Vérosvres : Différence entre versions

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===Situation géographique===
 
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Vérosvres est délimité par : les monts de Suin au Nord, Botey à l'Ouest, Drompvent au Sud, et par le col des Vaux à l'Est, dans les Monts du CHAROLAIS. Ces derniers constituent dans cette partie, la chaîne de partage des eaux qui alimentent les bassins du RHÔNE, côté Méditérranéen et de la Loire, côté Atlantique (+ photo panneau ligne de partage des eaux du col des Vaux). Cette situation en fait une des régions les plus accidentées et les plus pittoresques. C'est sur ces éléments paysagers que les nombreux chemins de randonnées dont le GR7, ont confirmé leur intérêt devenu touristique de nos jours. Par ailleurs, la commune est historiquement sur la limite des anciens comté du Mâconnais et du Charollais.
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===Cours d'eau, étangs, partage des eaux===
 
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Version du 4 février 2021 à 17:27

Vérosvres
Département Saône et Loire
Territoire PETR Mâconnais Sud Bourgogne
Arrondissement Arrondissement de Mâcon
Canton Mâcon
Intercommunalité Saint Cyr Mère Boitier entre Charolais et Mâconnais
Code Insee, postal 571 / 71220
Habitants 457 habitants au 1er janvier 2021 (Vroulons)
Site web https://www.verosvres.fr/

Vérosvres est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région de Bourgogne-Franche-Comté, située dans les monts du Charolais, entre les montagnes de Suin, de Botey et le col des Vaux.

Situation administrative

Histoire et patrimoine

Etymologie

  • Le nom du village pourrait provenir du gaulois "Verobriga", des mots gaulois vero correspondant à « vrai, bon », et briga qui veut dire « forteresse ». Vérosvres pourrait signifier « bonne forteresse ».
  • Le lieu-dit Sermaize paraît se rapporter à un poste de Sarmates établi à proximité de la voie gallo-romaine Suin-Roanne.

Chronologie

Histoire

Août 1870 : Ouverture de la gare de Vérosvres, sur la ligne Mâcon – Paray-le-Monial.

  • La première mention du lieu remonte au XIe siècle, Veraurus[1] ;
  • Après 1477, Vérosvres ressort pour partie du bailliage de Charolles et de la châtellenie d'Artus[2] ; et pour partie du bailliage de Mâcon et de la châtellenie de Bois-Sainte-Marie.
  • Le 22 juillet 1647 : Marguerite Alacoque naît à Vérosvres ; c'est le cinquième enfant d’une famille qui en compte sept. Miraculeusement guérie de rhumatismes paralysants après avoir prié la Vierge, elle choisit d’adjoindre Marie à son premier prénom et d’entrer au couvent. À la Visitation de Paray, elle se sent accueillie par la voix du Christ lui murmurant : « C’est ici que je te veux. » Au terme de son noviciat, elle prend l’habit le 25 août 1671 avant de prononcer ses vœux perpétuels le 6 novembre 1672. Les apparitions se produisent dès 1673 et se poursuivent jusqu’à sa mort. Le Christ lui montre son cœur et lui dit notamment :
« Voici ce cœur qui a tant aimé les hommes et qui ne reçoit d’eux en retour que des ingratitudes. » 
  • En 1670, Vérosvres fait partie du diocèse d'Autun et de l'archiprêtré de Bois-Sainte-Marie ;
  • En 1789, Verosvres était partagé entre les bailliages de Charolles et de Mâcon et jusqu'en 1783 entre les recettes de Charolles et de Semur-en-Brionnais, le tout de la recette de Charolles depuis 1784. Son église, sous le vocable de Saint-Bonnet, relève du diocèse d'Autun, archiprêtré de Bois-Sainte-Marie. Elle dépend de l'abbaye de Cluny (prieuré de Mazille) ;
  • En 1790, le village est intégré au canton de Saint-Bonnet-de-Joux ;
  • En 1920, le bourg de Vérosvres formait une agglomération de quatre-vingts maisons environ, alors desservie par une ligne de chemin de fer, désormais disparue, qui reliait Paray-le-Monial à Mâcon, avec une station dénommée "Les Terreaux-Verosvres".

Monuments et vestiges

  • Église, placée sous le vocable de Saint-Laurent ;

Un mot sur le marguillier du village.

  • Château du Terreau :

Le site se trouve à environ 800 mètres au nord-ouest de l’église actuelle.
Françoise Vignier donne la description suivante : « Cerné de fossés asséchés, le château consiste en un corps de logis principal et deux ailes en retour d’équerre encadrant une cour. Couverts de toits à croupes, ces bâtiments comprennent un rez-de-chaussée, un étage carré percés de baies à linteau en arc segmentaire et un étage de comble éclairé par des lucarnes à pignon découvert. Celle qui se trouve au centre de la façade du corps principal donnant sur la cour d’honneur est inscrite entre deux pilastres supportant un fronton cintré et flanqué d’ailerons.
La façade est flanquée sur ses angles de deux tours rondes à base légèrement talutée, vestiges de l’ancienne forteresse. A la tour sud-ouest est accolée une tourelle circulaire coiffée, comme elle, d’un toit conique. Une terrasse à balustrade, reliée au parc par un large pont de pierre, règne entre les deux tours. Un pavillon du XIXe s. à un sous-sol, deux étages carrés, un étage attique et un étage de comble sous un toit brisé est adossé à l’aile nord. Il est percé à l’est d’une haute porte-fenêtre en plein cintre donnant sur un balcon courbe à appui-corps en fer forgé. L’ensemble est précédé, au centre d’une grille, d’un portail à piédroits en bossages surmontés de lions porteurs des armoiries des Thibaud de Noblet et des Saulx-Tavannes.

  • A 2700 mètres au sud-ouest de l'église, les derniers vestiges "des Pierres", encore en élévation, ont été détruits dans les années 50. Actuellement, il est possible de recenser l'existence d'une cave, non encore comblée et d'un amoncellement de pierres regroupées en bordure d'un pré. Au sein de celles-ci, nous avons pu remarquer la présence d'un meneau en grès. Toute mesure est impossible du fait de la destruction du site. Le plan cadastral de 1824 montre une tour isolée et un corps de bâtiment accolé d'une petite tour qui a pu servir de cage d'escalier.
  • Dronvent est situé à flanc de colline et domine la vallée où coule le ruisseau des Pierres. La région est montagneuse et recouverte de forêts. Il ne reste aucun vestiges d’une maison seigneuriale. Il est probable qu’elle se trouvait à proximité du prieuré, où un groupe d’habitations, encore visible sur le cadastre napoléonien, ont été détruite depuis.[3]
  • Maison natale Ste Marguerite Marie Alacoque : la chambre de la bienheureuse, datant du XVIIe siècle et présentant au plafond des peintures d'époque est aujourd'hui convertie en chapelle que l'on peut visiter librement.

Ecoles

Au bourg :

  • une école publique de garçons
  • une école publique de filles
  • une école libre de filles dirigée par les soeurs de St François d'Assise

Au hameau des Janots :

  • la maison natale de Ste Marguerite-Marie

A la canonisation de Ste Marguerite-Marie Alacoque, en 1920, sa maison natale, jusqu'alors habitée par des fermiers successifs devient propriété de la "Bourgogne Immobilière" qui gère les biens de l'Evêché d'Autun.

La partie exploitation fut remplacée par une maison d'habitation telle qu'elle est encore aujourd'hui. Lorsque les travaux furent achevés, les soeurs de St François d'Assise, déjà implantées à Vérosvres, furent appelées par l'Evêque d'Autun en 1926, pour recevoir les pélerins et accueillir des jeunes filles du milieu rural.

C'est ainsi que s'ouvrit en 1932 un orphelinat, puis une école secondaire de 1940 à 1947.


De l'école ménagère au lycée professionnel

Répondant aux besoins du moment, les religieuses ouvrent, en 1947, un centre ménager agricole communément appelé "école ménagère" placé sous l'égide du Ministère de l'Agriculture et géré par un conseil d'administration.

Dans le souci constant du développement de la personne humaine, les religieuses accueillent d'abord des jeunes filles du monde rural, en alternance une semaine sur deux, leur inculquant, avec le français, le calcul, des notions d'hygiène, de puériculture, de nutrition etc...

Puis, à partir de la scolarité obligatoire jusqu'à 16 ans, le centre fonctionne à temps complet, incluant l'enseignement général avec la formation professionnelle.

L'école ménagère devient CERF (Centre d'enseignement rural féminin).

Les élèves peuvent alors se présenter, outre les examens professionnels : CAPA, BEPA services aux personnes, au certificat d'études primaires et brevet des collèges section technologique.

En 1989, s'ouvre la mixité. La même année, le centre s'oriente vers un cycle long : BTA services en milieu rural. Il permet l’accès aux concours d'entrée des écoles d'infirmier, d'aide soignant, de moniteur éducateur ou poursuite d'études : BTS.

En 1990, l'administration passe à une direction laïque sous la tutelle congréganiste.

Le CERF prend le nom de "Lycée Professionnel Privé Sainte Marguerite-Marie".

S'ouvre encore un centre de formation continue, qui prépare le BTS économie sociale et familiale - diplôme d'état de niveau III - ainsi que le CAP petite enfance, en 1 an. Par la suite, il est déplacé sur Mâcon pour la proximité des centres culturels, lieux de stage...

Dans les années qui suivent, cet établissement, avec des constructions nouvelles, accroît considérablement ses possibilités de développement et d'accueil.

Après avoir connu des années florissantes, ce lycée, en raison de la démographie, de la création de filières identiques alentour, de sa situation géographique en milieu rural... voit ses effectifs d'élèves diminuer progressivement, ce qui entraîne sa fermeture en 2015.

En 2020, l'Association diocésaine rachète les bâtiments ayant appartenu à l'Association du lycée. On peut espérer que de nouveaux projets se mettent en place.

Transports

La voie ferrée

La ligne de chemin de fer Macon-Paray-le-Monial fut mise en exploitation le 16 Août 1870 avec le passage de trois trains mixte (voyageurs et marchandises) aller-retour par jour.

Dans les années 30, la voie ferrée est désertée au profit des voitures, des camions et surtout des autocars. Devant cette concurrence, le service voyageurs ferré est supprimé le 15 mai 1939 et remplacé par trois allers- retours quotidiens en cars par les transports Citroën de Lyon.

Le 1er décembre 1943, la pénurie d'essence rendant les transports routiers insuffisants, la SNCF adjoint une voiture voyageurs au train de marchandises mais ce service sera supprimé l'été 47 et remplacé par les navettes Citroën.

Et le 17 Août 1953 le dernier train quotidien de marchandises est à son tour supprimé marquant la fin de la voie ferrée à Vérosvres.

Le département s'étant rendu acquéreur de l'ancienne ligne, la gare et les passages à niveaux ont été démolis pour la construction de la route Express aujourd'hui appelée RCEA.

Loisirs et culture

Associations

https://www.verosvres.fr/vie-economique-et-associative/associations

  • Société d'intérêt local

Elle a pour but d'animer le village par ses manifestations depuis 1963 et organise :
- le théâtre (en sommeil pour le moment )
- la randonnée pédestre depuis 1975 et cycliste (VTT) 2015
- la fête de l'Ascension (anciennement fête des Terreaux ) avec un concours de pétanque et l'entrecôte au grill en soirée
- le foot depuis 1998 avec 1 ou 2 équipes qui jouent le dimanche matin sur le stade " René Villars " et organisent une choucroute dansante en mars et un tournoi en juillet
- la fête Patronale le 2ème week-end d'août avec une animation l'après-midi et le réputé jambon à la broche en soirée
- le téléthon depuis 1997 organisé conjointement par 3 associations (SIL, Société de Chasse et Club des Anciens)
- Et pour finir des cours de gym les lundis soir et mardis matin
- la danse country les mercredis et jeudis
- la danse de Salon le mardi

  • Amicale des Anciens crée en 1977 appelée club (bp février 1996)
  • Société de Chasse
  • Tarot vroulon
  • Restaurant scolaire (bp avril 1985)
  • Garderie scolaire
  • Sou des écoles
  • Geneses (http://geneses.org/)

Activités

  • Les marcheurs (bulletin paroissial octobre 1992)
  • Les camps vroulons (bp 1976)
  • Les conscrits

Personnalités liées à la commune

  • Marguerite-Marie Alacoque : religieuse, née à Vérosvres en 1647, canonisée en 1920, et à l'origine du culte du Sacré-Cœur.
  • Pierre Albuisson, né en 1952, artiste dessinateur et maître graveur.

Art et culture

Bibliothèque

Vous trouverez les informations pratiques sur le site de la commune. https://www.verosvres.fr/news/11/15/Horaires-de-la-bibliothèque

Créée en 1990 et ouverte le 17 mai de cette même année, la bibliothèque située au 1er étage de l'ancienne école de filles dans une pièce plutôt exiguë, accueillait déjà, par petits groupes le vendredi les classes maternelles et primaires, le mercredi tous les publics. Quelques années plus tard, elle s'est agrandie. Le nombre de volumes mis à disposition augmente régulièrement ; au dépôt de 500 livres prêtés par la bibliothèque départementale de Saône et Loire s'ajoutent chaque année les achats de la commune et les dons qui viennent grossir le fonds de documents.

En 1997, la commune de Sivignon souhaitant ouvrir sa propre bibliothèque est devenue relais de celle de Vérosvres qui a pour fonction de lui déposer un certain nombre d'ouvrages renouvelables environ 2 fois dans l'année.

En 2008, la bibliothèque s'installe dans de nouveaux locaux spacieux, clairs et fonctionnels situés près de l'école "François Lacharme", ce qui simplifie considérablement le déplacement des élèves. Avec le RPI, les maternelles sont regroupées à Beaubery et continuent à bénéficier durant quelques années d'un prêt de livres.

La bibliothèque évolue au fil du temps : En 2016, l'informatisation a facilité considérablement la gestion des prêts, notre équipe solidaire et très motivée s'est investie dans cette tâche avec assiduité.

Economie

La vie économique vroulonne : https://www.verosvres.fr/vie-economique-et-associative

Agriculture

La vie agricole vroulonne : https://www.verosvres.fr/vie-economique-et-associative/agriculture-viticulture

Possibilité de trouver sur la commune : du miel, de la viande bovine, des produits laitiers, des œufs, de l'huile... directement chez le producteur. C'est un pays d'élevage bovin-viande. Certains agriculteurs pratiquent la vente directe.

Artisans et Commerçants

La vie artisanale et industrielle v'roulonne : https://www.verosvres.fr/vie-economique-et-associative/artisanat-industrie

La vie commerciale et les services v'roulon : https://www.verosvres.fr/vie-economique-et-associative/commerces-services

  • Albuisson Pierre : Artiste dessinateur , graveur de timbres (bm 2015)
  • Besson Bernard : Travaux forestiers
  • Cinato Sofy : Sophrologie
  • Da Costa Kevin : Plombier-chauffagiste
  • Janin Olivier : Mécanique générale ( bul mun 2009)
  • Guilloux Patrice : Entretien espaces verts
  • J.P Atelier : Créateur Illustrateur (bm 2013)
  • La Ch'tite Boîte : Menuiserie (bm 2019)
  • La Forge Vroulonne : Ferronnerie d'Art (bm 2019)
  • La Ronde des Ciseaux : Salon de coiffure (bm 2018)
  • Le P'tit Vroulon : Bar, snack, épicerie, dêpot de pain (bm 2016)
  • Loiseau Stéphane : Artisan créateur d'objets de décoration médiévale (2018)
  • Machillot Christophe : Travaux forestiers
  • Pierlot Monique : Ecrivain public,privé (bm 2014)
  • Rigby Anne : Artiste peintre (bm 2018)
  • Société Nouvelle Griffon : Maçonnerie
  • Kelje : Formations ludopedagogiques

Industrie

Arbonis groupe Vinci : charpente lamellé collé. De l'entreprise familiale de charpente THOMAS à FARGEOT et ARBONIS

Après le décès de son mari, Mme Thomas femme au caractère dynamique, prit en main l'entreprise de charpente traditionnelle à laquelle elle collaborait déjà très efficacement, et, la fit fructifier. En 1966, elle décida de prendre comme associé, monsieur René FARGEOT compagnon du Devoir. (28 ans) Après quelques années de partenariat, il reprit l'entreprise à son compte qui devint Entreprise FARGEOT lamellé collé. A partir de 1975 avec la fabrication de charpentes en lamellé collé, l'effectif de 15 employés passa à plus de 50 en 1990. Au fil des années les qualifications obtenues, françaises et allemandes permirent l'accès à de nombreux marchés à l'étranger, Russie, Afrique, Espagne, avec un bureau permanent à Barcelone. C'est une entreprise prospère qui en 1999 fut reprise par GTM (Grand Travaux de Marseille) que transmis le regretté René Fargeot (quelques mois avant sa mort), puis qui intégra le groupe VINCI société du CAC 40. A partir de ce moment d'autres entreprises de la filière bois sont venues grossir l'entité qui a pris le nom de ARBONIS implanté dans plusieurs régions de France et forte de plus de 300 personnes avec des bureaux d'études en conséquence. Cette nouvelle société s'étend à d'autres métiers du bois : façades, ossatures, modules, etc... pour compléter sa diversification.
Espérons que l'aménagement de la RCEA permettra l'accès aux grands convois qui sortent régulièrement des ateliers de Vérosvres.

Espace et territoire

Situation géographique

Vérosvres est délimité par : les monts de Suin au Nord, Botey à l'Ouest, Drompvent au Sud, et par le col des Vaux à l'Est, dans les Monts du CHAROLAIS. Ces derniers constituent dans cette partie, la chaîne de partage des eaux qui alimentent les bassins du RHÔNE, côté Méditérranéen et de la Loire, côté Atlantique (+ photo panneau ligne de partage des eaux du col des Vaux). Cette situation en fait une des régions les plus accidentées et les plus pittoresques. C'est sur ces éléments paysagers que les nombreux chemins de randonnées dont le GR7, ont confirmé leur intérêt devenu touristique de nos jours. Par ailleurs, la commune est historiquement sur la limite des anciens comté du Mâconnais et du Charollais.

Géologie

Cours d'eau, étangs, partage des eaux

Chemins de randonnées

RCEA

Notes

  1. in Pouillés de la Province de Lyon, par Auguste Longnon, 1902, p. 64
  2. sur la commune de Beaubery
  3. description par le centre de castellologie de Bourgogne (Cecab), base de données - 2600 châteaux-forts de Bourgogne - 2014