pdf
<gallery mode="packed-hover" heights="250">
Fichier:Verosvres LaGare.jpg|thumb|left|La gare des Terreaux
Fichier:Vérosvres_Maisonnette_Etang.jpeg|thumb|center|Maisonnette du chemin de fer près de l'étang des Terreaux
</gallery>
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== Loisirs et culture ==
 
===Associations===
https://www.verosvres.fr/vie-economique-et-associative/associations
*Société d'intérêt local <br/>Elle a pour but d'animer le village par ses manifestations depuis 1963 et organise :
:- le théâtre (en sommeil pour le moment )
:- la randonnée pédestre depuis 1975 et cycliste (VTT) 2015
:- la fête de l'Ascension (anciennement fête des Terreaux ) avec un concours de pétanque et l'entrecôte au grill en soirée
:- le foot depuis 1998 avec 1 ou 2 équipes qui jouent le dimanche matin sur le stade " René Villars " et organisent une choucroute dansante en mars et un tournoi en juillet
:- la fête Patronale le 2ème week-end d'août avec une animation l'après-midi et le réputé jambon à la broche en soirée
:- le téléthon depuis 1997 organisé conjointement par 3 associations (SIL, Société de Chasse et Club des Anciens)
:- des cours de gym les lundis soir et mardis matin
:- la danse country les mercredis et jeudis
:- la danse de Salon le mardi
*Amicale des Anciens crée en 1977 appelée club (bp février 1996)
*Société de Chasse.<br/> À ce jour une quarantaine de chasseurs pratiquent leur sport favori. Quelques jeunes sont venus les rejoindre. Ils organisent une dégustation de boudin le 1er dimanche de mars et une soirée tête de veau le 3ème samedi de novembre.
*Tarot vroulon né en 1990. <br/>Une trentaine de passionnés se réunissent un vendredi sur deux d'octobre à avril. Quelques joueurs de Manille et belote les rejoignent. 1 ou 2 concours sont organisés dans l'année.
*Restaurant scolaire (bp avril 1985)
*Garderie scolaire
*Sou des écoles du RPI Verosvres - Beaubery : association pour soutenir les projets pédagogiques des écoles culturels ou sportifs.
*Geneses (http://geneses.org/)
<br/>
 
===Activités===
*Les marcheurs (bulletin paroissial octobre 1992)
*Les camps vroulons (bp 1976)
*Les conscrits
<br/>
===Personnalités liées à la commune ===
Une sainte et un prêtre missionnaire sont nés à Vérosvres
'''Marguerite Marie Alacoque''' : religieuse, née à Vérosvres en 1647, canonisée en 1920, et à l'origine du culte du Sacré-Cœur. (bm 2011P 21 à 23)https://www.verosvres.fr/uploads/verosvres/documents/bulletins-municipaux/2011%20-%20bulletin%20verosvres-16.pdf<br/>Article sur wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Marguerite-Marie_Alacoque
<br/>Le 22 juillet 1647 : Marguerite Alacoque naît à Vérosvres. Miraculeusement guérie de rhumatismes paralysants après avoir prié la Vierge, elle choisit d’adjoindre Marie à son premier prénom et d’entrer au couvent. À la Visitation de Paray, elle se sent accueillie par la voix du Christ lui murmurant : « C’est ici que je te veux. » Au terme de son noviciat, elle prend l’habit le 25 août 1671 avant de prononcer ses vœux perpétuels le 6 novembre 1672. Les apparitions se produisent dès 1673 et se poursuivent jusqu’à sa mort. Le Christ lui montre son cœur et lui dit notamment :« Voici ce cœur qui a tant aimé les hommes et qui ne reçoit d’eux en retour que des ingratitudes. »
:''' Les grandes dates de la vie de Sainte Marguerite-Marie ALACOQUE<ref name=“source12”>Cette liste a été établie par Jean-François Guilloux</ref>
::*16 octobre 1921 : A l’occasion de la Sainte-Marguerite et du premier anniversaire de sa canonisation, une foule nombreuse est venue en pèlerinage à Vérosvres<ref name=“source11”>https://www.dropbox.com/s/yyuxybpp0hllt0z/Les_f%C3%AAtes_de_Verosvres_1921.pdf?dl=0</ref>
 
 
'''Le Père Louis GUITTAT''' missionnaire en malaisie né en 1910 il est décédé en 2001.
<br/>https://www.visages-diocese-autun.fr/visage/guittat-louis/
<br/>Témoignage de son petit-cousin Pierre Bidaut:
<<Lors d'un de ses séjours sur sa terre natale, le Père Louis GUITTAT nous a raconté un moment dramatique de sa vie.
:En 1942 les japonais envahissent la Malaisie et toutes les îles avoisinantes. Arrivés dans son village, ils rassemblent tous les habitants sur la place, séparant les autochtones d'un côté, et les anglais à part, en vue de les fusiller. A ce moment l'abbé pense tout haut: "Eh bien ! Louis cette fois-ci, c'est terminé, tu ne reverras plus ni ton village, ni ton charollais". Or il se trouva à proximité un officier japonais qui, l'ayant entendu lui dit dans un parfait français: " Monsieur! mais vous êtes français, veuillez sortir du rang ". Fort surpris Louis s'adresse à cet homme qui lui donna cette explication. Il lui dit avoir fait une grande partie de ses études à Paris et avoir apprécié la France. Il avait d'autre part l'ordre d'éliminer les anglais et leurs ressortissants.
:En ces moments terribles la vie ne tenait qu'à peu de choses. Le père Guittat ne m'a jamais dit s'il avait remercié le Bon Dieu! >>
*'''Les maires :'''
**René Villars : propriétaire du château des Terreaux et maire de Vérosvres de 1930 à 1959
**François Lacharme : maire de 1959 à 1995 <br/>SOURCE 1 Article détaillé dans le bulletin municipal de 2020 (voir page 1214) : https://www.verosvres.fr/uploads/verosvres/documents/bulletins-municipaux/2020-bulletin-municipal-verosvres.pdf<br/>
**André Desbois : maire de 1995 à 2001
|}
*'''Les employés communaux :'''
:- secrétaires de mairie
:- cantonniers
:- agents d'entretien et surveillance temps de midi à l'école
:- gardes-champêtre
 
*'''Les centenaires'''
:
:Etiennette MAZILLE née FAILLANT 1874-1976
:Colette PROST dite Céline 1896-1998 (bm 1996 p19p21):Marie-Claudine THOMAS née MAROT 1896-1998 (bm 1996 p19p21) ::https://www.verosvres.fr/uploads/verosvres/documents/bulletins-municipaux/1996-bulletin-verosvres.pdf:Germain RUSTE 1902-2003 (bm 2002 p15p17)https://www.verosvres.fr/uploads/verosvres/documents/bulletins-municipaux/2002-bulletin-municipal-verosvres.pdf:Francine JEANDEAU née LITAUDON 1905-2010 (bm 2005 p5p7) https://www.verosvres.fr/uploads/verosvres/documents/bulletins-municipaux/2005%20-%20bulletin%20verosvres-10.pdf :Claudius RENON 1906-2009 (bm 2006 p19p21)https://www.verosvres.fr/uploads/verosvres/documents/bulletins-municipaux/2006%20-%20bulletin%20verosvres-11.pdf:François LACHARME 1920-2020 (bm 2020 p14-15) https://www.verosvres.fr/uploads/verosvres/documents/bulletins-municipaux/2020-bulletin-municipal-verosvres.pdf  *'''Personnalités remarquables par leur décoration ou distinction<ref name="source19"> Les renseignements concernant l’attribution de la légion d’honneur proviennent de la base de données de la Grande Chancellerie de la Légion d’Honneur aux archives nationales : https://www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr/</ref>'''<br/>:*'''Jean BAUDIN un militant syndicaliste déporté''':Jean BAUDIN est né le 28 septembre 1912 à Verosvres. Son père Antoine BAUDIN qui était cultivateur puis facteur à Verosvres, est mort pour la France en 1916. Son nom figure sur le monument aux morts. Sa mère Jeanne-Eugénie SIRE était blanchisseuse à Hautecour en 1921.:Jean Baudin s’est distingué par ses activités syndicales aux usines Renault. Mais il a été arrêté le 24 novembre 1941 pour diffusion de propagande clandestine puis emprisonné et déporté. Il est décédé le 5 mai 1945 des suites de la déportation, à Champrosay commune de Draveil (91). Voir l’article ci-joint : https://maitron.fr/spip.php?article223835 <br/>:*'''Claude-Marie BIDAUT, soldat blessé à plusieurs reprises''':Cité à l’ordre du régiment n° 569 du 21 septembre 1917.:Médaille militaire par décret du 11 avril 1930.:Claude-Marie Bidaut a reçu la Croix de chevalier de la légion d’honneur à titre militaire le 12 décembre 1965. :Sergent dans l’intendance, Classe 1907. A servi 4 ans et 8 mois en campagne plus 6 ans et 8 mois en service militaire actif et 21 ans et 3 mois dans la réserve.:Blessé le 15 octobre 1915 par éclatement d’obus:Blessé le 25 août 1916 par éclatement d’obus:Blessé le 10 juillet 1917 par éclatement d’obus:Intoxiqué par gaz le 1er mai 1918 et évacué. :Claude-Marie Bidaut est né le 12 février 1887 aux Janots, à Verosvres, fils de Claude Bidaut et de Claudine Chemarin. Il s’est marié avec Valentine Crétenet et il vécut à Mont - Suin à partir de 1923 où il est décédé le 7 mai 1968.<br/>:*'''Louis BONIN, soldat mutilé''':Louis Bonin a été nommé Chevalier de la légion d’honneur par décret du 16 juin 1933 en qualité d’ex soldat du 146ème régiment d’infanterie. :Cité à l’ordre du régiment le 21 mars 1916 “''Bon soldat, a été gravement blessé le 5 novembre 1914 en marchant courageusement à l’assaut d’une tranchée ennemie''”.:Croix de guerre, étoile de bronze. Médaille militaire. :Louis Bonin est né le 3 juin 1879, Verosvres, fils de Vincent Bonin et de Benoite Therville. :Il s’est marié à Verosvres le 26 avril 1909 avec Claudine Therville et a vécu à Lavau. Il est décédé le 20 juillet 1951 à Paray-le-Monial et il est inhumé à Verosvres. :Incorporé au 153è régiment d’infanterie le 16 novembre 1900. En disponibilité le 19 septembre 1903. :Passé dans la réserve de l’armée active le 1er novembre 1903. A accompli une 1ère période d’exercices dans le 134ème régiment d’infanterie du 21 août au 17 septembre 1906 et une 2ème dans le 134ème régiment d’infanterie du 30 avril au 16 mai 1909.:Mobilisé par décret du 1er août 1914, arrivé au 60ème régiment d’infanterie le 6 août 1914 puis au 146ème régiment d’infanterie le 8 octobre 1914. :Blessé le 5 novembre 1914 à à Ypres, plaie par éclatement d’obus occasionnant l’amputation du pied droit. Evacué le même jour, il entre le 10 novembre 1915 à l’hôpital auxiliaire n° 88 au Havre. :Proposé pour une pension de retraite de 3ème classe par la commission de vérification du Havre du 24 décembre 1915 pour amputation de la jambe droite au 1/3 inférieur, gêne fonctionnelle de la jambe gauche consécutive à 2 plaies du genou. :Reconnu avec invalidité permanente à 95% par la commission de réforme de Chalon-sur-Saône du 10 décembre 1920 pour amputation de la jambe droite et ankylose fibreuse du genou gauche. :Dégagé de toute obligations militaires avec invalidité à 100% par augmentation 5% pension permanente par la commission de réforme de Mâcon du 11 juillet 1929, pour aggravation abcès récidivants du genou gauche, luxation complète du tibia.<br/>:*'''Lieutenant Jean-Etienne LEBLANC tombé en Indochine'''[[Fichier:Verosvres JE Leblanc.jpeg|250px|thumb|right|]][[Fichier:Verosvres Tombe JE Leblanc.jpeg|150px|thumb|right|]]:Jean-Etienne LEBLANC était lieutenant au 41è Régiment d’Artillerie Coloniale. Il a été formé à Saint-Cyr promotion "Général Leclerc" (1946-1948). Il est Chevalier de la Légion d'Honneur et Croix de Guerre des TOE (Théatre d’opérations extérieures) avec Palme. :Citation à l'ordre de l'Armée : "''Officier d'artillerie remarquable tant par ses qualités professionnelles, que par ses vertus guerrières qu'il possédait au plus haut degré. Au cours de 14 mois d'opérations ininterrompues a montré dans les circonstances les plus difficiles, un calme, un sang-froid et une bravoure exemplaire. Dans le secteur de Bac Ninh ou il avait été grièvement blessé à son poste de combat le 31 décembre 1951, s'était révélé un tireur émérite et un officier de liaison hors de pair, aux interventions toujours rapides et précises. a magnifiquement confirmé sa réputation dans le secteur de Bui Chu (Nord Vietnam). Animé d'une foi ardente, n'a cessé durant cinq mois, d'apporter à l'Infanterie un appui que son expérience, son sens du terrain et du combat rendaient particulièrement précieux. Est tombé mortellement frappé le 18 septembre 1952 près de LAC QUAN à la fin d'une journée de combat, alors qu'il assurait au contact immédiat d'un ennemi très agressif, la protection de l'Infanterie sévèrement accrochée.''"<br/>:Jean-Etienne Leblanc repose au cimetière de Verosvres dans une tombe de marbre gris située le long du mur nord. Son corps a été rapatrié d’Indochine en juin 1953 et son nom figure sur le monument aux morts.:Jean-Etienne Leblanc est né le 10 juillet 1925 à Mâcon. Ses parents Julien Leblanc et Marie Joséphine Aupoil s’étaient mariés à Verosvres le 9 mai 1921. Julien Leblanc était employé de banque à Mâcon, il est né à Verosvres le 15 février 1893 de Etienne Leblanc, forgeron à Hautecour et de Jeanne Léchère. Marie Joséphine Aupoil est née à Verosvres 10 juillet 1890 de Etienne Aupoil cultivateur à Chevannes et de Jeanne-Marie Sivignon.<br/><br/><br/>:*'''Nicolas Pierre Amaranthe ROUILLET peintre et lithographe, natif de Vérosvres''' :Nicolas Pierre Amaranthe Roulliet est né le 2 février 1810 à Verosvres. C’est un peintre de paysages et lithographe français. Il a été formé à l’école nationale supérieure des beaux-arts de Lyon et a publié des manuels de dessin. :Un article lui est consacré sur wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Amaranthe_Roulliet:Il est décédé le 15 août 1888 à Garches.:Son père Amaranthe ROULLIET a été maire de Verosvres de 1813 à 1816 et fut propriétaire du château du Terreau durant quelques années. <br/>:*'''Jean-Louis THOMAS, prêtre-soldat''' [[Fichier:Verosvres Jean-Louis Thomas.jpeg|150px|thumb|right|]]:Jean-Louis Thomas est né le 16 mars 1887 à Verosvres, fils de Louis Thomas et Pierrette Michel.:Il est séminariste quand la mobilisation générale est décrétée, le 1er août 1914. Il rejoint à Mâcon le 334e RI, avec lequel il prend part à la bataille de la Haute-Meurthe. Son unité passe ensuite en Alsace. Elle y restera jusqu'en mars 1917, d'abord dans le secteur de la Schlucht, puis à l'Hartmannswillerkopf (Vieil Armand), à la Cote 425 et dans le Sundgau enfin, tout près du kilomètre 0 du front. La guerre de Jean-Louis Thomas se continue au Chemin des Dames, où il est blessé. Ordonné prêtre en janvier 1918, il est versé au 21e bataillon de marche d'infanterie coloniale qui débarque avec le corps expéditionnaire allié à Mourmansk, dans le Nord de la Russie, pour lutter contre les bolchevicks jusqu'en juin 1919. Il est démobilisé en août.:Il rédige des carnets sur sa vie au front qui sont édités chez Bernard Giovanangeli en décembre 2013 grâce à son petit-cousin Marc Émorine sous le titre Carnets d'un prêtre-soldat. Ils attestent de cet itinéraire personnel et collectif. Ecrits au jour le jour, ils forment un récit des opérations émaillé des réflexions d'un homme de Dieu confronté à l'horreur des combats. Son journal inédit, d'une grande richesse documentaire, constitue un apport à la connaissance de la Grande Guerre. Il en fera une transcription vers 1925 car ses carnets sont en mauvais état.:Marc Émorine lui a consacré un second ouvrage, publié en octobre 2014 aux Editions de l’Onde : "Du Charolais à la Russie du Nord – 1914-1919 – Le parcours d’un combattant".:Jean-Louis Thomas est décédé le 16 février 1975 à Autun.<br/>:*'''Jean-François-Prosper VILLARS, maire de Mâcon et de Verosvres'''[[Fichier:Verosvres jean-francois-prosper-villars.jpeg|150px|thumb|right|]]:Jean-François Prosper Villars a été nommé Chevalier de la légion d’honneur par décret du 14 août 1867, pour les services rendus à l’état.:Il acquit le château du Terreau en 1847 et a été maire de Verosvres de 1865 à 1870. :Jean-François Prosper Villars, dit Camille est né le 4 octobre 1804 à Mâcon, fils de Jean René Villars et de Elisabeth Dandelot. :Il obtient sa licence en droit en 1826 puis s’inscrit au barreau de Mâcon. Il est avocat, conseiller municipal de Mâcon de 1831 à 1840, puis adjoint au maire en 1841. Sa carrière politique débute en 1831 et il est constamment réélu jusqu’en 1859. :Il a été maire de Mâcon de 1844 à 1846. En 1845, son conseil municipal refuse le trajet de la future ligne de chemin de fer de Lyon à Genève. Un chemin « plus préjudiciable qu’utile aux intérêts de la ville de Mâcon », aurait-il argué. :Conseiller général du canton de Lugny de 1852 à 1855, il est de nouveau maire de Mâcon de 1852 à 1858. :Ses deux mandats de maire à Mâcon ont laissé plusieurs traces, notamment la construction de l’église Saint-Pierre ou l’agrandissement de la place de l’herberie. Mais l’une de ses réalisations les plus importantes est certainement l’annexion de Saint-Clément à Mâcon, et de certains quartiers de Charnay et Flacé.:Parallèlement à ses activités politique, il occupe le poste de secrétaire général de la Compagnie des mines de houilles à Blanzy jusqu’en mai 1892. :De novembre à décembre 1858, il est directeur de la sucrerie de Tournus. :Il est décédé le 22 août 1901 à Verosvres.<br/>:*'''Jean François Lucien VILLARS, Auteur de la monographie de Verosvres''' :Jean François Lucien Villars a été nommé Chevalier de la légion d’honneur par décret du 6 juillet 1886 en tant que sous-gouverneur de la banque Hypothécaire d’Espagne et Administrateur des Chemins de Fer Andalous. :Il a été nommé Officier de la légion d’honneur par décret du 19 juillet 1901 en tant qu’ancien Directeur de la banque de Paris et des Pays Bas, pour Services rendus depuis dix ans aux intérêts français en Espagne. :Jean François Lucien Villars, plus communément appelé Lucien Villars, est né le 29 septembre 1843 à Mâcon, fils de Jean-François Prosper Villars et de Marie Louise Virginie Margot. Il a fait ses études au lycée de Mâcon avant de se rendre à Paris en 1862. En 1867, il entre à la Société générale et deux ans plus tard à la Banque de Paris.:Quand la guerre contre la Prusse éclate, Lucien Villars s'engage dans les bataillons de marche et la termine comme sergent-fourrier.:En 1872, la Banque de Paris devint la Banque de Paris et des Pas-Bas et Lucien Villars fut nommé contrôleur général, un poste qu'il occupa jusqu'en 1875.:En 1874 il épouse à Genève Hélène de LAPTEW mais le couple n'a pas eu d’enfant. :En février 1876 il s’installe en Espagne, où il établit la Banque hypothécaire dEspagne. Il y exerça les fonctions de sous-gouverneur jusqu'en 1891, avant d'être nommé administrateur de l'établissement. :Revenu ensuite à Paris, où il assume les responsabilités d'attaché de direction à la Banque de Paris et des Pays-Bas, il se voit appelé en 1892, aux fonctions de directeur avec MM. Chevrante et Thors. Il restera huit ans à ce poste, puis se tournera, en tant que directeur honoraire, vers les activités internationales de la banque : espagnoles, argentines et chinoises (chemin de fer Hankow-Pékin), avant d'être nommé en 1901, au Conseil d'administration de la Compagnie des wagons-lits, puis de prendre la présidence de la Banque de l'Union parisienne.:C'est au terme d'une brillante carrière et couvert de décorations que Lucien Villars s'intéressa à l'histoire locale pour rédiger la Monographie de la commune de Verosvres, parue en 1920.:Il est décédé le 4 août 1925 au Terreau à Verosvres. <ref name=“source5” />:C’est son neveu René Villars qui a hérité du château du Terreau.<br/>*'''Les prêtres''':*'''Le Père Louis GUITTAT''' missionnaire en malaisie, né en 1910 à Verosvres et décédé en 2001 à Kuala Lumpur en Malaisie.::Louis GUITTAT était le fils de Jean-Claude GUITTAT (1873-1951) et de Marie-Jéronyme VOUILLON (1886-1972), cultivateurs aux Champs à Vérosvres. Son frère Marc GUITTAT (1913-1962) fut vicaire à Charolles et curé de Vendenesse-lès-Charolles.::On peut voir sa biographie sur le site du diocèse d'Autun : https://www.visages-diocese-autun.fr/visage/guittat-louis/::Témoignage de son petit-cousin Pierre Bidaut : :::"''Lors d'un de ses séjours sur sa terre natale, le Père Louis GUITTAT nous a raconté un moment dramatique de sa vie.'' :::''En 1942 les japonais envahissent la Malaisie et toutes les îles avoisinantes. Arrivés dans son village, ils rassemblent tous les habitants sur la place, séparant les autochtones d'un côté, et les anglais à part, en vue de les fusiller. A ce moment l'abbé pense tout haut: "Eh bien ! Louis cette fois-ci, c'est terminé, tu ne reverras plus ni ton village, ni ton charollais". Or il se trouva à proximité un officier japonais qui, l'ayant entendu lui dit dans un parfait français: " Monsieur! mais vous êtes français, veuillez sortir du rang ". Fort surpris Louis s'adresse à cet homme qui lui donna cette explication. Il lui dit avoir fait une grande partie de ses études à Paris et avoir apprécié la France. Il avait d'autre part l'ordre d'éliminer les anglais et leurs ressortissants.'' :::''En ces moments terribles la vie ne tenait qu'à peu de choses. Le père Guittat ne m'a jamais dit s'il avait remercié le Bon Dieu! ''"<br/>{| class="wikitable" style="width: 95%;”|+ Liste des curés de Verosvres sur la période 1440-2002<ref name=“source12” />|-! style="width: 15%;”| Dates! style="width: 20%;”| Curé! style="width: 65%;”| Commentaires|-! scope="row"| 1440-1487| Jean de SAINT-ETIENNE Pierre JAYET| cités dans le terrier des curés de Vérosvres.|-! scope="row"| 1487| Hugues COLAS|| cité comme témoin dans un acte du terrier du château du Terreau.|-! scope="row"| 1509| Jean AUDUC || cité au terrier de Laroche, paroisse de Dompierre.|-! scope="row"| 1519| Antoine DECHAMPLONG || cité dans une transaction qui figurait dans les papiers de la cure de Vérosvres.|-! scope="row"| 1585| Catherin de la ROCHE || cité dans un certificat du 14/08/1585.|-! scope="row"| 1611-1637| Jean ALACOQUE |vicaire de Suin, puis curé de Verosvres dont il signe les registres en 1611. Il décède le 08/07/1649. Il était le grand-oncle de Sainte Marguerite-Marie.|-! scope="row"| 1637-1670| Antoine ALACOQUE l'Ancien | neveu du précédent, et cousin germain du père de Sainte Marguerite-Marie. Il est né vers 1607, et il décède le 17/09/1672.|-! scope="row"| 1670-1712| Antoine ALACOQUE le Jeune| neveu du précédent, et cousin issu de germain de Sainte Marguerite-Marie. Il est né en 1641 à Ozolles, et il décède le 30/10/1718 à Suin.|-! scope="row"| 1712-1716| || Pas de curé titulaire dans cette période. La paroisse est desservie par le vicaire de Vérosvres, les curés de Beaubery et Suin, ainsi que par des frères récollets.|-! scope="row"| 1717-1762| Claude POTIGNON || né le 01/04/1687 à Oyé, vicaire de Vérosvres le 07/12/1716, curé de Vérosvres le 27/04/1717. Il est inhumé le 05/07/1762 dans l'église de Vérosvres.|-! scope="row"| 1763-1789| René PLASSARD | né en 1709 à Trivy, curé de Vendenesse, puis de Beaubery. Il signe les registres comme curé de Vérosvres du 15/07/1763 au 13/11/1789. Il est inhumé le 27/02/1790 dans le cimetière de Vérosvres.|-! scope="row"| 1789-1790| Jean AUDUC | né le 09/01/1764 à Vérosvres et fils de Jean AUDUC, qui fut le 1er maire de Vérosvres. Il signe comme vicaire de Vérosvres le 12/06/1789, curé de Vérosvres, le 29/05/1790, puis de nouveau comme vicaire le 12/11/1790. Il fut ensuite vicaire à Marigny, puis curé de Grandvaux, puis d'Uxeau. Il décède le 29/03/1842 à Dijon où il était retiré depuis plusieurs années.|-! scope="row"| 1790-1806| Philibert BATTAULT | né le 01/07/1745 près de Beaune, et décédé le 16/02/1806 à Vérosvres. Il est curé de Vérosvres du 09/08/1790 jusqu'à son décès. Il prêta serment à la révolution, puis se rétracta le 09/01/1796.|-! scope="row"| 1806-1807| Charles THÉVENET | né en 1728 à Saint-Pierre-le-Vieux, et fils de Philibert THÉVENET, notaire. Curé de Saint-Georges-de-Reneins, puis Dompiere-les-Ormes et Meulin. Il est nommé le 17/02/1806, curé de Vérosvres, où il décède le 20/05/1807.|-! scope="row"| 1807-1814| Jean-Baptiste BURELLE || curé de Vérosvres du 17/10/1807 au 05/10/1814. Il est originaire du Bourbonnais.|-! scope="row"| 1815-1826| Claude GUILLEMIN | né le 25/07/1761 à Ozolles. Il est curé de Montmelard en 1801, et il est installé le 01/04/1815, curé de Vérosvres, où il décède le 19/06/1826.|-! scope="row"| 1826-1840| Antoine DESVERCHÈRES | né le 08/09/1782 à Tancon. Il a éte curé de Bragny-en-Charollais, puis curé de Vérosvres du 15/07/1826 au 27/12/1840. Il a été ensuite prêtre habitué à Paray-le-Monial, Saint-Laurent-en-Brionnais, puis La Clayette, où il est décédé le 14/05/1854.|-! scope="row"| 1841-1842| Jean-Baptiste MARTIN | né le 04/08/1813 à Virey-le-Grand et décédé le 02/02/1875 à Montpellier. Il a été curé de Vérosvres du 03/01/1841 au 14/05/1842.|-! scope="row"| 1842-1847| Claude-Etienne-Ambroise COMBRICHON | né le 07/12/1809 à Grandris (69), et décédé le 28/08/1875 dans la même commune. Il a été curé de Vérosvres du 29/05/1842 au 12/04/1847.|-! scope="row"| 1847-1872| François-Xavier LABROSSE | né le 07/04/1806 à Chauffailles. Il a été vicaire de Semur-en-Brionnais, puis de Gilbles. Il est installé le 04/07/1847, curé de Vérosvres, où il décède le 04/02/1872. On lui doit la construction et l'ornementation de la nouvelle église, et l'institution de cérémonies annuelles en l'honneur de Marguerite-Marie ALACOQUE.|-! scope="row"| 1872-1900| François-Joseph DESSOLIN | né le 25/12/1835 à Saint-Aubin-en-Charollais. Il fut installé curé de Vérosvres le 03/03/1872. Il est toujours curé de la paroisse au recensement de 1896. Il s'est occupé en 1874 et 1875 de la reconstruction de la cure. Il décède à Lugny-les-Charolles le 16/03/1901.|-! scope="row"| 1900-1923| Philibert DEGRANGE| né le 26/02/1869 à Vendenesse-les-Charolles. Il est installé curé de Vérosvres le 12/08/1900, et apparait comme curé de Vérosvres sur les recensements de 1901, 1906, 1911 et 1921.|-! scope="row"| 1923-1957| Maurice FERRIÈRE| né le 03/06/1877 à Montceau-les-Mines. Il est nommé curé de Verosvres en septembre 1923. Il occupa cette fonction durant 34 ans. Il décède à Charolles le 01/09/1961.|-! scope="row"| 1958-1974| Maurice LESAFFRE| né le 14/07/1902 à Marquette-lez-Lille (59) dans une famille d'industriels, et décédé le 21/08/1996 à Carpentras. Il fut curé de Verosvres de 1958 à 1974.|-! scope="row"| 1975-1984| Jean DURY || né le 12/07/1913 à La Clayette, et décédé le 14/02/1989 à Paray-Le-Monial. Il fut curé d'Amanzé, de Semur, d'Oyé, puis de Vérosvres de 1975 à 1984.|-! scope="row"| 1985-1997| Bernard FONTANY || né le 23/09/1923 à Denain, et décédé le 16/04/1997 à Charolles. Il fut curé de Vérosvres et Beaubery de 1985 à 1997.|-! scope="row"| 1997-2002| Jean GALLO || né le 11 juin 1919 à Marcigny, et décédé le 23 février 2002 à Verosvres. Il était pendant cette période prêtre auxiliaire de l’ensemble paroissial de Saint-Bonnet-de-Joux, résidant à Vérosvres.|-| style="text-align:center;" colspan="3" |Sources <ref name=“source2” /> <ref name=“source5” /> <ref name="source14”> Persécution religieuse en Saône-et-Loire pendant la révolution par l'abbé Paul MUGUET - Tome 3 - arrondissement de Charolleshttps://www.geneanet.org/registres/view/472004/586</ref> <ref name="source15”> https://www.visages-diocese-autun.fr/pretres/?wpv_view_count=1934-CATTR689d7add6ce13bf6b474041bb798848e&wpv_paged=10</ref> <ref name="source16”>https://nlelirzin.wordpress.com/2011/04/06/jean-lechere-le-marguillier-de--verosvres/ </ref>|}<br/> ===Ecoles===Plusieurs écoles ont existé dans la commune.<br/>Au bourg : *'''Les écoles publiques :''' :- L'école de garçons:: En 1894, l'école communale située en direction du château accueille 133 élèves pour 2 classes.:: Le conseil demande à l'administration de créer un troisième poste d'instituteur et la commune entreprend la construction d'une classe supplémentaire côté nord. La bâtisse est agrandie sur toute sa hauteur. L'étage sert pour le logement des instituteurs. (bm 2004 p14-15) Photo de classe en 1950 (bm 2001 p20):: La salle du milieu sera utilisée pour la cantine pendant de nombreuses années.:: Monsieur LACHARME arrive dans cette école en 1946 et y reste jusqu'à sa retraite en 1975. Aussi après son décès en 2020, le conseil municipal prend une délibération pour nommer l'école : Ecole François LACHARME. ::L'inauguration de la plaque a lieu le samedi 17 octobre 2020. (bm 2020 p12-13): https://www.verosvres.fr/uploads/verosvres/documents/bulletins-municipaux/2020-bulletin-municipal-verosvres.pdf))::Il y a toujours 2 classes de primaire pour les enfants, garçons et filles de Vérosvres et Beaubery depuis la création du RPI (regroupement pédagogique intercommunal) avec Beaubery, en 1993.[[Fichier:Verosvres EcoledeFilles.jpg|250px|thumb|right|]]:- Une école publique de filles, route de Dompierre-les-Ormes, du début des années 1900 (bm 1999 p20-21) jusque dans les années 50. ::Après sa fermeture, les filles dont les parents veulent un enseignement laïc vont à l'école avec les garçons.::En 1976, une école maternelle est installée dans les locaux jusqu'en 1993, avec la création du RPI, la maternelle est installée à Beaubery.::Les salles de classe seront utilisées en salles de réunions et d'activités.  *'''Une école libre de filles''', en direction de Beaubery, dirigée par les soeurs de St François d'Assise, avec 2 classes, elle accueille presque toutes les filles puis s'ouvre à la mixité.<br/>Après une baisse significative des effectifs, l'école ferme en 1976. Puis l'association vend les bâtiments. Le produit de la vente est utilisé pour faire repeindre l'intérieur de l'église. Les travaux sont réalisés par l'entreprise Guilloux plâtrerie-peinture. (photo des élèves en 1943 bm 2002 p20) https://www.verosvres.fr/uploads/verosvres/documents/bulletins-municipaux/2002-bulletin-municipal-verosvres.pdf  Au hameau des Janots :[[Fichier:Verosvres_Maison_natale_Marguerite_Marie.jpeg|250px|thumb|right|]]*'''la maison natale de Ste Marguerite-Marie (bm 2016 p16-17)''' https://www.verosvres.fr/uploads/verosvres/documents/bulletins-municipaux/2016-bulletin-municipal-verosvres.pdf <br/>À la canonisation de Ste Marguerite-Marie Alacoque, en 1920, sa maison natale, jusqu'alors habitée par des fermiers successifs devient propriété de la "Bourgogne Immobilière" qui gère les biens de l'Evêché d'Autun. La partie exploitation fut remplacée par une maison d'habitation telle qu'elle est encore aujourd'hui.Lorsque les travaux furent achevés, les soeurs de St François d'Assise, déjà implantées à Vérosvres, furent appelées par l'Evêque d'Autun en 1926, pour recevoir les pélerins et accueillir des jeunes filles du milieu rural. C'est ainsi que s'ouvrit en 1932 un orphelinat, puis une école secondaire de 1940 à 1947.  '''De l'école ménagère au lycée professionnel''' Répondant aux besoins du moment, les religieuses ouvrent, en 1947, un centre ménager agricole communément appelé "école ménagère" placé sous l'égide du Ministère de l'Agriculture et géré par un conseil d'administration. Dans le souci constant du développement de la personne humaine, les religieuses accueillent d'abord des jeunes filles du monde rural, en alternance une semaine sur deux, leur inculquant, avec le français, le calcul, des notions d'hygiène, de puériculture, de nutrition etc...  Puis, à partir de la scolarité obligatoire jusqu'à 16 ans, le centre fonctionne à temps complet, incluant l'enseignement général avec la formation professionnelle. L'école ménagère devient CERF (Centre d'enseignement rural féminin). Les élèves peuvent alors se présenter, outre les examens professionnels : CAPA, BEPA services aux personnes, au certificat d'études primaires et brevet des collèges section technologique. En 1989, s'ouvre la mixité. La même année, le centre s'oriente vers un cycle long : BTA services en milieu rural. Il permet l’accès aux concours d'entrée des écoles d'infirmier, d'aide soignant, de moniteur éducateur ou poursuite d'études : BTS. En 1990, l'administration passe à une direction laïque sous la tutelle congréganiste. Le CERF prend le nom de "Lycée Professionnel Privé Sainte Marguerite-Marie". S'ouvre encore un centre de formation continue, qui prépare le BTS économie sociale et familiale - diplôme d'état de niveau III - ainsi que le CAP petite enfance, en 1 an. Par la suite, il est déplacé sur Mâcon pour la proximité des centres culturels, lieux de stage...  Dans les années qui suivent, cet établissement, avec des constructions nouvelles, accroît considérablement ses possibilités de développement et d'accueil. Après avoir connu des années florissantes, ce lycée, en raison de la démographie, de la création de filières identiques alentour, de sa situation géographique en milieu rural... voit ses effectifs d'élèves diminuer progressivement, ce qui entraîne sa fermeture en 2016. En 2020, l'Association diocésaine rachète les bâtiments ayant appartenu à l'Association du lycée. On peut espérer que de nouveaux projets se mettent en place.<br/><br/> ===Transports==='''La voie ferrée''' La ligne de chemin de fer Macon-Paray-le-Monial fut mise en exploitation le 16 Août 1870 avec le passage de trois trains mixtes (voyageurs et marchandises) aller-retour par jour.  Dans les années 30, la voie ferrée est désertée au profit des voitures, des camions et surtout des autocars. Devant cette concurrence, le service voyageurs ferré est supprimé le 15 mai 1939 et remplacé par trois allers- retours quotidiens en cars par les transports Citroën de Lyon.  Le 1er décembre 1943, la pénurie d'essence rendant les transports routiers insuffisants, la SNCF adjoint une voiture voyageurs au train de marchandises mais ce service sera supprimé l'été 47 et remplacé par les navettes Citroën.  Et le 17 Août 1953 le dernier train quotidien de marchandises est à son tour supprimé marquant la fin de la voie ferrée à Vérosvres.  Le département s'étant rendu acquéreur de l'ancienne ligne, la gare et les passages à niveaux ont été démolis pour la construction de la route Express aujourd'hui appelée RCEA. (bm 2009 p16-17) https://www.verosvres.fr/uploads/verosvres/documents/bulletins-municipaux/2009%20-%20bulletin%20verosvres-14.pdf<gallery mode="packed-hover" heights="250">Fichier:Verosvres LaGare.jpg|thumb|left|La gare des TerreauxFichier:Vérosvres_Maisonnette_Etang.jpeg|thumb|center|Maisonnette du chemin de fer près de l'étang des Terreaux</gallery><br/> '''Histoire de la ligne'''<br/>On trouvera sur wikipedia un article sur l’histoire de la ligne de Moulins à Mâcon : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ligne_de_Moulins_%C3%A0_M%C3%A2con <br/><br/>'''Comment Vérosvres a vécu la construction de la ligne il y a 150 ans'''<br/>Le document suivant reprend les délibérations du conseil municipal de Verosvres entre les années 1864 à 1880 lors de la construction et la mise en service de la ligne. https://drive.google.com/file/d/189YoKrBmC3K1D2-1ALnCM3q5bv9dAe79/view?usp=drive_open<br/>Ce sont principalement des réclamations concernant les passages à niveau et leurs barrières, les travaux sur les chemins limitrophes et les déviations mises en place lors de sa construction. Mais leur formulation est intéressante et elles révèlent les préoccupations du conseil quant à la conformité de la voirie aux moyens de déplacement d’il y a 150 ans. On découvre le souhait du conseil de construire la gare de Verosvres au hameau des Champs plutôt qu’aux Terreaux. Ses arguments en faveur d’une gare sont surtout liés aux foires qui marquent bien l’époque. D’autre part on constate que le chemin 21 -l’actuelle route départementale D121 qui traverse Hautecour et les Janots- était nettement plus utilisé que la route impériale 79 -l’actuelle départementale D17 qui passe aux Bruyère- dont le tracé avec de fortes pentes n’avait pas la faveur des attelages. C’est prémonitoire du tracé de la route Express créée en 1960, presque un siècle plus tard et de la RCEA actuelle.<br/><br/> == Loisirs et culture == ===Associations===https://www.verosvres.fr/vie-economique-et-associative/associations*Société d'intérêt local <br/>Elle a pour but d'animer le village par ses manifestations depuis 1963 et organise ::- le théâtre (en sommeil pour le moment ):- la randonnée pédestre depuis 1975 et cycliste (VTT) 2015:- la fête de l'Ascension (anciennement fête des Terreaux ) avec un concours de pétanque et l'entrecôte au grill en soirée :- le foot depuis 1998 avec 1 ou 2 équipes qui jouent le dimanche matin sur le stade " René Villars " et organisent une choucroute dansante en mars et un tournoi en juillet :- la fête Patronale le 2ème week-end d'août avec une animation l'après-midi et le réputé jambon à la broche en soirée:- le téléthon depuis 1997 organisé conjointement par 3 associations (SIL, Société de Chasse et Club des Anciens):- des cours de gym les lundis soir et mardis matin :- la danse country les mercredis et jeudis :- la danse de Salon le mardi *Amicale des Anciens crée en 1977 appelée club (bp février 1996)*Société de Chasse.<br/> À ce jour une quarantaine de chasseurs pratiquent leur sport favori. Quelques jeunes sont venus les rejoindre. Ils organisent une dégustation de boudin le 1er dimanche de mars et une soirée tête de veau le 3ème samedi de novembre.*Tarot vroulon né en 1990. <br/>Une trentaine de passionnés se réunissent un vendredi sur deux d'octobre à avril. Quelques joueurs de Manille et belote les rejoignent. 1 ou 2 concours sont organisés dans l'année. *Restaurant scolaire (bp avril 1985)*Garderie scolaire*Sou des écoles du RPI Verosvres - Beaubery : association pour soutenir les projets pédagogiques des écoles culturels ou sportifs.*Geneses (http://geneses.org/)<br/> ===Activités===*Les marcheurs (bulletin paroissial octobre 1992)*Les camps vroulons (bp 1976)*Les conscrits<br/>
===Art et culture===
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=== Généalogie ===
'''Généalogie des familles de Verosvres
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Jean-François GUILLOUX a extrait de sa base de données généalogique la descendance connue d’une dizaine de couples qui vivaient à Vérosvres au XVIIème siècle.
<br/>La base de données qui en résulte est en ligne sur Géneanet sous le nom « famillesverosvres » : https://gw.geneanet.org/famillesverosvres_w
<br/>Cette base comporte une grande partie des habitants de Vérosvres du XVIIème siècle jusqu’à nos jors. Elle déborde bien sûr un peu sur les communes environnantes.
<br/>Elle contient un peu plus de 19000 personnes, et plus de 5400 évènements sur Vérosvres (naissance, baptême, mariage, décès, sépulture). Les contemporains (nés il y a moins de 100 ans) sont masqués pour des raisons de confidentialité.
<br/>Les 12 patronymes les plus représentés dans la base sont dans l’ordre décroissant : BONIN, GUILLOUX, ALACOQUE, DARGAUD, THOMAS, MICHEL, LAPALUS, BONNETAIN, PROST, DELORME, CLEMENT, DECROZANT.
<br/>Le document dont le lien est donné ci-dessous donne l’ensemble des évènements sur Vérosvres figurant dans la base de données généalogique de Jean-François GUILLOUX :
<br/>https://www.dropbox.com/scl/fi/2wtanxl4e20wqexc8qgqv/Actes_V-rosvres_1612-1922.pdf?rlkey=26u5hsnn2gvvc1vsdbhoowb22&dl=0
<br/>Il couvre la période 1612-1922. Cette liste n’est pas exhaustive, mais comporte une part importante des actes des registres paroissiaux et de l’Etat-Civil de Vérosvres, dans la période.
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Possibilité de trouver sur la commune : du miel, de la viande bovine, des produits laitiers,
des œufs, de l'huile... directement chez le producteur. C'est un pays d'élevage bovin-viande. Certains agriculteurs pratiquent la vente directe.
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===Artisans et Commerçants===
<BR/>L'évolution d'une petite entreprise familiale, intégrant un groupe international prouve bien que la valeur travail des ruraux est reconnue.
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===Les employés communaux ===
:- secrétaires de mairie
:- cantonniers
:- agents d'entretien et surveillance temps de midi à l'école
:- gardes-champêtre
 
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